Les élections,
européennes ou national doivent être pris comme un indicateur, la
pointe d’un iceberg. Cela nous permet de voir plus nettement les
tendances, mais ce n’est que la pointe, ce qui est immergé n’est
pas forcement visible.
D’année en année
aucune leçon n’est tiré et ce n’est pas quelque articles qui
essaie bon gré mal gré de s’auto-rassurer qui vont changer la
donne. Le fascisme est en pleine poussé et c’est bien une réalité
qu’aucune personne avec un peu de bon sens politique ne peut nier.
D’une part nous
sommes incapable de répondre au problème que rencontre les gens,
que cela soit sur la question du communautarisme, de la
paupérisations, des ravages de la biosphère, des vagues migratoire,
de la paupérisation et de la putréfaction autant politique que
culturel.
Entre
l’extréme-gauche qui nous fait un tambouille à la social
chauviste, en-faisant tenir coûte que coûte ce Frankenstein. Des
morceaux d’indigéniste par si, un peu de post-moderniste par là
(rien cas voir l’écriture inclusive dans certain de leurs tracts),
communautarisme et gauchisme. Si la monstre tient et qu’il peut
crier « No pasaran » alors tout va bien.
Comprendra qui
pourra la ligne politique de la « France Insoumise »,
c’est aussi tordu que du Kafka, au moins lui n’a pas eu le désir
de crée un parti politique.
De l’ultra-gauche
vivant leurs insurrections, dans leurs esprits métaphysique qui ne
rêve des étoiles quand regardant la bout. Voyant dans l’opposition
de rue un jolie spectacle, qui amusent la jeunesse plein d’hormone
et fait peur au grand-père. A la fin il troqueront volontiers le
tenu tout de noir vêtu contre un costume cendré. Y a cas voir les
postures de Coupat dans le monde ou dans ses interview, on dirait un
attardé.
L’anarchisme comme
cette ultra-gauche pétrie d’individualisme ne voit dans le combats
anti-fascisme de la forme dans le fond. Un emballage mais sans
contenu, une posture pour faire style et taper sur le premiers
fasciste venu. Il est préférable d’apporter un fond idéologique
et culturel, avant de taper sur qui conque, car le véritable combats
se joue avant tout sur le plan des idées.
Anarchisme tout
comme l’ultra-gauche qui frise ouvertement avec le post-modernism,
car il sont eu même sorti de l’entre cuisse de cette vision
moderne et individualiste. D’où leurs soutiens à toutes cette
chiasse qui poussent les masses dans les bras du fascisme (écriture
inclusive, GPA et PMA, indigéniste, communautarisme).
La gauche est devenu
carriériste tel la girouette elle suit le vent jusqu’à ne plus
savoir où elle habite.
Le problème vient
bien de la gauche ( gauche dont je me revendique historiquement et
culturellement).