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Les commentaires de Philippe VERGNES



  • Philippe VERGNES 29 mars 2018 23:38

    @ pemile,

    « Mais si, vous avez révélé plusieurs fois votre euphorie et plaisir en pensant avoir “coincéˮ JL, trouvez-moi un seul jugement qui reconnaîtrait dans ce cas que vous avez subi un harcèlement ? (et donc un préjudice). »

    En quoi, au regard des informations que je vous ai communiquées, pouvez-vous affirmer : « Mais si ? »

    Vous confondez les niveaux de réalité et c’est vous qui avez pourtant proposé le principe pseudo-scientifique de jugement par les pairs alors même que toute votre attitude ici et sous le fil d’alinea témoigne du fait que pour vous l’affaire est déjà entendue. Je me trompe ? Si non, reprenez-moi, je vous prie.

    Pour l’instant, à mes yeux vous inférez et surinterprétez, quant au jugement qui reconnaîtrait... blablabla, ne vous inquiétez donc pas de ça, ce n’est pas votre problème, mais le mien et cela ne peut en aucun cas préjuger de la suite qui sera ou ne sera pas donnée à cette affaire si elle doit être portée devant la justice, mais nous ne sommes pas au tribunal ici. Donc, comme je ne suis pas Madame Irma, je ne préjuge de rien. Par contre, je constate encore que vous « jugez » sur la base d’un énoncé multiordinal... tout en prétendant connaître le b-a-ba de la Sémantique générale (SG). Soit, pour la deuxième fois j’en prends acte.

    « Lorsque je vous dis que votre enthousiasme pour le livre de Déthiollaz sur Nicolas Fraisse (et son usage d’un huissier) représente pour moi un indice de votre manque de jugement, est-ce que je m’attaque à votre dignité ? »

    ABSOLUMENT PAS ! Mais vous affabulez. D’où le fait que je me demande ce que vous lisez et en retenez lorsque j’écris. Si c’est un dialogue de sourds que vous souhaitez entretenir, prévenez-moi d’avance. J’arrêterais immédiatement de vous répondre, vous savez à quel point j’aime avoir le dernier mot.

    Il ne vous est pas venu une seule seconde à l’esprit malgré la longue discussion que nous avons eu ensemble sur le sujet, que pour moi, enthousiasme ou pas enthousiasme, le dossier Déthiollaz est un dossier ouvert dans mon esprit et le restera probablement jusqu’à ma mort. Ce qui signifie que si je m’y intéresse, je ne porte strictement aucun jugement alors même que de votre côté, il vous faudrait absolument que je me prononce pour ou contre. Ben... non, désolé... je ne fonctionne pas comme ça... et m’imposer de juger un dossier que je ne veux pas juger pour garder l’œil ouvert à toutes informations, ben... c’est très égotique comme réaction.

    « PS : quand à vos pavés interminables pour décortiquer UNE phrase dans le but de dénoncer un harcèlement de 6 ans, je trouve cela ridicule smiley »

    C’est votre opinion... absolument pas la mienne ! 

    Il est assez marrant de constater cependant que vous me refusez un droit, presque une obligation pour le déroulement de tous échanges conviviaux, là où justement, tout ce conflit avec JL est né de son insistance à vouloir continuellement couper les cheveux en quatre à la moindre phrase qui venait de ma part et qui ne lui convenait pas. Me refuseriez-vous donc le droit que s’octroie votre champion à chaque fois que j’écris sur ce forum citoyen ?

    J’aimerais l’entendre... surtout de la part de quelqu’un qui se revendique posséder le b-a-ba de la Sémantique générale (SG)



  • Philippe VERGNES 29 mars 2018 19:37

    @ Bonsoir jalin,


    Avez-vous lu ce livre ?

    Si oui... moi aussi. Je vous propose donc d’en lire également ma critique : « Le pervers narcissique n’est pas celui que croit Marcel Sanguet ! »

    Nous pourrons ensuite en reparler, si vous le voulez bien.



  • Philippe VERGNES 29 mars 2018 19:10

    @ JL,


    Quelques précisions sur ce message qui l’air de rien, inverse la relation de cause à effet : « Vous pouvez continuer à me provoquer… » est une attaque inversive. Je souhaiterais que vous m’indiquiez sous quel article j’ai, une seule fois pu « tirer » le premier ? Il y en a peut-être, je ne le nie pas, mais dans le doute je m’abstiens avant d’accuser, il faudrait en apporter la preuve.

    « Est-ce que, dans le cadre de votre fonction, vous n’aviez pas un devoir de réserve ? »

    Le seul droit de réserve concerne les dossiers et l’anonymat des victimes. Rien de plus. Je ne voie pas ce que cet argument vient faire ici.

