Bonsoir l’auteur,
votre article est un peu vain là.
Parler de moralité dans la finance, c’est comme parler de la contesse de ségur dans un bouclard Thaïlandais. Vous pouvez toujours le faire, mais ça ne risque pas vraiment de faire changer les habitudes de la boutique !
Allez, je vous reconnais au moins un mérite : C’est celui de mettre en évidence le paradoxe intenable de la doxa libérale avec la réalité de l’existence. La dette est reine, sauf pour ce qui sont prêt à vous foutre sur la gueule pour ne pas la payer !