Ben moi, ma préférée a toujours été la fée Carabosse, avec son balai qui l’emmenait partout et sa tignasse au vent.
PS : au lieu de nous parler de malifactum et autres fricatives chuintantes, l’auteur, enseignante, aurait peut-être pu aborder le côté psychanalytique des fées. Tous les contes pour enfants, comme les berceuses d’ailleurs, ont une composante éducative symbolique visant à leur enseigner les rudes choses de la vie, et c’est passionnant.