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Les commentaires de ccomp



  • ccomp 9 avril 2010 17:08

    Xa,

    je ne ne cherchais pas à entrer dans les détails très compliqué des exceptions. car nous pourrions en parler pendant des heures. je vous explique juste le principe de l’assujettissement à la Sécu en France. Après, il y a des cas particuliers...
    Mais le principe de base reste toujours fondé sur la domiciliation.



  • ccomp 9 avril 2010 16:45

    Ulysse,

    l’impôt sur le revenu ne rapporte que 56 milliards d’euro à l’Etat. soit pas grand chose (et ne parlons pas de l’ISF qui coûte plus cher que ce qu’il rapporte).
    A cela, nous pourrions voir deux piste innovantes :
    la première de conserver l’impôt sur le revenu mais de modifier l’assiette et le taux afin de le rendre plus universel, plus équitable et plus profitable pour l’État en l’étant moins pour le contribuable (il faut rappeler que 50% des foyers sont exemptés d’IR).
    La deuxième serait directement de supprimer cet impôt une fois la dette de l’État supprimée car l’IR ne sert qu’à payer l’intérêt de la dette. Pas de dette, pas d’intérêt. Nous ne verrions pas la différence dans l’application, mais une réelle différence au niveau des prélèvements (pour 50% des foyers seulement).



  • ccomp 9 avril 2010 16:29

    Xa,

    vous vous méprenez !
    Si vous êtes travailleur frontalier, vous travaillez pour une entreprise de hors de France. Dans le cas qui nous intéresse, cette entreprise vous affilie à une assurance maladie en dehors de la France.
    Mais, ce que vous oubliez est que la Sécurité Sociale française doit être payée par toute personne domiciliée en France, c’est-à-dire, selon la loi, au moins 6 mois sur le territoire Français dans l’année.
    Si vous êtes travailleur frontalier, c’est que vous travaillez à l’étranger et que vivez en France. Donc le problème se pose bien car si vous ne demandez pas le remboursement, vous payez alors deux fois votre couverture santé, une fois en France et une fois à l’étranger.
    Ce qui compte n’est pas où vous travaillez, mais où vous vivez.



  • ccomp 9 avril 2010 07:36

    Il ne faut pas confondre le salaire brut qui est effectivement celui qui est négocié lors de l’embauche ou lors de l’augmentation, mais qui ne prend pas en compte la part patronale avec le salaire brut réel calculé dans l’article. Comme la loi le précise, si vous n’êtes plus assujetti à la Sécurité Sociale (parce que vous êtes, par exemple, un travailleur frontalier) alors on doit vous rembourser les prélèvements salariaux ET patronaux. C’est-à-dire la part prélevée sur votre salaire brut de départ mais aussi sur la partie « payée » par votre entreprise. Ce qui fait que, comme par magie, votre salaire réel obtenu est alors supérieur à votre salaire brut de départ. Comment expliquez vous cela ?
    Simplement, il faut bien garder à l’esprit que c’est une manipulation comptable qui permet de prélever plus à l’employé en lui laissant croire que l’entreprise en paie une partie, ce qui est faux puisque lorsque ces prélèvements n’existe plus (ce qui arrive toutefois très rarement) on vous restitue ce qui vous appartient.
    Ce n’est pas une arnaque de l’entreprise pour spolier le pauvre salarié, c’est une subtilité (appelons-la comme ça) pour masquer une partie des coûts réels imputés aux salaires. Être prélevé de 35%, on peut trouver cela encore acceptable au regard du service rendu (si l’on ferme bien les yeux et qu’on ne cherche pas à comparer avec les pays voisins), mais cela le serait moins si l’on indiquait directement 55% ou 60% de prélèvement rien que pour la SS.
    Alors, à partir de là, le raisonnement est simple et mathématique : si lorsque vous n’êtes pas assujettis aux prélèvements on vous restitue la part salarial ET la part patronal, dans le sens inverse, le salaire réel brut est la somme (à quelques choses près car vous avez justement rappelé que certains frais sont réellement à la charge de l’entreprise, mais il ne s’agit pas de prélèvements pour l’État, ce dont il est question dans cet article) du salaire brut + de la part des prélèvements sociaux imputés à la part patronale, c’est-à-dire ce que vous auriez réellement s’il n’y avait pas les dits prélèvements.