    « Vous n’aviez qu’à poster sous un pseudo, comme tout le monde. »

    J’ignorais jusqu’à ce jour que c’était une obligation du cite avant de pouvoir proposer un article à la publication. Vous venez de me l’apprendre. Peut-être devrais-je supprimer mon compte et en recréer un sous pseudo, quand pensez-vous ?

    « Vous avez voulu le beurre et l’argent du beurre, la notoriété et les arguments d’autorité. »

    Ha… ??? Comment pouvez-vous en être si sûr ? Personnellement, je n’ai jamais affiché de telles prétentions.

    « Je vous répondrai donc comme vous l’avez tant de fois fait à mon encontre : vous récoltez ce que vous avez semé. »

    Et qu’est-ce donc que j’aurais semé qui me vaut la peine d’être harcelé pendant 6 ans ? Vous pouvez éclairer ma lanterne sur ce point, car vous en dites trop ou pas assez et sur le coup, je ne vois pas en quoi écrire des articles sur la perversion narcissique mérite un tel « châtiment » de votre part.

    « Ps : Par discrétion je ne dirai rien quant à que je pense des rapports du point de vue “profil professionnelˮ, entre un psychanalyste et un consultant qui établit les rapports que vous dites, ni de l’ambiguïté qui frise l’imposture, que vous avez entretenue pendant 6 années à ce sujet. »

    Ha… ??? Vous ne dites rien, cependant et de façon allusive vous pouvez insinuer que mon attitude, je cite : « frise l’imposture »… et ce sans rien en dire. Vous pouvez donc dire une chose et son contraire dans une même phrase, mais toujours sans rien en dire. Vous pouvez m’indiquer qu’elle est cette forme de communication que vous entretenez avec moi depuis le tout début de votre apparition sous mes articles, parce que pour le coup, je vous avoue que j’ai du mal à la comprendre : vous ne dites rien, tout en le disant quand même, mais sans le dire…

    À ce titre, je rappelle tout de même qu’il y a également diffamation lorsque l’attaque est proférée de façon indirecte et/ou allusive.

    « RePS : Vous pouvez supprimer ce post, je ne réclamerai pas. Ce sera mon dernier mot sur cette longue, trop longue affaire. »

    Pourquoi supprimerais-je votre post puisque nous sommes là tous les deux pour mettre les choses au point une bonne fois pour toutes, en espérant que cette fois-ci, il n’y aura plus aucune suite qu’elle que soit l’’issue de ce débat qui commence bien mal, à la vue de vos accusations inversives et de vos insinuations. J’espère que si vous me répondez encore, vous aurez la courtoisie de m’écrier sans exagérer le sens de vos propos en l’absence de preuve.



  • Philippe VERGNES 29 mars 2018 15:30

    @ tous,


    J’arrête ici de commenter cet article et accepte les conditions sans restriction de la poursuite de ce débat sous l’un de mes articles telles que suggérées par Shawford et pemile. Le premier me parait être le plus approprié. Il est de circonstance puisque je viens d’y poster mes réponses aux objections de pemile en débloquant le compteur de réaction : Campagnes électorales & manipulations.

    N’ayant pas lu tous les commentaires encore, si j’ai raté des questions qui m’ont été posées et que leur auteur en attendent une réponse, je les prie de bien vouloir la réitérer sous l’article en lien ci-dessus.


  • Philippe VERGNES 29 mars 2018 15:15

    pemile 29 mars 11:10

    @JL « Peut-être une bonne âme qui s’en souvient, se dévouera-t-elle ? »

    Le premier serait là https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/comment-reconnaitre-un-pervers-128503#forum3593208

    pemile 29 mars 11:18

    @Philippe VERGNES « Car voilà ce qui serait intéressant et prouverait probablement votre harcèlement sans même avoir à argumenter outre mesure. Mais rassurez-vous, vous m’en avez donné l’idée (vous voyez, je sais être reconnaissant). Je vais m’y lancer ! »

    Ce qui est condamnable dans le harcèlement, c’est la souffrance générée. Dans le cas ici présent, il semble plutôt que vous affichez un « certain » contentement voir même du plaisir à tenter de « coincer » votre « harceleur » ?

    pemile 29 mars 11:35

    @Shawford « sans agir effectivement »

    La justice a autre chose à faire, non ?

    Continuons dans un principe pseudo scientifique de jugement par des pairs ?

    Il me semble que PV en a fait l’appel plusieurs fois, « pourquoi personne sur AV ne réagit depuis 6 ans » ou quelque chose de ce genre, non ?

    Nous sommes plusieurs à avoir mis notre grain de sel dans cette « histoire », transformons cette saison 6 en téléréalité participative ?

