Pour la première partie : « Elle a donc eu le droit à cela » et "
séparation imposée avec mon mari par moments (porte fermée à clé),"
Pour la seconde, je parle du premier accouchement, celui qui ressemble à une séance de torture payante avec option inutile. Cela me parait absurde dans les hopitaux qui ont déjà du mal à joindre les deux bouts et très probable dans les cliniques privées dont le but est de tirer un max de jus.
Bien sûr, je ne cherche pas à mettre en doute la parole donnée.
Drucker a tellement bien empoisonner la télé, que désormais tous les artistes sont habitués à ce qu’on leur serve la soupe sans réchigner. Le moindre désaccord est un drame.
D’un autre côté, pour exister, les critiques en rajoutent des tonnes et des tonnes jusqu’à balancer de la merde à la gueule des personnes qu’ils jugent (mais en restant courtois).
Par ailleurs, s’il s’agit d’une clinique privée, vous pouvez être certain qu’il y a un comité de direction financière qui décide des barèmes à facturer, et que les membres de ce comité ainsi que les médecins de la clinique ne roulent pas dans un cageot.
J’ai d’abord été tenté d’applaudir, car comme vous, je ne suis pas un supporter de l’école de Chicago et des neuneus libertariens.
Mais finalement une chose me dérange : la parabole, la comparaison. Certes cela peut avoir des vertus explicatives, mais en réalité, dans un débat comme celui là, n’importe qui peut trouver n’importe quel parabole pour défendre n’importe quelle tendance.
Bref, les paraboles ne peuvent convaincre qui que ce soit.