  • ccomp 10 juillet 2009 08:41

    Si le taux de réussite aux baccalauréats technologiques est plus bas, cela pourrait être aussi parce que le niveau est plus élevé. J’ai passé un bac technologique voilà quelques années et en matière scientifique, nous avions largement le niveau pour prendre les meilleures places des concours (y compris celles de nos camarades de Louis le Grand, etc.), entrer dans les meilleures écoles d’ingénieurs. Alors un taux de réussite de 60% ne me paraît pas anormal, et même plutôt normal. C’est un peu comme une élection présidentielle. Nous trouverions curieux qu’un président soit élu avec 80 voire 90 % des voix. 50 ou 60% paraîtraient plus normal.
    Personnellement, je préfère savoir qu’un bac n’est obtenu qu’avec 60% des élèves. Cela me donne plus l’impression qu’il n’est pas donné. Avec 78% du premier coup, j’ai comme un doute, surtout lorsque je vois les sujets et que je les compare à ceux de mon époque.



  • ccomp 5 septembre 2008 14:11

    est-ce parce que cet article n’est pas conforme à vos idéaux que c’est pure propagande ?
    Doit-on rappeler que la majorité des entreprises françaises ne sont que des PME-PMI, et la majorité des patrons des artisans ? Votre boulanger, votre boucher, votre poissonnier ; Ce sont eux les vrais patrons. Il faut arrêter de voir les grande entreprises côtées au CAC 40 (et qui font majoritairement leurs bénéfices à l’exérieur de notre pays) comme étant une règle absolue. Mais pour l’artisan la pression fiscale en plus de la charge salariale est énorme. Allons bon ! ces artisans là peuvent ils être considéré comme des ultra riches qu’il faut taxer ? je vous conseille d’aller leur dire lorsque vous irez acheter votre pain.
    Alors insulter les grandes entreprises et les patrons, c’est insulter ces gens là, des entrepreneurs qui prennent des risques, et qui, si leur affaire périclite, n’ont même pas le droit au chômage !



  • ccomp 5 septembre 2008 13:53

    Tout à fait d’accord avec l’article, mais il faudrait aller plus loin.
    Si l’on prend en compte que 95 % des cacncers sont lié à l’hygiène de vie (nourriture, boisson) et l’obésité, sans oublier les maladies cardiovasculaires (nourriture, cigarette), en responsabilisant les gens sur leur hygiène de vie, nous pourrions avoir des personnes en meilleure santé et donc diminuer le nombre de maladies longues.
    Je n’ai pas de porpositions à faire sur le sujet, j’expose juste le principe. lançons le débat !



  • ccomp 5 septembre 2008 13:45

    Les boulangers gagnent entre 3000 et 5000 euro par mois.



  • ccomp 5 septembre 2008 13:23

    Selon une étude menée par le sénat sur l’ISF justement, la somme totale des impôts payés en France par ceux qui se sont expatriés à cause de l’ISF reprensente 5 milliards d’euro par an (donc un manque à gagner).
    or, l’ISF rapporte 2 à 3 milliards...



  • ccomp 5 septembre 2008 13:14

    Oh que non ! Aucune servitude volontaire. la seule volonté de ne pas travailler toute ma vie pour une maigre -et minable- retraite. Le travail n’est pas une perte de temps, mais un investissement à moyen terme. j’investis donc dans l’avenir pour unn jour, me consacrer à ce qui me plaît vraiment.
    est-ce plus clair ?