    =-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=

    Je plussoie la proposition de Shawford approuvée par pémile (« Continuons dans un principe pseudo scientifique de jugement par des pairs ? ») et je réponds au trois commentaires de pemile en lien ci-dessus (en espérant qu’ils fonctionnent). JL est bien entendu libre d’intervenir sous cet article pour nous faire part de son point de vue.

    Dans tout « procès », il faut des avocats pour chacune des deux parties et la recherche de la vérité, tant pour JL que pour moi, en passe à mon sens par cette recherche de « juste milieu », chacun a donc bien son rôle dans ce débat qui risque d’être plus animé encore que la saison 6 d’une teléréalité participative. Les premières ont eu leur public… qui est passé à autre chose et c’est tant mieux.

    J’ai donc débloqué JL, et je réponds donc ici aux objections et aux interrogations de pemile tout en appréciant qu’il puisse mettre le conditionnel dans ses propos.

    La justice a effectivement autre chose à faire (je répondrais plus tard à Shawford sur ce point et qui à mon sens n’est pas du tout infondé).

    Une précision cependant, lorsque je parle de harcèlement, je ne réduis pas cette problématique à ma petite personne, car je prends ces affaires sont très, très, très au sérieux. Pour moi, il y a meurtre d’âme… ou selon les cas : tentative de meurtre d’âme. J’expliquerais pourquoi si on me le demande.

    Sur la question de la souffrance dans le harcèlement comme condition nécessaire à sa condamnation : non (mais c’est un poil plus complexe) ! Il suffit que la dignité de la personne soit attaquée dans le cadre de ses activités : je suis consultant « multicarte » et l’une de ces cartes est justement pour moi de monter des dossiers de pièces à conviction pour démontrer le bienfondé d’un harcèlement devant un tribunal. C’est-à-dire que j’offre des prestations de services à des cabinets d’avocats pour « bétonner » des dossiers de défenses. Et puisque certains aiment les chiffres, jusqu’à présent j’en ai monté quatre (c’est une démarche très longue, grosso modo de trois à cinq ans) : tous gagnés, jamais un seul dossier à monter pour moi-même.

    Passons maintenant au gros du morceau et à l’accusation de JL. Que dit JL tout en me traitant de menteur par la suite sans en apporter la moindre preuve (qui sera apportée, au conditionnel, par pemile) ?

    Cette histoire de procès sur ce fil de discussion est partie du commentaire de JL 29 mars 08:20 qui, reprenant un message (sur lequel, je reviendrais probablement plus tard) que j’ai eu avec kalachnikov à propos du « ciseau » de ce site, déclare : « Vous mentez, PV : crever l’abcès comme vous dites, vous avez plusieurs fois tenté de le faire depuis que vous avez compris que je ne me soumettrai pas, c’est-à-dire depuis bien des années maintenant. Si nous en sommes encore là dans quelques jours j’irai chercher les preuves que vous avez déclaré à plusieurs reprises avoir engagé des poursuites judiciaires à mon encontre. » (En gras les propos de JL, en italique, c’est moi qui souligne.)

    Je reprends ici la phrase en italique, selon JL j’aurais « déclaré à plusieurs reprises avoir engagé des poursuites judiciaires à mon encontre ». Or, comme je l’indique à Self con troll, PV , si tel avait été le cas, je connaîtrais l’identité de JL indépendamment du résultat du procès (qui n’est jamais acquis d’avance dans les cas de harcèlement) ET par ailleurs, j’y déclare même que je n’ai jamais caché mon intention de porter plainte contre JL. Ainsi, « déclarer à plusieurs reprises avoir engagé des poursuites judiciaires » à l’encontre de JL n’est que pure affabulation. Il ne s’agit pas de jouer sur les mots, car dans ce genre d’affaire, les mots ont une importance considérable dans le contexte de leur énonciation (cette omission permanente du contexte est ce qui fait que JL affabule tout le temps).

    Je rappelle donc le contexte : le message trouvé par pemile (ils y en a plusieurs de ce genre sous mes articles) ont été envoyé à JL dans le contexte d’une longue suite d’agression verbale diffamatoire à mon encontre où, si mes souvenirs sont bons (je ne vérifie même pas), j’ai d’abord posé des limites à JL qu’il n’a eu de cesse d’outrepassées… en bout de course : le message trouvé par pemile.

    Sur la nature du message maintenant, un peu de réflexion ne fera pas de mal : quelle est donc la nature de mon message ? Quelle est celle du recours envisagé alors ? Quels en sont les délais de recours ? Si, comme JL le soutient, j’avais engagé des poursuites à son encontre, je connaîtrais son état civil en personne. Or, ce n’est toujours pas le cas à ce jour.

