@oncle archibald
C’est bien ça le nœud du problème : combien l’acheteur-client est-il prêt à débourser pour s’offrir une œuvre, unique certes, mais noyée dans une concurrence très grande et alors que l’offre dépasse la demande, œuvre dont au final il peut se passer et que beaucoup n’acquièrent que pour afficher un certain statut social ?
Aucune régulation n’est envisageable, c’est un rapport de force qui s’établit avec des intérêts antagonistes. Et l’artiste ordinaire qui n’a d’autres ressources que la vente de ses œuvres est en position de faiblesse.
Seul ceux qui ont franchi le plafond de verre qui fait que posséder une de leurs œuvres est prestigieux (et a de plus un intérêt de placement) sont en force ... et riches !