Sans oublier Bruxelles et Strasbourg, où le l’influençage est élevé au rang de fonctionnement normal, revevendiqué d’ailleurs comme tel par une lobbyiste sur AV lors d’une discussion, et ce point de vue se défend sous réserve effectivement de disposer d’une presse et d’assemblées puissantes, bosseuses et relativement libres d’esprit vis-à-vis de leur parti !
Dans le cas contraire, que pèsent des députés godillots souvcieux de leur réélection devant les groupes agroalimentaires (refus de la mention du taux de graisses hydriogénées), du pétrole ou de la chimie ? Si déjà ils se font pigeonner par une grosse secte comme la Sciento, que peuvent-ils devant les multinationales ou les partisans du laisser-faire en matière de spéculation fiancière ? Pas grand-chose.