@Gilbert Spagnolo dit P@py
La crise du capitalisme, jointe à la crise climatique — mais celle-ci est liée au développement de celui-ci — est connue de nos élites, de Macron, par exemple (voir ses discours de décembre 2018). Mais cette crise, non sans lucidité, est perçue comme la perte de contrôle d’une machine lancée à toute vitesse, qu’il est trop tard de vouloir arrêter. C’est donc la résignation qui domine chez nos hommes politiques, cherchant tout juste à mettre quelque brins de persil dans le nez de la « Camarde » qui va bientôt tous nous faucher.
Reste l’énergie du désespoir, celle qui est en nous malgré nous...