Concernant les problèmes liés aux pesticides, le manque de données est à nouveau sou-
ligné, toutefois il est spécifiquement précisé qu’ »une exposition de faible intensité à un
ensemble de polluants dans l’air, dans l’eau, les aliments, les produits de consommation...peut affecter la qualité globale de la vie ou contribuer considérablement à
l’asthme, aux allergies, aux intoxications alimentaires, à certains cancers, à la neuro-toxicité et à l’immunosuppression. «
Ainsi du point de vue de l’Agence Européenne pour l’Environnement, en terme de perspectives dans les dix années à venir, la pollution de l’eau et la contamination des aliments sont considérés avec la pollution de l’air, les émissions chimiques et l’appauvrisse-
ment de l’ozone atmosphérique comme les principaux problèmes environnementaux en
lien avec la santé humaine. »
«
Au
niveau des sols
, la pollution par les pesticides varie selon la typologie du sol et les
produits utilisés, cependant, il est important de noter que lors de l’utilisation des pesticides en agriculture une quantité résiduelle du produit atteint le sol pour s’y fixer plus ou
moins longtemps.
Les pesticides peuvent être secondairement entraînés en surface par les eaux de ruisselle-
ment ou en profondeur par les eaux d’infiltration occasionnant des contaminations des
eaux de surface et/ou des nappes souterraines.
Parallèlement les matières actives sont transformées en métabolites qui peuvent présenter une toxicité égale voire supérieure à la matière active d’origine. »
Mais non ! En consommant, en respirant du pesticide on vit plus vieux, c’est prouvé : l’espérance de vie. Bah, j’ai pas compris, c’est parce que quelqu’un a fait le lien entre espérance de vie et pesticides. Non, il voulait dire que l’espérance de vie augmente malgré les pesticides. Oui mais... la médecine n’y est-elle pas pour quelque chose ?
Tiens cherchons du côté de la santé. Ici des professionnels de la santé parlent de leur inquiétude quant à une possible inversion de l’espérance de vie dû à une mauvaise alimentation (trop carné, trop grasse) :
L’alimentation devrait être principalement d’origine végétale
L’alimentation devrait provenir d’une agriculture biologique
L’alimentation devrait être produite localement et en respectant le cycle des saisons
Les aliments devraient être les moins transformés possible
Les aliments devraient être emballés et/ou conditionnés écologiquement
Le commerce des denrées alimentaires devrait être équitable
Les aliments devraient être savoureux »
Bon mais ça ne parle pas trop des pesticides... Alors je vais essayer de trouver des informations sur des études. Mmm... Tiens, la maladie de Parkinson... Bon je vais continuer à chercher des études sur le sujet.
Recommandation 1 : l’obligation pour les banques de répondre à toute demande de financement sous quinze jours ouvrés.
Recommandation 2 : l’obligation de justifier oralement les raisons d’un refus de financement
En cas de refus, un courrier précisant les recours possibles au chef d’entreprise doit également figurer dans le dossier.
Recommandation 3 : Mettre en place des conseillers clientèle sur le long terme. En effet ces conseillers qui changent d’affectation au même rythme que les ministres c’est pour le moins énervant.
C’est peut être une façon de demander aux banques de jouer leur rôle plutôt que de jouer au casino ? Moi je ferais l’obligation de justifier par écrit.
Je ne comprends pas bien votre article. D’abord vous dites :
« N’en déplaise aux donneurs de leçons, je n’ai pas vocation à suivre les voies tracées. »
Là vous suscitez ma curiosité
Ensuite se situe cette petite phrase au milieu d’un paragraphe faisant référence à 1984 :
« Individualiste disent les oies du troupeau ! »
N’oppose t-on pas l’individualisme au collectivisme... L’individualisme extrême étant l’individu en opposition au bien commun. Celui qui possède fait ce qu’il veut, même si c’est au détriment de la société. Le collectivisme extrême étant la négation de l’individu ce qui n’est pas forcément mieux.