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Les commentaires de monpetitavis



  • monpetitavis 27 avril 2011 19:32

    Non mais franchement, vous ne trouvez pas que le système est déjà assez tordu comme ça pour avoir envie d’y ajouter la cerise sur le gâteau.
    Est-ce que vous vous rendez compte des effets pervers que cela va entrainer à chaque élection ?

    Cas de figure classique, nous sommes aux élections présidentielles : il y a fort à parier qu’un électeur PS mettra Sarko en dernière position, un électeur UMP mettra le candidat PS en dernière position, la moitié des électeurs jouera le jeu et inscrira les candidats dans l’ordre de préférence tandis que l’autre moitié, sans doute plus décidée pour tel ou tel candidat, mettre un inconnu en deuxième position pour que son poulain gagne.
    Au final, nous aurons un résultat qui ne ressemblera à rien.



  • monpetitavis 21 avril 2011 02:21

    Dis donc vous êtes expert pour prendre les gens de haut. En lisant vos autres post, je m’aperçois que c’est un don chez vous de traiter les autres de merde. A croire que vous rêvez que les gens finissent pas vous ressembler.
    Ce n’est pas de ma faute si vous avez compris ma phrase de travers sur la macro-économie. Je vous ai refait un long post derrière étayant divers exemples vous montrant que la vertu humaine n’a que peu d’influence sur les résultats au global. Commencez par sortir des chiffres tendant à prouver qu’un Suisse(puisque vous avez l’air de tant les aimer, eux qui roulent dans des voitures énormes) polluent beaucoup moins qu’un Français au global et on en reparlera.

    ps : Au fait, les Suisses recyclent plus que les Français mais produisent 2x plus de déchets/habitants. Comme quoi le débile n’est pas forcément celui qu’on croit.



  • monpetitavis 14 avril 2011 21:09

    Ce n’est pas en m’écrivant une tartine sur la norme Euro, RT et la différence micro/macro que cela vous rend plus savant. Dans votre grande argumentation, vous avez justement dit quel était le moteur de toutes ces évolutions : le critère économique et non la vertu.

    Plus l’essence coute cher et moins les véhicules polluants (disons consommateur sinon vous allez me réécrire une tartine sur la différence entre CO2 et particules) se vendent. Plus se chauffer coute cher, et plus les gens font attention à l’isolation et ainsi de suite.

    Si on prends un exemple récent, en regardant les chiffres, on se rend compte que l’adoption du bonus/malus écologique a eu un effet sur les achat de véhicules neufs bien plus importants que toutes les messages moralisateurs sur le fait que polluer ce n’est pas bien.

    Le développement spectaculaire des énergies renouvelables en France et ailleurs en Europe ne s’explique que par la politique de subventions et de tarif de rachat associé. Enlevez cela et 99% des gens refuseront d’installer un tel système pour payer l’électricité 2 à 4x plus cher pour l’instant (évitez de me faire un exposé sur les énergies renouvelables,on gagnera du temps).

    Vous prenez l’exemple de ville propre en Suisse. Nul doute que cela fait partie de l’éducation de chaque citoyen. Ceci dit, ce n’est pas pour autant que cela fait une grande différence en terme de pollution entre les citoyens suisses et français (niveau chiffre en émission de CO2/habitant, on est un peu moins bon que les Suisses et largement meilleur que les Allemands que vous auriez aussi pu citer en exemple pour la propreté de leur ville).

    Tout ça pour dire que je n’ai rien contre les petites économies d’énergies. Je pense être moi-même quelqu’un de plutôt vertueux en la matière et j’aurais pu ajouter des dizaines d’autres gestes bien plus efficaces en terme d’économies d’énergie. Cependant en supposant que par miracle, 100% des citoyens français adopteraient les gestes indiqués dans cet article, on arriverait peut-être à économiser 10% d’énergie au global (et encore je suis généreux). Du coup quand je lis que le titre de l’article est « Sortir du nucléaire, les bons éco-comportements doivent se généraliser », moi j’appelle ça de la niaiserie.
    Le but de l’action politique est de travailler en amont par l’édification de normes rendant obligatoire le développement de processus sans cesse plus écologiques et en aval par l’incitation fiscale rendant économiquement attrayant les comportements écologiques (et/ou non attrayant les comportements polluants). Car au final la propension qu’a un individu à polluer dépend essentiellement de la possibilité technique qui lui est offerte (travail en amont) et du cout de l’énergie au regard de son pouvoir d’achat (travail en aval). La vertu n’a qu’une valeur marginale là-dedans.



