pour ma part, l’essentiel vous échappe, car hier comme aujourd’hui il ne s’agit jamais d’une lutte entre des peuples au sens des citoyens qui les constituent en très large majorité n’aspirant qu’à vivre en paix avec leur voisin et qui exige l’équité socio-économique, mais de leur élite.
Bref, l’ennemi n’est jamais le citoyen d’en face, mais toujours celui qui à l’intérieur de votre propre pays domine et entend bien continuer.
L’idée est donc d’avoir toujours un l’ennemi extérieur et ainsi de s’assurer de la soumission du bon peuple, en France comme en Russie. Et le but du jeu est de créer un nouveau monde à la Orwell, garant du système de domination/soumission. Le pire étant que le bon peuple se retourne contre son élite, mais ils ont de la chance, avec des Renaud Bouchard qui s’obstine à regarder le doigt, le bon peuple sera toujours le dindon de la farce.