Bonsoir,
velosolex
« je conseille davantage que Doineau,
trop malin, qui faisait souvent poser ses sujets, (voir l’histoire des amoureux
du pont neuf) celle de Willy Ronis, un poète avec un appareil photo."
Voilà qui me
fait chaud au cœur ! Moi aussi je ne cesse de dire que Ronis a été bien
meilleur que Doisneau dans sa manière de saisir la vérité des quartiers
populaires. Les photos de Ronis sont éclatantes de naturel là où celles de
Doisneau sont « scénarisées » et souvent « posées » comme vous
l’avez souligné.
Dans un texte de 2008, j’ai évoqué le Paris populaire que j’ai
connu gamin : Je me
souviens...