  • monpetitavis 14 avril 2011 16:04

    Désolé mais vous êtes autant à coté de la plaque que l’auteur. Le sens de mon message n’est pas dire que l’écologie ça commence à bien faire (je cite notre cher président) mais au contraire de dire qu’il s’agit d’une transformation de la société indispensable et complexe que seul peut réussir la volonté politique. Que je sache, si les voitures polluent moins aujourd’hui, ce n’est pas parce que les automobilistes ont boycoté les voitures plus polluantes mais uniquement parce que l’Etat a imposé les normes Euro aux constructeurs automobiles. Que je sache, si nos maisons sont mieux isolés, ce n’est pas parce que les acheteurs ont boycoté les logements énergivores mais uniquement parce que l’Etat a imposé les normes RT aux promoteurs.
    Un jour, il faudra comprendre qu’à l’échelle macro-économique tout homme est un agent économique qui fait des choix selon l’avantage qu’il peut en tirer. Au niveau micro-économique, vous aurez toujours des gens plus ou moins vertueux mais ça ne change qu’à la marge le résultat au niveau macro.



  • monpetitavis 14 avril 2011 10:47

    Je suis désolé pour l’auteur de cet article mais croire que ces économies d’énergie vont changer le cours des choses, c’est soit de l’ignorance soit de la niaiserie.
    Combien de temps faudra-t-il aux écologistes en herbe pour qu’ils comprennent que leur « révolution écologique » est avant tout un choix structurel de société et non la somme de bons comportements individuels. Changer le cœur des gens est éventuellement un vœu pieu qui pourrait sortir d’une homélie de curé, mais cela ne doit jamais être un projet politique. Le politique est là pour construire une structure guidant les choix individuels et non l’inverse (toutes les dictatures avaient pour projet de « changer » l’homme pour constuire un homme nouveau)



  • monpetitavis 7 décembre 2010 16:06

    Ne le prenez pas mal, mais je dois avouer que je ne vous comprends absolument pas.

    L’Euro ne m’appartient pas, ni à moi, ni à vous. Je ne décide, ni de sa création, ni des taux d’intérêt à court, moyen, long terme et ni des gens qui sont susceptibles de modifier ces taux ou de décider de la façon dont cette monnaie est créée.
    La création de l’Euro a demandé 20 ans travail, certes, mais ce n’est ni vous ni moi qui avons participé à sa création. On nous a demandé une fois notre avis, et c’était en 1992, date à laquelle, on nous faisait miroiter ses bienfaits économiques qu’on n’a jamais vu arriver.
    En revanche, pendant 20 ans, des bataillons de technocrates ont grignoté petit à petit tous les éléments de notre souveraineté et les médias ont participé à la création de cette entité supra-nationale en nous répétant à longueur de journée que l’Union Européenne c’est génial et que la France sans l’UE ne serait plus rien (bon c’est juste la 5e puissance mondiale mais c’est juste un détail).

    Puisque vous parlez de controle technique, est-ce que vous pouvez m’expliquer techniquement comment, avec une seule monnaie, vous auriez concilier une économie allemande en pleine politique de déflation salariale avec une économie espagnole en pleine bulle immobilière. J’ai pris un exemple simple, histoire de ne pas vous embêter avec les 14 autres économies composant la zone euro.

    Dernier point, pouvez-vous répondre à la question que je vous avais posée.



  • monpetitavis 7 décembre 2010 14:24

    C’est la première fois que j’ai vraiment du mal à comprendre la position d’un auteur vis à vis de l’Europe. Vous fustigez l’Europe des banques, critiquer l’aspect non-démocratique de l’UE, mais en même temps magnifiez cette monnaie qu’est l’Euro qui n’est d’autres que l’outil développé par ces mêmes banquiers pour retirer le peu d’indépendance qui restait aux Etats.
    Une question toute simple : Vous pensez sincèrement que les partisans de l’Euro et les partisans de cette Europe ultra-libérale et anti-démocratique sont des personnes différentes ?



  • monpetitavis 25 novembre 2010 00:59

    Bon article du daily telegraph et je remercie l’auteur de l’avoir traduit pour diffusion en Français. Seulement je ne comprends pas très bien l’intérêt stratégique de se réclamer être le seul représentant du courant eurosceptique alors qu’on représente juste un club de pensée qui ne s’est jamais présenté à une élection. Avoir raison ne suffit pas à accéder au pouvoir. Pour cela il faut, excuser du peu, se présenter à des élections (du moins tant qu’on est en démocratie).

