Les dettes souveraines ne sont désormais plus rien qu’un tribut que les vaincus paient aux vainqueurs. Mais les vaincus ne sont pas les peuples, ce sont leurs dirigeants. Il appartient aux peuples de démettre ces dirigeants qui ont failli. Pour nous Français, l’échéance c’est 2012 ! Nous pourront alors leur dire : « qu’ils s’en aillent tous », avec leurs créances pourries.