    Prenons le pire des cas, j’ai menacé JL d’un recours en justice alors que je souhaitais plutôt lui mettre des limites pour qu’il me lâche la grappe espérant ne pas avoir à en arriver à une telle issue… mais passons. J’ai menacé JL, s’il avait perçu une telle menace il aurait dû m’écrire : « vous m’avez menacé à plusieurs reprises… ». Ce que je n’aurais pas démenti, car il y a une nuance très importante entre le faire et l’intention de faire. À ce que je sache, personne n’a jamais encore été condamné à quoi que ce soit pour des intentions sans passage à l’acte (car ça, c’est de la dictature). Par contre, s’il y acte, on en cherche alors l’intention sous-jacente. Pas l’inverse !

    Cette accusation inverse est la caractéristique de la défense de JL. C’est une constante dans toutes ces interventions dès que l’on rentre dans un débat technique.



  • Philippe VERGNES 29 mars 2018 10:34

    @ JL,


    « Je note qu’en attendant c’est un déni de plus en même temps qu’une manœuvre dilatoire. »

    En attendant, la seule chose que vous auriez à faire ET QUE VOUS DEVRIEZ FAIRE POUR vous conformer au principe de réalité, c’est de suspendre votre jugement. c’est toute la différence que fait Korzybski entre la santé mentale et la « maladie mentale » (qu’il m’est toujours entre guillemets dans ses écrits, du moins ce que j’ai pu trouver). Autrement, c’est affabulé !



  • Philippe VERGNES 29 mars 2018 10:24

    @ JL,


    Oui JL... je vous écoute... en droit français l’accusateur SE DOIT d’apporter la preuve de son accusation, sinon, c’est de la diffamation, de la calomnie, des insultes, des disqualifications et du dénigrement, etc.

    Donc comme toujours vous m’accusez, on a bien compris, mais pour être conforme à la charte de ce forum et eu égard au droit français : UNE PREUVE PEUT-ÊTRE ?

    Parce que de mon côté, ce que je ne suis pas en mesure de prouver, je le tais.


  • Philippe VERGNES 29 mars 2018 09:25

    @ JL,


    « ... vous savez très bien comme moi que vous avez à plusieurs reprises déclaré avoir entamé des poursuites judiciaires à mon encontre. »

    J’ai écris il n’y a pas si longtemps à Self con troll que si j’avais entamé, comme vous dites, une telle chose... nous nous serions déjà rencontré et je connaîtrais votre identité indépendamment de l’issu d’un quelconque procès. Vous me prenez vraiment pour une bille !

    JE VOUS AI POSE DES LIMITES, D’ABORD AU REGARD DE LA CHARTE DE CE FORUM... ENSUITE EN VOUS INDIQUANT QUE VOUS ME DIFFAMIEZ ET CE EN VOUS COPIANT LES TEXTES DE LOIS.

    Limites que non seulement vous n’avez jamais respectées, (or comment évite-t-on d’entrer dans un triangle de Karpmann ? Je vous laisse chercher), mais qu’en plus vous avez outrepassé au prétexte que si vous contreveniez à la charte du forum, la modération aurait réagi. Ce qu’elle n’a jamais fait en dehors de la suppression de quelques messages. On en est plus là aujourd’hui.

    JE MENS DONC SI VOUS VOULEZ, MAIS TOUT CE QUE JE VOUS DEMANDE, TOUT CE QUE J’AI TOUJOURS DEMANDÉ AU-DELÀ DE VOS INCESSANTS DÉLIRES INTERPRÉTATION, C’EST DE PROUVER CE QUE VOUS AVANCEZ !

    IL EN EST EXACTEMENT DE MÊME DE LA FAÇON DONT VOUS PRÉTENDEZ DÉFENDRE VOS IDÉES DÉLIRANTES.

    Et je dis ça, sans aucune amertume ni rancune, simplement en vous mettant le nez face à une réalité qu’il vous est impossible de percevoir. Donc, si vos accusations sont en rapport à la réalité : donner nous la preuve de ce que vous avancez, s’il vous plait ! Bas les masques, foin de la diffamation, des calomnies, des mensonges et autres insultes : des preuves !


  • Philippe VERGNES 29 mars 2018 08:55

    @ JL,


    « J’irai chercher les preuves que vous avez déclaré à plusieurs reprises avoir engagé des poursuites judiciaires à mon encontre. »

    FAITES DONC !

    Je m’en suis déjà expliqué et c’est toujours ce que je vous ai demandé dans toutes nos discussions : des preuves. Là où vous n’aviez a m’opposer que la seule toute-puissance de votre pensée magique dans le plus pur déni des éléments factuels que je vous communiquais.

    Déni des éléments factuels que je vous communiquais, mais que vous repreniez à votre compte et à votre façon sous d’autres fil de discussion en vous posant en tant que « sachant ». C’est le cas typique de l’utilisation que vous faites de la notion de pensée perverse propre à Racamier qu’en plus vous pervertissez.

