@Layly Victor
Je crains que tab ne
retienne de l’histoire que ce qu’il lit dans nos pauvres gazettes.
Au début des années 30,
les nazis et des mouvements sionistes ont négocié le départ de Juifs allemands en
Palestine, avec en perspective pour les sionistes la création d’un Etat juif
(accord Haavara). Cet accord n’a eu que peu de résultats.
Savoir dans ce contexte ce
qu’en pensaient les financiers de Wall Street, cela ne va pas de soi.
Mais surtout boycotter la 2ème puissance économique mondiale (l’Allemagne)
où des intérêts financiers importants étaient investis est encore moins évident. On se souvient que quelques financiers
occidentaux avaient soutenu la révolution bolchévique de 17. Les tours et
détours de la finance ne sont pas toujours limpides.
Quant aux nazis de Kiev, l’enjeu
économique ukrainien est sans doute plus important pour le monde de la finance
(et pour l’OTAN et l’UE) que l’instrument utilisé (les nazis) pour se l’approprier.
Le pouvoir ukrainien pourra être changé ultérieurement pour quelque chose de
plus présentable, une fois l’Ukraine détachée économiquement, politiquement et culturellement
(la langue) de la Russie.