Bonsoir, Alinea.
« Toutes ces proses reviennent à dire que l’on accepte l’influence de l’un sur l’autre comme une évidence ».
Rassurez-vous, il n’y a pas de problème de ce type dans la majorité des procès d’assises. Il arrive également assez souvent, si j’en crois ma propre expérience et les échos que j’ai eus de la part de magistrats ayant fait partie de jurys d’assises, que des jurés ne s’en laissent pas conter, et c’est une excellente chose. Autrement dit, il n’est pas écrit que l’« on accepte l’influence de l’un sur l’autre comme une évidence ».
Peu à peu, les choses évoluent, mais il reste des progrès à faire. c’est en partie l’objet de cet article dont le contenu a été adressé par mes soins à Christiane Taubira.