    « Sans faire de complotisme de bazar je peux me risquer à penser que vous aurez essayé d’obtenir auprès du site, mon nom à l’état civil. Comme ils sont tenus par des règles très strictes, vous les aurez menacés de poursuites judiciaires et ils auront transigé en vous accordant ce bouton « bloquer ce commentateur », faisant ainsi d’une pierre deux coup vis-à-vis d’autres demandeurs. »

     smiley smiley smiley smiley smiley smiley smiley smiley smiley smiley

    Ça se passe de commentaire. Mais de vous à moi, vous nous donnez là à voir et à lire, même si ce n’est pas la première fois pour moi, votre délire de persécution typique d’une paranoïa.

    « ... ce sont les idées en général quand je m’y connais et que je les juge mauvaises... »

    Le problème, c’est que vous trouvez des idées mauvaises sur des sujets où vous n’y connaissez strictement rien. Vous avez tout résumé...

    Quel est l’imbécile qui peut croire que vous avez appris ce qu’était la perversion narcissique en lisant Freud alors que ce dernier est mort en 1939 et que la perversion narcissique a été découverte dans les années 1980 par Racamier ?

    S’il y a quelqu’un pour croire à une telle chose, qu’il se manifeste ici même ou bien se taise à jamais. Parce que ce genre de couleuvre, vous les faites avaler aux « benêts » de la classe que vous prenez bien pour des cons au passage, mais pas à moi. Et ça, ça vous emmerde drôlement.

    « Si les choses prennent en viennent à s’envenimer aussi outrageusement c’est parce que, au lieu de rester au plan des idées, vous faites tout de suite un pataquès en invoquant notre passif, car ce que vous n’avez pas supporté sous vos articles, vous ne le supportez pas davantage ailleurs. »

    Accusation inversive... je suis toujours resté sur le plan des idées, mais comme si on creuse un peu, on trouve votre vide abyssal, vous bifurquez tout de suite sur les sophismes et l’attaque ad personam qui vire rapidement à l’insulte, la diffamation, la calomnie, etc. comme celles que vous répandez à mon sujet depuis assez longtemps maintenant. Mais pour rester sur le plan des idées justement, des idées, vous n’en avez guère hormis celle que vous vous appropriez d’autrui et que vous revendiquez ensuite comme étant les vôtres.

    Je dis ça, mais comme je sais que je parle à un aveugle et sourd, vous n’entendrez pas plus ce message que ce que vous avez entendu ces 6 dernières années.

    Vous n’avez pas fait les statistiques de vos interventions sous mes articles, comme celles que vous avez données à voir ici, de façon très sournoise et perverse faut-il souligner ? Car voilà ce qui serait intéressant et prouverait probablement votre harcèlement sans même avoir à argumenter outre mesure. Mais rassurez-vous, vous m’en avez donné l’idée (vous voyez, je sais être reconnaissant). Je vais m’y lancer !


  • Philippe VERGNES 29 mars 2018 06:34

    @ pemile,


    « L’incohérence est de venir faire du tir au pigeon sur l’article d’alinea ! »

    D’une, c’est malheureux, mais c’est dur à imprimer : je ne jette jamais la première pierre à JL à tel point que si ces remarques à mon attention n’étaient pas une agression sournoise comme il sait si bien le faire, ma réponse serait courtoise et tempérée même après ces années de harcèlement.

    De deux, il fallait crever l’abcès depuis l’épisode du ciseau, car il m’insulte quasiment partout où il passe dès lors qu’il en a l’opportunité sous n’importe quel article sans forcément que je lui réponde se comportant ainsi comme le petit « caïd » de ce site qui a le pouvoir d’harceler l’impédant qui oserait s’attaquer à son sujet (je n’ai malheureusement compris cela que récemment, soit bien des années après notre première escarmouche). Le « sachant » de la psychanalyse freudienne, c’est ici JL et pas touche à son dada sinon il vous en cuira. Si j’avais su ça plutôt, même pas je n’aurais commencé à posté un seul article sur ce site. Il suffit de le lire de bien l’entendre, il le dit lui-même à demi-mot. D’un côté il vous déclare que la psychologie des profondeurs (la psychanalyse) n’a pas sa place sur un forum citoyen (alors que si l’article passe la modération où est le problème ?), d’un autre il vous colle une tartine de commentaires qui ne parlent que de la psychologie des profondeurs. Et c’est moi sui serait incohérent ?