    Par conséquent, je pense sincèrement, que vous seriez plus efficace en amenant les différents mouvement eurosceptiques à vos conclusions (principe de club de réflexion) plutôt que de se réclamer être le seul vrai patriote et que le monde entier sont des traitres.



  • monpetitavis 18 novembre 2010 13:42

    Tout à fait d’accord avec la proposition de l’auteur (quote-part déterminé en fonction de quelques critères simples : surface, nombre de parts, éventuellement résidence principale ou secondaire).
    Le système peut parfaitement s’adapter aussi à l’électricité.
    Sachant que statistiquement, ce sont souvent les personnes aux ressources modestes qui consomment modestement, cette mesure aurait l’avantage, en plus d’être écologique, d’être sociale.

    Pour le coté usine à gaz, je conçois qu’il y aura du boulot, mais si l’on compare cela aux usines à gaz des crédits d’impots, je crois qu’on y gagne au change.



  • monpetitavis 16 novembre 2010 11:38

    Bel exemple de lucidité politique



  • monpetitavis 22 juillet 2010 13:51

    Ma question était destinée à l’auteur de l’article.
    Je n’avais besoin d’un mini exposé, certes rafraichissant, sur le conditionnement culturel qu’il y a dans le choix du ricard smiley



  • monpetitavis 22 juillet 2010 10:52

    @ l’auteur

    Article très intéressant qui me fait poser une question : Quelle est votre conception de la liberté ? Sommes-nous réellement libres ou sommes-nous totalement déterminés par une relation absolue de cause à effet qui prend sa source à la Cause Première et dont rien ne peut dévier ?



  • monpetitavis 20 mai 2010 19:35

    Entre 2 et 4 ans de procédures administratives actuellement, encore plus avec la procédure ICPE.
    Non, non rien n’est entravé...



  • monpetitavis 20 mai 2010 17:59

    @jacquin

    C’est pour cela que je conjure d’arrêter d’exagérer. Les procédures administratives sont déjà extrêmement lourdes. 4 ans de procédures, 4 ans, vous vous rendez compte de ce que ça représente ? Je n’appelle pas cela « la moindre des choses ». Aucun autre pays n’a des délais si longs, admettez-le !

    Pour le point 4, allez-y sortez-moi une étude fouillée démontrant que la valeur patrimoniale baisse significativement et que les touristes fuient les zones éoliennes. A moins qu’on me prouve le contraire je n’ai jamais rencontré quelqu’un me dire « Ah non, je n’irai pas visiter le Danemark, il y a trop d’éoliennes ».

    Pour le reste, confondre cout et prix, ça fallait le faire. Je parlais de cout du nucléaire face au cout de l’éolien (environ 5ct/kWh). Le tarif de rachat n’existe que motiver des investisseurs à se lancer la -dedans. D’ailleurs, s’il vous restait un peu d’honneteté, vous devriez dire que ce tarif de rachat est décroissant dans le temps.

    Pour ce qui est des études de couts. Evidemment votre calcul en 3 lignes est mille fois plus pertinent que les études faites par une tripotée d’experts qui se sont fait chier pendant des mois pour analyser le cout de l’énergie dans sa globalité. On se demande bien à quoi ça sert de faire des études s’il suffit d’un calcul sur un coin de table pour analyser le cout d’une énergie.

    Au niveau de la CSPE, faut aussi se calmer un bon coup. La majorité de la CSPE est destiné à lisser le cout de l’énergie sur des critères géographiques. (acheminer l’électricité à Brest coute beaucoup plus cher qu’à Graveline). L’autre grosse partie est sur l’énergie de la biomasse. Et enfin une petite partie de la CSPE est destiné à subventionner l’énergie éolienne.


    Sur le dernier point, vous avez raison. Le chantier le plus important est de loin la réduction de la facture énergétique. Personnellement, je m’en tape de savoir combien de CO2 j’ai économisé avec une éolienne, ça je le laisse à l’isolation des maisons. L’important dans la production d ’énergie, c’est le cout de revient et l’autonomie énergétique. C’est pourquoi, maintenant que l’éolien a des couts de revient raisonnables (et qui continue de baisser), il faut se mettre sérieusement au développement de solutions de stockage énergétique efficaces et économiques.



