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Beaucoup de remarques intéressantes à propos des écritures de N. Sarkoy et de F. Bayrou.
Il faut se méfier de la « graphologie du petit trait », mais j’ai été surpris de voir nombfre de L « en ballons » dans l’écriture de N.S., qui indiquerait la prégnance de l’imaginaire (incroyable). L’écriture se situe dans un contexte maladroit et infantile, souffreteux presque, avec des lignes sautillantes, indiquant une personne ne sachant pas sur quel pied danser, une personnalité qui doute, qui vit dans l’instant et l’instinct. Bref, on est loin de la France forte.
Bayrou a l’écriture des gens qui se sont frottés aux textes classiques ; sobre, contenue, asez élégante même, elle est celle d’un homme qui réfléchit.
Quant à F. H., la grande poche de vide sous le nom ne présage rien de bon ; mais une signature ne fait pas l’homme, et la carte n’est pas le territoire..
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