@Le bébé de Macon
d’où vient donc cette idée loufoque de transporter non plus les villes à la campagne, en France, comme le rêvaient les technocrates d’autrefois, mais les villes étrangères dans nos campagnes françaises ? Ce projet fou est venu cette semaine d’un tandem particulièrement funeste, un tandem qui ne fait plus qu’un à force de parler d’une même voix, celui d’Ursula von der Leyen et Emmanuel Macron.
Je n’ai rien lu à ce propos.Ensuite si ça n’a pas marché dans le temps... pourquoi s’inquiéter ?
Bien sur, l’omerta est complète , on ne veut pas vous inquiéter.
Une « hijra » dans les campagnes
françaises !
Ceux qui n’ont pas les moyens d’émigrer
dans ces pays étrangers se tournent parfois vers les campagnes
françaises. Une sorte de « hijra de l’intérieur ». Les villages
sont jugés moins impurs que les villes, car on peut y vivre un islam
rigoriste sans se voir flanquer un PV à chaque coin de rue pour port
de la burqa.
« Nous savons bien que le mieux c’est
une hijra en terre musulmane, nous avons essayé et nous avons du
rentrer pour différentes raisons, en premier lieu visa... Bref
donc en attendant, quitte à devoir rester en France, au lieu de
rester à bosser pour des koufars [NDLR : mécréants] en ville, faire
des aller retour canapé, lidl, mosquée, manger de la viande dont tu
n’est même pas certain à 100%, autant s’organiser... » explique une
internaute sur un forum musulman. « Ce n’est rien de moins que ce
qu’on déjà fait certains écolo-marginaux avec les écovillages,
mais version muslim ! » ajoute-t-elle.
Des rigoristes vivant en quasi-autarcie
A Saint-Uze, commune de 2000 habitants
dans la Drôme, les parents d’une famille de six enfants, qui se
sont installés récemment, refusent de scolariser leurs filles au
collège. Ces filles portent le voile et vivent sous la surveillance
permanente du père.
Quatre familles ont déménagé de
Montpellier pour s’installer à Marvejols, 5000 habitants, en
Lozère. Là encore, aucun des enfants n’est scolarisé.
La note s’inquiète de cette
« non-scolarisation »