  • monpetitavis 20 mai 2010 11:54

    Alors reprenons
    1) La limite à 15MW n’était pas innocente en effet. Comme vous l’avez dit, celle-ci aurait imposé aux constructeurs éolien de passer en HTB, ce qui d’un point de vue technique complique sérieusement les choses (compensation de réactif...etc). C’est pourquoi la grande majorité des centrales sont à 5 mats de 2MW chacune.

    2) Je ne sais pas dans quelle planète vous vivez pour croire que les constructeurs d’éoliennes concluent leur projet en deux temps trois mouvements avec un maire véreux et sans prévenir les citoyens. Pour avoir parlé avec quelqu’un qui bosse justement dans les relations avec les administrations, elle me raconte que c’est juste un calvaire. Avec toutes les procédures, les autorisations administratives, les enquêtes d’opinions, un projet éolien prend, uniquement dans la phase de développement, entre 2 et 4 ans. Avec l’ICPE, on va encore allonger ce délai. De plus, un projet peut être stoppé du jour au lendemain parce qu’un citoyen refuse le projet (exemple d’un projet en Ardèche arrêté parce qu’un marseillais qui avait une maison de vacances près d’une éolienne refusait le projet alors que tous les locaux l’avaient accepté)

    En comparaison avec les autres pays, nous sommes sûrs d’une chose, c’est que nous sommes le pays qui limite le plus l’implantation d’éoliennes du point de vue administratif.

    3) D’accord avec vous. Le développement de l’éolien devrait faire l’objet d’un schéma directeur national. Laisser la création des ZDE au bon vouloir des instances locales ne peut rendre que plus anarchique leur développement

    4) Un excellent rapport de l’Afsset analyse avec objectivité les nuisances sonore de l’éolien. Leur conclusion est que 500m est une limite largement raisonnable dans la quasi-totalité des cas. Cependant il préconise de maintenir l’étude d’impact obligatoire qui est mené par un bureau d’étude pour chaque projet.


    Pour ce qui est de l’apport de l’éolien, je crois que nous avions une brève discussion à ce sujet. Le cout de l’énergie éolienne est actuellement légèrement plus élevé que le nucléaire qui lui comporte une énorme incertitude quant au cout de démantèlement (le seul projet de démantèlement connu a couté 20 fois plus cher que prévu)
    Au niveau de l’impact économique à l’horizon 2020, trois études existent, l’une de l’institut Montaigne qui y voit une perte, une autre du SER qui y voit un gain et enfin une dernière, celle du CAS, qui voit la chose à l’équilibre. Tout l’enjeu est de bien mesurer l’ensemble des externalités inhérentes à l’énergie et à ce petit jeu-là, je crois que nous sommes totalement dépendant de notre subjectivité qui fait que nous exagérons ou diminuons les avantages et les inconvénients en fonction de ce qui nous arrange (aussi bien du coté pro que anti-éolien)



  • monpetitavis 5 mai 2010 10:22

    @Jacquin
    Je sais bien que vous parlez de productible. Je me contentais juste de fournir le cout final de l’énergie éolienne plutôt que de faire un assemblage de chiffre exagérés qui aboutissent à un montant délirant (par exemple mon premier post sriptum était là pour dire que votre coef 20/60 ans était faux car on ne construit pas 3 éoliennes pour une durée de 60 ans, on change les parties mobiles, voyez donc cela comme de la maintenance sur un même site).
    Résumons donc par le simple fait qu’aujourd’hui l’énergie éolienne est légèrement plus chère que le nucléaire et que l’écart se reserre. Je préfère ainsi m’éloigner des exagérateurs de tout poil qui disent que l’énergie éolienne soit ne coute rien, soit coute les yeux de la tête.

    Pour ce qui est de la puissance maximale, la tendance est en effet à la hausse. A l’heure actuelle, ils sont limités à 5MW pour des raisons de transport. Puisque vous critiquez le manque de puissance des éoliennes, j’imagine que vous serez plus heureux (ou moins mécontent) lorsque ces dernières atteindront des puissances de 10MW, non ?

    A propos de Superphenix, je pense que c’est un peu facile de se réfugier derrière des arguments politiques. Si l’échec n’était que politique et non scientifique, on aurait du voir depuis longtemps d’autres projets éclorent à l’étranger. (en supposant que tout est bloqué en France pour des raisons politiques ce dont je doute).
    La réalité est que beaucoup de pays se sont cassés les dents sur cette technologie et que quand bien même nous arriverions à la développer, cette dernière n’arriverait pas avant 30 ans et on ne connait pas encore le cout de cette énergie (car comme vous le savez, le cout de l’énergie nucléaire dépend surtout de la complexité de la centrale et à peine du minerai).



