@ PHILBRASOV ; On ne peut rien faire sans capital ; ce dont discute, c’est trois choses :
1) le rapport de force entre capital et entreprise, dont le « travail » est l’un des aspects. Un rapport entre passé et présent qui dépend de la vélocité du changement ;
2) le rapport de force entre capital matériel et compétence, laquelle n’est pas APPROPRIABLE ;
3) la fusion Capital-Etat, conséquence de la monétarisation/virtualisation qui fait de la richesse une conséquence du pouvoir plutôt que sa cause.
Je ne puis tout résumé, j’ai cents articles qui détaillent ces phénomènes et leur interrelation, mais s si vous prenez la peine de lire je crois que vous serez d’accord
PJCA