frédéric :
A la fin du XIXe siècle, les bouchers de la Villette, qui se vantaient de tuer le bétail proprement, sans douleur (l’un assommait, l’autre achevait, et on ne savait jamais qui était personnellement responsable de la mort de la bête), reprochaient aux bouchers juifs d’égorger dans d’atroces souffrances, et fondaient leur antisémitisme affiché sur ce trait rituel...