Il ne faut pas confondre pauvreté volontaire et souhait de court-circuiter des produits, des modes et des comportements qui, en plus de ne pas être indispensables, sont grandement suggérés (je reste modéré dans le terme) par la publicité et le marketing, et aboutissent généralement au profit de quelques uns au détriment de TOUT le reste, y compris l’environnement ou la santé des gens qui fabriquent ou consomment, pour ne citer que quelques exemples.
Reste l’illusion pour le pur consommateur d’être à la pointe de quelque chose et de satisfaire un désir qui ouvre les portes du bonheur. Quitte à vivre d’illusions, autant vivre dans celles que l’on peut décemment transmettre aux générations futures.