    De trois. c’est la troisième fois en six ans que je fais ce genre mise au point avec JL. Les deux premières étaient sous mes articles, mais comme lorsque de telles agressions ont lieu sans que personne ne voyent (ou ne lisent comme ici), JL s’en fout. Son « Moi » est préservé (tout du moins ce qu’il en reste) et pas besoin de remise en question... et ça continue encore et encore, c’est que le début d’accord, d’accord... blablabla.

    Il n’y a qu’une seule façon de « stopper » un paranoïaque, c’est de le coincer et de lui faire sentir le poids de la loi. C’est ma dernière tentative de « conciliation » interne à Agoravox. On lave notre linge sale en famille avant l’apocalypse, parce la prochaine étape c’est le procès en cyber-harcèlement. On a jamais eu de précédent de ce type... ça pourrait bien servir comme cas de jurisprudence. Mais si je fais ça, je ne suis pas sûr que ce site y résiste, d’où, depuis le départ et ma première mise au point ma très grande hésitation à une telle action. Pour l’heure, je m’y suis toujours refusé. Sauf que... sauf que... il n’y aura pas de quatrième fois, car une fois c’est un hasard, deux fois c’est une coïncidence, trois fois c’est une intention coupable.

    Le harcelé n’a pas besoin d’être une proie pour être harcelé. Je ne me suis jamais considéré comme une victime ou une proie, je sais me défendre, jamais je n’ai été dans la position de soumis ou de démis : « Le harcèlement vise à soumettre ou à démettre » (Ariane Bilheran).. Et ça, ça fait terriblement chier le harceleur. TERRIBLEMENT ! (Quel qu’il soit, je ne parle pas là de JL !) L’insoumis est donc soit une cible, soit un ENNEMI si celui-ci voit clair dans le petit jeu du harceleur.

    En foi de quoi, je suis au « taquet » comme le dit Shawford, mais c’est la dernière fois. La suite je la déciderais en mon âme et conscience très bientôt, je pense. Mais si je dois commencer à me mettre au boulot (monter un dossier de preuves de harcèlement fait aussi partie de mon boulot), je ne m’arrêterais pas en chemin. D’ordinaire, je vais au bout de mes actions.


  • Philippe VERGNES 29 mars 2018 00:25

    @ kalachnikov,


    Je suis bien d’accord avec vous... Freud a baigné dans un climat totalement incestuel. C’est quand même important à comprendre pour l’histoire des idées et même de ce qui se passe aux niveaux mondial en ce qui concerne les techniques de manipulation des foules.

    Le père des relations publiques, celui qui a le plus développé la manipulation de masse et dont l’ouvrage principal Cristallizing Public Opinion était sur la table de chevet de Goebbels, est tout de même le DOUBLE neveux de Freud : Edward Bernays. Un sacré tordu qui estimait que le peuple ne devait pas gouverner et prendre de décision. Ce genre de détail met la puce à l’oreille, et lorsqu’on creuse un peu... ouille, ouille, ouille !

    C’est ce que j’ai écris dans un de mes articles (l’incestuel dans la famille Freud et ses conséquences sur sa théorie) qui m’a valu un dès plus gros procès en sorcellerie de qui vous savez maintenant. (Et il faudrait en plus que je « courbe » l’échine devant pareille affabulation : plutôt me faire cataloguer de pervers, cocu, homo ou tout ce que vous voulez encore. J’en ai strictement rien à cirer et j’assume d’autant plus que j’apparais ici sous mon vrai nom. S’il y a donc bien quelqu’un qui s’expose ici, c’est bien moi !)


  • Philippe VERGNES 28 mars 2018 23:38

    @ kalachnikov,


    J’ai oublié... Ferenczi est aussi le théoricien d’un concept qu’il appelle le « nourrisson savant » (là aussi, concept disparu des dictionnaires psychanalytiques) auquel m’avait fait pensé nos derniers échanges sur Nietzsche. Mail je ne connais rien de Nietzsche, il va donc me falloir bosser et approfondir l’idée...



  • Philippe VERGNES 28 mars 2018 23:29

    @ kalachnikov,


    Oui... c’est exactement ça. Ce qui a été une guerre intestine au sein de la psychanalyse entre Freud et Ferenczi ou ce dernier finira par passer pour fou après l’ostracisme que lui a imposé Freud. Autant dire que je « identifie » à Ferenczi (tout comme Racamier qui a poursuivi dans sa voie), là où JL s’identifie à Freud. Le concept le plus important de la psychanalyse du début du XXe siècle : l’identification à l’agresseur de Ferenczi. Les freudiens lui ont volé l’idée et l’on pervertie tant et si bien qu’ils l’ont même « effacé » de certains dictionnaires. (Je règle mon compte au freudien dans mon prochain article, JL va adoré, bon... je crache cependant pas dans la soupe.)

