@ Aristide
J’ai en effet écrit « les deux ayant estimé qu’il y avait eu abus de leurs subordonnés ».
Et pour cause : c’est la conclusion qu’imposait ces deux retraits qui sont intervenus dans des corps où — vous l’avez souligné vous-même — l’on ne déjuge presque jamais ses subordonnés, sauf en cas de faute évidente ou d’abus manifeste. Ce qui a été le cas les deux fois.
« il me semble que l’on prend un minimum de précaution dans son expression pour que ce soit clair »
Pas si l’on veut ménager la chèvre et le chou : faire droit à la demande d’un usager injustement verbalisé, et ne pas laisser d’écrit mettant en cause des subordonnés qui ont appliqué le règlement de manière obtuse. A ce niveau de responsabilité, c’est le discours de nature politique qui l’emporte le plus souvent.