Si quelqu’un est bien placé pour demander un référendum, c’est bien Sarkozy. Ancien président de la République - excusez du peu - et dernier candidat investi par le parti pour une campagne présidentielle. Si, ensuite, les militants disent « ok », qu’aurions-nous à y redire, nous ? Quelle serait notre légitimité pour contester ce choix ? Et, sinon, vous proposez quoi comme autre solution possible et fiable ? J’attends, « pom pom pom... »