  • ccomp 5 septembre 2008 13:10

    Et lorsqu’on lit vos articles, on voit aussi votre côté !
    Et alors ? les gens de droite sont ils moins méritants que ceux de gauche ? faut-il être de gauche pour avoir raison ? faut-il être de gauche pour apprécier Bach, Mozart ou L van B ?
    Je suis né pauvre, certes ! mais de toute mon existence, je n’ai jamais insulté ceux qui avaient plus d’argent que moi -ce qui, au départ, devait bien représenter la totalité de la population -. Non ! Parce qu’au-delà de la seule position pseudo-partisanne, j’ai vraiment autre chose à faire de juger les autres, de critiquer leur point de vue et de les maudires. Ceux qui sont plus riches que moi sont des modèles. plutôt que de les critiquer ou les haïr, je les observe, je les copie et, fort de mon travail, j’essaie de faire comme eux. Et si l’argent me manque, je travaille encore plus. L’argent n’est pas un but ou une force dotée d’une conscience, mais juste un outil. je suis nullement jaloux des riches, surtout pas de ceux qu’on peut voir à la télévision et qui gaspille bêtement leur argent en vanités. je suis comme vous, cela me répugne.



  • ccomp 5 septembre 2008 12:50

    Mon article a au moins le mérite de relancer le débat, qu’on soit pour ou contre. Ce qu’il faut c’est du débat, afin que les gens s’opposent, discutent, aprrennent à se respecter malgré leurs différents et finissent, ensemble, par trouver une solution. N’est-ce pas cela la solidarité ?
    or, nous voyons d’un côté ceux qui disent ( à tort ou à raison) : il n’y a pas de liens entre le taux d’imposition et la croissance, nous avons donc encore de la marge et ceux qui voient un lien et qui disent qu’il faut faire différemment. je ne prétends pas avoir la solution, mais je constate qu’on préfère brimer et brider plutôt que de motiver. Et je pense que cela n’est pas la bonne méthode.



  • ccomp 5 septembre 2008 12:41

    d’où mon articile sur "l’irresistible ascension de la dette". A moins d’une thérapie de choc, nous sommes piégés par d’un côté les engagements et les dépenses et de l’autre l’absence de recettes supplémentaires.
    Malgré les catastrophiques performances de l’education nationale (surtout sachant que nous ninvestissons le plus par tête de pipe) qui montre bien que le nombre d’enseignants ne fait pas la qualité de l’enseignement, nous voyons des bouclier se lever contre la diminution du nombre d’enseignants. selon certains, il en faudrait même plus.
    Nous fractionnons les classes pour mettre de côté les plus faible avec la bonne intention de nous consacrer à eux, en nous adaptant à leur rythme. Normalement, pour compenser un retard, il faut travailler plus...et non l’inverse. Moins vite, mais plus longtemps.
    or, ce n’est pas le cas. et l’on entend les professeurs (ma femme est prof, elle me raconte) dirent : "pour ces gamins, tout est déjà joué. ils ne feront jamais rien de bon."
    C’est encore curieux qu’une association de lutte contrze la discrimination n’ait pas encore prit ce problème à bras le corps... car les plus faible sont mis de côté et abandonnés malgré le fait qu’il y ait des classes plus petites, plus d’enseignants...

     



  • ccomp 5 septembre 2008 12:19

    d’où mon articile sur "l’irresistible ascension de la dette". A moins d’une thérapie de choc, nous sommes piégés par d’un côté les engagements et les dépenses et de l’autre l’absence de recettes supplémentaires.
    Malgré les catastrophiques performances de l’education nationale (surtout sachant que nous ninvestissons le plus par tête de pipe) qui montre bien que le nombre d’enseignants ne fait pas la qualité de l’enseignement, nous voyons des bouclier se lever contre la diminution du nombre d’enseignants. selon certains, il en faudrait même plus.
    Nous fractionnons les classes pour mettre de côté les plus faible avec la bonne intention de nous consacrer à eux, en nous adaptant à leur rythme. Normalement, pour compenser un retard, il faut travailler plus...et non l’inverse. Moins vite, mais plus longtemps.
    or, ce n’est pas le cas. et l’on entend les professeurs (ma femme est prof, elle me raconte) dirent : "pour ces gamins, tout est déjà joué. ils ne feront jamais rien de bon."
    C’est encore curieux qu’une association de lutte contrze la discrimination n’ait pas encore prit ce problème à bras le corps... car les plus faible sont mis de côté et abandonnés malgré le fait qu’il y ait des classes plus petites, plus d’enseignants...



