@CHALOT
Bonjour
Dans le cas où une association se porte garante pour un migrant et que celui-ci commet un crime, que se passe-t-il si la victime se porte partie civile et réclame un dédommagement financier ?
Le migrant étant évidemment insolvable, l’association va-t-elle devoir débourser à sa place ?
Si ce n’est pas le cas que signifie « se porter garant » ?