Les libertés disparaissent l’une aprés l’autre ( et ils se trouve toujours des abrutis pour justifier tel ou tel oukaze) jusque dans le plus banal, le plus quotidien, les déplacements, le rire, la vie intime..
Les élections ne laissent plus le « choix » qu’entre Alcaraz et Tapioca
La démocratie directe n’est plus que le souvenir d’un rêve
Quand est ce que le couvercle de la marmite saute ?