Je ne connais pas bien le sujet turc, même si j’ai lu à de nombreuses reprises que le dénommé Gulen était bien un agent de la CIA.
Ce qui est quasi-certain, c’est que ces gens-là, les Gulen-Erdogan & Cie vivent dans des mondes de réseaux (« frères musulmans », « Hizmet » en l’occurrence), lesquels réseaux attirent le chaland en bâtissant des nébuleuses ésotériques et historico-sociologiques agrémentées de nombreux livres et de moyens d’enseignements conséquents ainsi que d’un ensemble de propagande (presse, maison d’édition, radio etc...).
En fait, il s’agit peu ou prou de réseaux franc-maçons, à la sauce turque.
En ce qui me concerne, et ayant constaté l’influence pour le moins discutable de ce type de confréries en France, je me moque royalement qu’on brûle les livres de la mouvance du dénommé Gulen.
A noter qu’en 2008, le maire d’une ville Israélienne a perpétré l’autodafé d’un certains nombre d’exemplaires du nouveau testament, ce qu’aucun rabbin Israélien n’a voulu condamner.
Et si de bonnes âmes voulaient perpétrer un autodafé de toutes les saloperies violentes et propagandistes issues des studios de cinéma américains, je n’en serais pas plus ému que cela.