Les exigences de Merkel (que j’approuve) sont d’autant plus remarquables que les banques les plus menacées par une faillite grecque sont allemandes (22,7 milliards de dollars de dette grecque), suivies de près par les françaises (14,9 milliards de dollars).
On peut penser que Merkel agit plus pour l’avenir de son pays que pour le bien-être des banques, contrairement à Sarkozy qui aurait tendance à faire le contraire.