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Spartacus Lequidam Spartacus 27 décembre 2014 22:49

@Perez


Après avoir emprunté de l’argent appartenant à autrui, il convient de rembourser son créancier.

Personne n’a obligé l’emprunteur Keynésien a prendre une dette.

Déclaration universelle des droits de l’homme (art. 17) : « Toute personne, aussi bien seule qu’en collectivité, a droit à la propriété. Nul ne peut être arbitrairement privé de sa propriété. » 

On ne peut donc pas refuser de rembourser la dette à un créancier et le spolier de son droit ; si le contrat n’est pas respecté, nous ne vivrons plus dans un État de droit. 
Refuser de rembourser la dette. 
On ne peut le faire qu’une seule fois, en créant des frustrations à tous les étages de la société.
On perd la confiance et l’échange seul créateur de richesse n’existe plus. Personne n’achète ou ne vend à celui qui ne respecte pas le contrat. 
La monnaie de celui qui ne respecte pas le contrat devient monnaie de singe.

Le gauchiste fait croire que ce serait des « riches » « banques » et autres organismes immatériels qui seraient touché par un simple coup de crayon.

C’est qui le préteur ?

Les marchés financiers, ce ne sont les simples citoyens, qui épargnent de l’argent par le biais de l’assurance-vie ou du livret A. 

Les marchés financiers, ce sont les retraités du monde entier qui n’ont pas le système de répartition mais investissent contractuellement une partie de leur salaire dans des fonds de pension. 

Ce sont les autres États et leurs fonds souverains, les collectivités locales, les universités, les institutions, les particuliers fortunés ou modestes.

Ce sont les banques, mais les banques ce ne sont pas que des entités immatérielles bouc émissaire des gauchistes. Ce sont des milliers de personnes, le capital indispensable de milliers de sociétés, le lieu d’échange qui transforme le bien produit en investissement.

Lorsqu’une partie la dette grecque a été « restructurée » en 2012, la Société Générale a été contrainte de supprimer 1000 emplois. Les perdants ce sont les employés. La société générale est restée là.

Quand une dette n’est pas remboursée, c’est toujours la masse qui paie l’addition.....
Le crédit n’existe qu’aux gens de confiance. 
Le non remboursement serait le retour à la préhistoire et la tutelle pour celui qui le fera.

Les Keynésiens ont créés les problèmes. Ne comptez pas sur ceux qui ont créé les problèmes les solutions pour y remédier.
Les Keynésiens sont des irresponsables.

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