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Robert Branche

Robert Branche

Côté professionnel, je suis consultant depuis 1988, spécialisé dans l'accompagnement des équipes de direction dans la définition et la mise en œuvre de stratégies innovantes en univers incertain.
Dans trois livres, j’explique comment créer de la valeur dans la durée dans un monde incertain et chaotique : "Neuromanagement" (2008), "les Mers de l'incertitude" (2010), "Les Radeaux de feu" (2013).
J'ai commencé ma carrière comme haut fonctionnaire, notamment comme Commissaire à l'industrialisation des régions de Haute et Basse Normandie, puis au marketing de L'Oréal.
Je suis ancien élève de l'École Polytechnique (1974) et de l'École Nationale des Ponts et Chaussées (1979).

Côté politique et citoyen, en 2013, je me suis engagé au sein de Nous Citoyens, dont j'ai été Vice-Président jusqu'à janvier 2016. J’en ai tiré un essai politique, "2017 : Le réveil citoyen", qui est tout à la fois un appel à une prise de conscience, une amorce de diagnostic et une proposition de chemin pour agir.

Côté plus personnel, j’ai publié deux romans : "Double J" (2012) et "Coming in" (2017).
"Coming in" est un roman à fort contenu autobiographique. Il tourne autour de cette question : si, jour après jour, volontairement ou involontairement, on a cimenté une identité et une image tricheuse tant pour soi-même que pour les autres, comment fait-on quand on se réveille en se découvrant autre ? Comment faire face à cet Alien qui a grandi et vous dévore de l’intérieur ?

Voir mon blog : www.neuromonde.fr

Tableau de bord

  • Premier article le 26/09/2008
  • Modérateur depuis le 10/10/2008
Rédaction Depuis Articles publiés Commentaires postés Commentaires reçus
L'inscription 206 1790 5925
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Modération Depuis Articles modérés Positivement Négativement
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Ses articles classés par : ordre chronologique













Derniers commentaires



  • Robert Branche Robert Branche 28 septembre 2008 19:21

    Non je ne crois pas que les cabinets d’évaluation et de contrôle soient à la solde de ceux qui les paient : ils ont une réelle indépendance et une forte déontologie. Mais ils sont eux-mêmes pris dans la logique et la culture dominante : ils appliquent les modes de calcul actuel et sont un des rouages du système.
    Ils ne sont donc pas un élement qui peut mettre en cause les principes de fonctionnement du système : ils sont payés pour vérifier que les principes sont correctement appliqués.
    Quant à l’assurance de vos lingots enterrés sous votre arbre, la réponse est probablement lié à l’absence de calcul statistique permettant d’évaluer le risque : une compagnie d’assurances a besoin de données pour calculer le montant de la prime à donner. C’est facile pour une voiture, plus difficile pour un lingot ! Moins de données !



  • Robert Branche Robert Branche 28 septembre 2008 19:15

    Je n’ai pas moi non plus de problème à voir des entreprise occidentales sous le contrôle chinois, russe ou arabe (nous n’avons pas d’état d’âme en sens inverse depuis pas mal d’années). 
    Mon inquiétude vient des points suivants :

    - la prise de contrôle venant de fonds souverains et donc des Etats, cela peut conduire à une situation dangereuse .. ;

    - mais surtout j’ai du mal à imaginer que les gouvernements américains et européens vont laisser des pans entiers de l’économie sous le contrôle de tels pays. S’ils veulent - et en fait si nous voulons car je parie que "l’opinion publique" les soutiendra - empêcher cela, ils devront ne plus respecter les règles du jeu capitaliste : en effet les USA et l’Europe n’ont pas les liquidités nécessaires pour sauver et racheter "à la loyale" les entreprises fragilisées... donc leurs seules armes seront précisément leurs armes réelles... 
    D’où mon inquiétude...



  • Robert Branche Robert Branche 28 septembre 2008 19:03

    Pour lutter contre la manipulation - des media mais pas uniquement -, il faut développer l’esprit critique chez chacun : ce devrait être un exercice prioritaire à l’école... or c’est souvent l’inverse : un "bon élève" est un élève qui sait reproduire le discours de son professeur sans le contredire...
    Autre moyen : Internet. Sachons nous servir de ce nouveau media qui permet d’entrer directement en contact... C’est ce que nous faisons en ce moment.
    Dans votre commentaire, vous évoquez une "intentionnalité" malveillante d’individus qui ont changé les règles du jeu. Je pense - mais j’ai peut-être tort... - qu’ils l’ont fait de bon foi et sans mauvaise intention... De toute façon, quelque soit l’origine, cela ne change rien sur le résultat !



  • Robert Branche Robert Branche 28 septembre 2008 18:54

    Bien sûr s’il y a eu des maleversations, elles doivent relever des juridictions compétentes. Mais je crois que la crise actuelle est d’abord systèmique, cad liée à la façon dont est organisé le monde économique et les régulations mises en place par les systèmes politiques.
    Donc à tout laisser s’effondrer on prendrait un grand risque.
    Ceci dit, il ne faut absoudre les erreurs, et surtout veiller que certains ne tirent pas profit de leurs propres erreurs



  • Robert Branche Robert Branche 28 septembre 2008 18:49

    Ciel... je suis complètement d’accord avec vous !
    Pour le plaisir, je vous conseille de suivre ce lien pour retrouver une devise Sahdok que je trouve a propos : http://robert.branche.free.fr/shadok%20passoire.jpg
    Je pense qu’effectivement l’évolution récente de l’économie avait progressivement fait de la logique financière la seule logique dominante, ce au travers des prises de participation des établissements financiers, mais aussi par les stock options et les LBO : de fait aujourd’hui la préoccupation dominante de bon nombre de dirigeants est d’abord l’évolution du point de vue de la finance et de la bourse, plus que l’amélioration réelle de leurs entreprises.
    Dans mon propos, je ne mets en "accusation" les dirigeants eux-mêmes, mais le système : on peut changer tous les dirigeants, on aura le même résultat. Je suis de ce point de vue - mais ce n’est pas le seul... - en complet désaccord avec Nicolas Sarkozy qui semble avoir lancé une sorte de chasse aux sorcières contre les "responsables de la crise " (cf. son discours de Toulon).
    Je vais revenir là-dessus sur un nouveau texte que je mets en ligne demain...

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