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Hervé Hum Hervé Hum 6 février 2017 00:07

@Luniterre

Si on en juge par des produits de basse qualité, l’obsolescence programmée, le haut degré de gaspillage dans certains zones géographiques et la carence dans d’autres des besoins, globalement, la capacité productive actuelle est déjà très suffisante,voir même déjà en excès. Ce qu’il faut, c’est surtout sa réorganisation, réorientation d’une part et tout le gain de productivité qui peut être acquis rapidement en faisant des produits de qualité et durables. Le tout en favorisant l’artisanat et la production locale, je ne crois pas qu’il y ait besoin de nouvelles entreprises, voir qu’on peut en fermer, sachant que ce n’est plus un problème.

En fait, cela passe par un audit mondial

Sans bourse, on arrive très vite à des situation aberrantes comme celles qui avaient cours en URSS.

L’économie est quelque chose de dynamique, en mouvement perpétuel, parce que la société est elle même en mouvement perpétuel et que seule la bourse permet de suivre ce mouvement au plus près. Ceci, car le principe de la bourse, c’est l’équilibre entre une demande et une offre. Donc, si vous voulez un système en recherche d’équilibre permanent et démocratique au sens où ce sont les citoyens producteurs consommateurs qui décident pour eux même et non une élite qui décide, alors, vous n’avez pas d’autres choix que la bourse. Dans le système actuel, c’est l’outil bourse qui est mal utilisé à dessein, donc, il ne faut pas confondre l’outil avec l’utilisateur de l’outil. Une fois que vous avez admis la nécessité de l’outil, alors, c’est son utilisation qu’il faut regarder et modifier en conséquence, une fois débarrassé le mauvais utilisateur.

Pour finir, l’’évolution de la société peut se résumer ainsi,

 souveraineté -> propriété -> responsabilité
Monarchie -> oligarchie - citoyenneté
 Devoir dominant ->droit dominant ->devoir=droit

L’équilibre entre droits et devoirs fondant la responsabilité, place, seule, la valeur travail au dessus.

L’utopie « hors sol », c’est de parler d’une valeur travail qui ne s’appuie pas sur ce rapport entre droit et devoir. Dans mes articles sur la monnaie, je démontre que ce rapport se retrouve pleinement dedans. La créance est la partie droit et la dette, la partie devoir. Ce n’est pas ma philosophie, c’est de la raison pure, c’est à dire, s’appuyant sur la logique pure où mon affect n’a rien à voir. Vous n’avez pas à partager « ma philosophie », vous avez juste à comprendre la raison en elle même, car je ne fais que la suivre ELLE et non moi. Autrement dit, personne n’a raison, sauf pour manipuler et tromper les gens, la raison se suffit à elle même dans sa chaine de relation de causalité. Qui veut bien dire qu’on ne peut pas parler d’égalité en droits, en donnant à certains tous les droits et aux autres tous les devoirs. C’est illogique, irraisonnable, sauf par la manipulation et la contrainte. Mais comme il n’y a de droit que s’il y quelqu’un pour l’accomplir, l’égalité ne peut être que de la forme droit = devoir contenu dans chacun et non séparé pour permettre l’iniquité, à certains d’accumuler tous les droits (voilà pourquoi l’économie est monétisé) et aux autres les devoirs d’appliquer les droits. Bon, c’est épuisant à la fin, combien il faut expliquer qu’il ne s’agit pas de philo, pas d’utopie, mais de réalité physique basé sur une égalité mathématique. Que ce principe d’égalité est le fondement même de ce qui tient l’Univers dans son élément premier qu’est l’atome. Que c’est appliquer le principe compris par Lavoisier comme quoi « rien ne se crée, rien ne se perd, tout se transforme ». Etc...


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