La réalité crue : « J’attendais, cuisses ouvertes, sur la table gynécologique, pendant que mon mari se masturbait dans la pièce à côté, se souvient Nadine. Toute l’équipe médicale attendait avec moi. C’était long et je mourais de honte. Mon mari n’en finissait pas. Il faut avoir un solide sens de l’humour pour surmonter ça... ». Extrait de : https://www.psychologies.com/Famille/Maternite/Sterilite/Articles-et-Dossiers/La-Fecondation-in-Vitro-30-ans-plus-tard/Sexualite-le-couple-a-l-epreuve-de-l-eprouvette