    Mais c’est aussi vrai pour le « bourreau »... idem : mécanisme de défense introjecté. Le pervers narcissique règle ses comptes avec le passé... dans le présent et pas sur les bonnes personnes. On appelle ça le présentisme. Voilà la dynamique perverse qui se met en place dans ce genre de relation. Si on comprend ça, on peut en sortir. Le problème pour la victime, c’est qu’elle paie à la place de quelqu’un d’autre et c’est l’une des raisons pour laquelle on parle de perversion. Mais ce n’est qu’un concept, un mot pour décrire que les choses ne sont pas à leur place.

    Pour, le livre... j’en entends parler abondamment depuis... j’ai plus le souvenir. Je crois qu’il va falloir que j’investisse une bonne foi pour toute. Il y a trop de monde qui m’en parle en ce moment !


  • Philippe VERGNES 28 mars 2018 23:08

    @ Shawford,


    Je vous remercie et vraiment, il n’y a jamais eu aucun problème pour moi la-dessus avec quiconque. Y compris même envers ceux qui ne comprennent rien du tout à ce qui se joue depuis 6 ans entre JL et moi.

    (Arthes va adorer) : « LE MOTEUR DE LA PERVERSION NARCISSIQUE C’EST L’ENVIE ! »

    Envie au sens kleinien du terme qui est un peu particulier, mais cependant pas si compliqué que ça. CE QUI SIGNIFIE QUE SI VOUS N’AVEZ RIEN A ENVIER, VOUS NE RISQUEZ PAS DE VOUS FAIRE AGRESSER PAR UN PERVERS.

    Toutes les moutons comme on les appellent péjorativement, les conformistes ou les soumis ne risquent pas grand chose, si ce n’est que de perdre un peu plus de liberté que le peu qu’ils ont déjà. Mon « combat » avec JL, dépasse de loin nos deux simples « individualités ». De mon côté, si ce n’était que ça, il y a longtemps que j’aurais lâché l’affaire. Mon prochain article (s’il passe la modé, mais rien n’est plus sûr désormais) parlera en partie de cela : des enjeux idéologiques entre les mensonges freudiens et la réalité clinique (et sociétale).


  • Philippe VERGNES 28 mars 2018 22:43

    @ Xenozoid,


    Jusqu’à très récemment, je me contentais simplement de répondre sous mes articles... sans plus... (ce qui me fut reproché) et sans m’aventurer ailleurs tout simplement pour ne pas polémiquer. Malheureusement, cette stratégie n’a nullement été payante... je ne suis tout de même pas responsable des fantasmes que certains projettent sur moi. Faudrait-il, pour les éviter, que je reste cloîtrer chez moi ?

    Bien heureusement, il y a longtemps que j’ai arrêté de croire au père Noël : « L’enfant croit au père Noël... l’adulte vote ».


  • Philippe VERGNES 28 mars 2018 22:28

    @ Xenozoid,


    Je n’ai toujours demandé qu’un seule chose à JL : qu’il me lâche... ce qu’il n’a jamais pu faire. D’où l’offensive désormais puisque, au cas où vous auriez raté l’info, je précise que JL s’est juré depuis des années de me « chasser » de ce forum. Autrement dit, il a décidé de lui-même qu’il fallait m’ostraciser.

    Vous m’excuserez... mais déclarer ça ici, sur un forum tel qu’Agoravox, ça valait bien une petite « expérimentation »... (à mon corps défendant cependant, j’ai tout de même tout tenter pour éviter ça !)


  • Philippe VERGNES 28 mars 2018 22:22

    @ kalachnikov,


    Vous avez raison. Je me tais, c’est juste que j’avais à me faire pardonner.


  • Philippe VERGNES 28 mars 2018 22:14

    @ alinea,


    Factuellement, je vous rappelle simplement les faits : je n’ai jamais relancé JL en le calomniant, le diffamant, le dénigrent sous n’importe quel article où je pouvais apparaître. Ce fait se suffit à lui-même. Le lynchage, s’est lui qui s’y livre et factuellement, le problème que certains ont du mal à accepter, c’est que je ne m’y soumets pas.

    Vous posiez une question importante semble-t-il pour votre « émancipation », à savoir de mémoire que vous vous demandiez pourquoi aucun témoin de ce que vous viviez ne vous a secouru... (ou quelque chose comme ça, vous me reprendrez au besoin. La réponse est en vous au travers de ce fil de discussion et je vous retourne la question : pourquoi n’êtes-vous toujours pas en mesure, malgré votre expérience, de reconnaître une attaque « nihiliste » (si le mot pervers vous choque trop) lorsqu’elle se produit ?

    Si vous avez la réponse à cette question, vous aurez la réponse à votre interrogation sur l’aide que vous attendiez et qui n’est jamais venue.

