« En France, de plus en plus de monde croit pertinent d’élever Angela Merkel au rang d’épouvantail du mal ».
C’est la Boche éternelle que Gustave Le Bon annonçait dès 1918 :
« Les futures tentatives d’hégémonie industrielle de
l’Allemagne seront aussi redoutables que son rêve d’hégémonie militaire. » « Hier et demain - Pensées brèves », Flammarion,
1918 - page 94 de la version Word,
Mais qui, parmi les princes qui font semblant de nous gouverner, lit encore Gustave Le Bon ?