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Commentaire de L’enfoiré

sur Le temps des crétins, du populisme et de la barbarie 2.0


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L'enfoiré L’enfoiré 1er juin 2017 14:36

« @Bernard Dugué
Je vais dire aussi que vous m’intéressez.
Vous m’intéressez par votre article qui démontre comment on arrive au grenier ou dans la cave dans la hiérarchie de nos chères populations.
Je continuerai un article que j’ai écrit à Noël et qui avait pour titre »J’ai honte« et qui faisait suite à une autre avec le même titre chez Nabum.
Vous n’avez jamais, jusqu’ici, écrit  »Je suis en partie responsable« de ce qui se passe dans le monde.
Le monde nous le créons à notre mesure, intelligemment et imbécilement.
L’impact, on le découvre après coup.
La proactivité est affaire de généralistes avec une vue à 360° et pas d’experts qui.ne s’intéressent qu’à une toute partie de ce qu’ils ont appris à l’école et qu’ils n’ont pas extrapolé.
Les séries des Experts à la télé n’en sont que le reflet.
Parlez leur de ce qu’il y a en dehors de leur expertise et ils vous répondent : j’en sais rien, c’est pas mon truc.
Les mots »opportuniste« , »népotisme« , »populismes« sont très péjoratifs et pourtant.. c’est pratiqué à tous les étages de la société.
Qui n’est pas content de prendre la place de quelqu’un d’autre qui a décidé de prendre le large, qui ne place son rejeton par coup de pouce dans le jeu de quilles dans lequel par miracle, on est rentré ? Mais chez les autres, c’est inadmissible.
Alors, il y a des périodes comme ça, où on lave plus blanc que blanc.
Des périodes »manu pulite« , de »mains propres« , on permute à 180°, plus de dirigeant qui touchent à plusieurs ratteliers.
On ne se rend même plus compte que c’est payer peut-être même plus cher qu’avant.
Vous avez eu votre Fillonade.
Nous y sommes actuellement en plein après les »Affaires Publifin & Co« en pleine période de commission d’enquêtes à gratter les moindres puces et picaillons.
On profite des occasions, on jouit d’une situation privilégiée, d’être frontalier en nageant entre deux eaux quand on va acheter où c’est le moins cher, on investit, on rationalise..
Mais c’est vrai, il faut consommer local voyons,
T’es fou l’enfoiré ?
 »Les français ont horreur des inégalités mais ils adorent les privilèges. Pourtant les inégalités, c’est le nom que tu donnes aux privilèges des autres", comme disait Anne Roumanoff.
Une phrase à méditer...

Bonne journée

.
 


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