    J’exècre les jeux de pouvoir, mais lorsqu’ils apparaissent, il n’y a qu’une antithèse possible hormis la soumission ou la fuite, c’est la réponse à hauteur de l’attaque. Les soumis ou les démis ne l’acceptent guère, car ceux qui résistent ne leur renvoient malheureusement pas une bonne image d’eux-mêmes. C’est ainsi que s’installe le conformisme dans notre société.

    « Comme je vous l’ai dit aussi, j’ai grande compassion pour le gosse qu’on a détruit. »

    Le terme compassion et celui d’empathie prêtent toujours à confusion. J’ai moi aussi de l’empathie pour le gosse qu’on a détruit... mais on ne peut plus rien pour lui et ce qui compte dans le présent, ce sont les victimes qu’il laissent autour de lui. Pour un pervers qui sévit, ce sont parfois, selon le lieu où il exerce, des dizaines victimes en souffrance. Pas de compassion ou d’empathie pour elles ?

    Personnellement, mon empathie, même si j’en ai pour le gosse qu’on a détruit, vivant dans le présent, je la réserve à ses victimes. Pour lui, on ne peut plus rien faire et cela s’appelle faire le deuil de la toute-puissance thérapeutique. Là est toute la différence entre nous. Et elle est de taille !

    Vous êtes encore, et ne le prenez pas mal, car c’est un constat évident qui risque d’être très mal accueillie, une victime idéale toute désignée (tel était déjà le constat que l’on pouvez tirer de vos échanges avec Volt dont j’ai un excellent souvenir). Et si ça peut vous faire plaisir, voyer en moi un gros pervers narcissique ou je ne sais quoi d’autre, ce genre d’étiquette n’a pas grand effet sur moi, la plupart du temps ça me fait rire. Et quand bien même ce serait le cas, je m’assume parfaitement, Je n’ai nul besoin de projeter mes « tares » sur autrui, car j’ai toujours préféré les assumer. Mais si cela vous agrée d’assumer celles des autres, ben... c’est votre choix.


  • Philippe VERGNES 28 mars 2018 20:03

    @ alinea,


    « Le mental intuitif est un don sacré, le mental rationnel un serviteur fidèle. Nous avons construit une société qui honore le serviteur et a oublier le don. »


    Ils sont chez moi, parfaitement équilibré.

    Mon auto-analyse, je l’ai commencé très, très jeune n’ayant pas eu une vie trop, trop facile... mais ça c’est le lot de beaucoup d’entre nous. Je ne m’en plains absolument pas... tout au contraire. Mon vide intérieur, je l’ai rempli de tout un tas de choses et j’ai commencé très tôt. De fait, non seulement je connais et reconnais mes démons intérieurs, mais plus encore, je les lâche ou bien les retiens à volonté. J’en ai un parfait contrôle. On a un deal eux et moi. Tant et si bien que je n’ai nullement l’utilité ou le besoin de projeter mes propres état d’âme ou mes « tares » sur autrui. Si tel n’était pas le cas, vous croyez que j’aurais mis moins de 10 secondes dès que j’ai su que kalachnikov était lermontov pour reconnaître que j’avais eu une attitude odieuse envers lui et que j’en étais contrit ?

    Faite le point dans votre vie et dites moi combien d’hommes avez-vous rencontré qui soient capables d’un repentir sincère, de reconnaître leurs erreurs et de mettre leur égo de côté après la façon dont nous nous sommes écharpés kalachinkov et moi ?

    Je pose la question à une femme, parce qu’en tant qu’homme, je peux vous dire que c’est plutôt rare. Pourtant, j’ai été élevé dans un milieu qui cultivait ce genre de valeur.


  • Philippe VERGNES 28 mars 2018 15:12

    @ Shawford,


    Je réponds à votre commentaire de 10:39.

    « Des faits, des faits, c’est tout ce que je demandais et sans agressivité aucune. »

    J’ai donné des centaines de liens vers ce genre de conneries que a pu débiter sous mes articles prétendant un jour ce qu’il contredisait le lendemain sous un autre fil de discussion.

    TOUTES MES ACCUSATIONS ENVERS JL SONT FACTUELLES.

    Le problème, c’est que ce sont des actes de paroles dans lesquels il excelle pour « mystifier » tout son petit monde. Pour en apporter la démonstration, il faut être attentif et ne pas se perdre en court de route (ce qui m’est arrivé déjà, m’arrive aussi, et m’arrivera encore). Pour l’heure, seule arthes et kalachnikov ont compris le manège...

    Mais la pelote de nœuds n’est pas encore d’être entièrement déroulées. On ne vient que d’attaquer le début. 6 ans de harcèlement... c’est long. Et vous êtes loin, loin, loin d’avoir tout vu.