Ne le prenez pas mal Pastori, je soutiens avec force ce que vous dites-là, mais je suis sûr que le « capitaine » en question frétille de joie quand on l’appelle ainsi, une joie malsaine, puisque cette façon de faire est une sorte d’allégeance qui compense largement le reproche que vous lui faites : Rocla fait partie de ces gens « arrogants et sûrs d’eux », n’en doutez pas.