  • ccomp 5 septembre 2008 12:07

    Le problème de notre pays est qu’il ne sait pas encourager les gens à payer leurs impôts. Ceux qui paient des impôts (les riches et les moins riches) ont l’impression de toujours payer plus, pour les mêmes personnes et que, malgré tout l’argent inversti, les choses ne s’arrangent pas. la solidarité fonctionne uniquement lorsque chacun est interchangeable, ce qui n’est pas le cas. L’ascenseur social étant plutôt en panne, les pauvres restent pauvres et les riches paient pour eux. ce qui provoque une fracture.
    C’est pour cela que, d’une façon imagée, j’ai écrit que celui qui paye la construction d’une piscine municipale (avec ses impôts) n’a même pas le droit à un tarif réduit en remerciement (comme c’est le cas au Canada, par exemple).
    Si payer ses impôts aide à participer à la construction du pays mais, en plus d’en payer, l’on a aucune reconnaissance, alors celui qui paye des impôts sera démotivé et cherchera à en payer moins (surtout que la piètre gestion de l’argent publique en fait perdre une grande partie).
    Si nous mettons la solidarité dans la discussion, alors peut-être devrions nous commencer à nous respecter les uns les autres. car si celui qui est aidé n’a aucune autre reconnaissance que de dire "il faut faire payer les riches encore plus", il est certain que ceux-ci n’auront aucune envie de le faire. nous sommes les uns contre les autres au lieu d’être les uns avec les autres.



  • ccomp 5 septembre 2008 11:50

    Le lien vers mon site est correct. Simplement, il ne contient pas d’articles sur l’économie ou la politique. Ceux qui s’attendaient donc à trouver d’autres chiffres et d’autres explications seront déçus.



  • ccomp 5 septembre 2008 11:40

    En effet, c’est la TVA qui rapporte le plus (un peu plus de la moitié des recettes). Mais les pourcentages indiqués ne mélangent pas les choux et les carottes. Ainsi, le taux de prélèvement du travail, par exemple, représente ce qu’on prélève "au travail" parmi les bénéfices du "travail seul". C’est n’est donc pas à rapprocher de la somme totale.



  • ccomp 5 septembre 2008 11:37

    L’article est intéressant, en effet. malheureusement, tenir compte de l’actif est une solution comptable pour se rassurer. Les Français ne disposent pas de la possibilité de vendre leurs routes, les hôptaux ou leurs écoles puisque, par défaut, tout ce qui est solidaire n’est pas exportable -même si nous construisons des écoles et des centrales huccléaires à l’étranger -. Une école n’est pas un simple bien immobilier comme pour un bien privé qui peut être vendu. il faudrait pour cela être assuré que nous aurons toujours des acheteurs pour récupérer les biens à vendre. Or, vu les montants en jeu, je vois plutôt les étarngers capables de les acheter comme ils le font déjà pour les châteaux en ruines.
    Mais dans ce cas, il y auarit une levée de boucliers pour ne pas brader la France. Cela dit, vu les piètres performances de l’Education Nationale, nous pourrions déjà réfléchir à vendre certains bâtiments... lol



  • ccomp 5 septembre 2008 11:13

    Non, ce n’est ni de l’humour, ni une plaisanterie. je suis réellement issu d’une famille monoparentale pauvre et l’on m’a toujours dit que le seul moyen de s’en sortir est de bien travailler à l’école. Et comme j’étais bien discipliné, j’ai écouté ces sages conseils.



  • ccomp 12 décembre 2007 17:06

    Et le pire dans tous cela est que les journalistes s’empressent de diffuser l’information... souvent sans aucun contrôle. C’est pour cela que les services secrets affectionnent particulièrement les journalistes pour diffuer leurs fuites... ils gobent tout et n’importe quoi... il suffit juste de leur faire croire qu’un Etat cache quelque chose d’énorme... Alors que la meilleure façon de dissimuler une chose est de l’exposer de façon insignifiante au grand jour... et personne n’y fera attention. Dans chaque pays, il y a un service spécial dédié à la diffusion de l’information qui étudient comment et quel journaliste contacter, comment lui présenter les choses, etc. Et le plus drôle est que de nombreuses informations confidentielles sont diffusées dans les médias les plus répandus...sans que personne ne s’en rende compte.