  • monpetitavis 3 mai 2010 14:16

    @Jacquin
    On fait difficilement mieux en terme d’exagération de chiffre. Puisque vous avez surement un fond scientifique, vous admettrez que l’important est de raisonner, non en terme de puissance mais plutôt en terme d’énergie pour mesure la rentabilité d’une technologie.
    Si l’on raisonne comme cela, le nucléaire tourne aux environs de 3ct/kWh avec une grosse incertitude sur les couts de démantelement. L’éolien tourne aux environs de 5ct/kWh (racheté à 8ct/kWh) et ce cout ne cesse de diminuer à mesure que la filière s’industrialise.

    Conclusion, l’énergie éolienne est pour l’instant légèrement plus chère que le nucléaire tout en étant plus simple à installer et désinstaller. Le principal défi reste celui de l’intermittence pour lequel des progrès reste à faire en terme de stockage et de controle de tension et fréquence.

    ps : au bout de 20 ans, une éolienne ne se désintalle pas, on change les parties mobiles et c’est reparti pour 20 ans.
    ps2 : Contrairement à vous, qui êtes anti-éolien, je ne suis pas anti-nucléaire. Je connais très bien les développements attendus dans le nucléaire (neutrons rapides, surgénération), et je considère que ces pistes doivent être explorées même si les réalisations sur le terrain en France et à l’étranger ont toutes échoué pour l’instant.



  • monpetitavis 30 avril 2010 00:50

    Cher Herbert
    Je ne rebondirai pas sur le différent qui nous oppose dans l’importance que l’on met ou pas à laisser s’éteindre une race développée par l’homme. Ceci ne vous affecte pas, moi si.

    Pour le reste, le fait que vous considériez à égalité (peste et choléra) un Juste aficionado et un collabo anti-corrida me glace litéralement le sang et je vous invite sérieusement à réfléchir à la gravité de vos propos.
    Je pensais sincèrement que vous alliez dire que mon exemple était vaseux mais que bien entendu sauver des vies humaines est plus important que sauver des vies animales.
    Dans votre indisctinction de l’homme et de l’animal, quelle est la prochaine étape ?
    Sauver votre hamster avant vos enfants en cas d’incendie dans votre maison ?
    Qualifier les carnivores de meurtriers cannibales ?

    Là pour le coup, vous avez gagné. J’ai beau être partisan de l’arrêt des mises à mort, Je n’ai plus envie de discuter.



  • monpetitavis 29 avril 2010 01:50

    Très cher Herbert, je suis sincèrement désolé d’avoir heurté votre si grande sensibilité. Ma question, puisque vous vous référez à votre article (que vous devez trouver génial mais qui pour moi est d’une lourdeur sans nom) rebondit sur votre deuxième symbole dans lequel vous introduisez, pour donner plus de force à votre texte, la disparition d’espèces dûe à notre folie destructrice.
    Lier ce problème avec la tauromachie est d’une stupidité sans nom et c’est ce que je voulais vous dire. Le seul point attaquable dans la tauromachie est la souffrance gratuite. Ce n’est pas la peine d’en rajouter avec la disparition des espèces !

    Pour le reste de votre article, quand vous comparez les anti-corridas avec les justes de France, j’ai préféré ne rien dire par politesse. Mettre sur le même degré d’humanité un être humain et un bovidé me paraitre d’un point de vue philosophique totalement hors de propos (et même plutôt dangereux quand l’on voit que certains extrémistes qui sont allés plus loin que vous sont allés jusqu’à tuer des êtres humains en réponse à la mort d’animaux).

    Si je m’amuse à lier tous vos arguments pour en faire une question « hors de propos », Herbert, si vous deviez choisir, vous préférez un Juste afficionado ou un collabo anti-corrida ? smiley



  • monpetitavis 28 avril 2010 19:50

    Juste une question : Quels sont vos critères d’élection à la pérennité ?
    A vous lire, on dirait que vous vous fichez que l’homme s’efforce de protéger des espèces. On dirait que vous préfereriez que la nature fasse seule son travail de sélection, quitte à voir disparaitre la quasi-totalité des animaux domestiques.