Bonjour à tous,
Fergus :
J’ai remarqué avec quel luxe de précautions on évoque le point de départ de l’affaire - l’emploi de Madame Woerth comme gestionnaire de la fortune des Bettencourt.
Le soupçon de conflit d’intérêts est non seulement légitime mais naturel - quel époux ou épouse prendrait sciemment des décisions qui iraient à l’encontre des intérêts de l’autre ? Ce soupçon est d’ailleurs reconnu dans le domaine de la justice.
Mais vous imaginez le désordre ! On parle déja des dégâts du pantouflage, alors s’il fallait en plus veiller à ce que Monsieur et Madame aient des fonctions compatibles, à une époque où les élites se reproduisent exclusivement en vase clos, alors on ne s’en sortirait pas.