@ Thierry SALADIN
Désolé, je n’ai pas voulu vous froisser : j’ai parlé de « fantasme » non en rapport avec l’existence de documents étasuniens sur la volonté de marginaliser la langue française, mais en me basant sur le fait que l’évolution des équilibres linguistiques contemporains a beaucoup plus relevé de l’usage commercial que d’un objectif politique.
« qui a accès à ce type d’échanges planétaires ? Et de quelle valeur sont-ils ? »
Les gens évidemment les plus éduqués, et ils sont de plus en plus nombreux. Sur la « valeur », je n’ai pas de réponse, la question étant éminemment subjective.
En ce qui concerne l’augmentation du nombre de locuteurs français, les démographes n’ont pas le moindre doute, eu égard aux projections démographiques des pays francophones d’Afrique, et cela même si les langues locales renforcent leur rôle ici et là.
Cdlt