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ddacoudre

ddacoudre

poète essayiste militant à la retraite.
La vie commande d’être convaincu qu’il y a un absolu où tout ce que nous concevons s'écroule, Il faut donc comprendre que celui qui dispose d’une certitude absolue peut se suicider car c’est un mort vivant et ne peut développer pour vivre que la mort qu’il porte.
 

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  • Premier article le 06/06/2007
  • Modérateur depuis le 27/06/2007
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Derniers commentaires



  • ddacoudre ddacoudre 6 novembre 2008 00:43

    bonjour pallas

    Cà fait un moment que je ne t’avais pas lu.

    excuse moi d’être trivial mais j’ai bien le sentiment comme toi qu’avec les gouvernants actuel la liberté est souvent synonime de vaseline.

    cordialement.



  • ddacoudre ddacoudre 6 novembre 2008 00:34

    bonjour petit canard

    bonne analogie merci.

    cordialement.



  • ddacoudre ddacoudre 6 novembre 2008 00:31

    bonjour krolik

    Il n’y a pas de problème. Tout dépend de la conception que l’on a de l’existence, si je pense que le travail est indispensable à la prospérité, il n’est pas une fin. S’il doit être une fin alors autant retourner à la servitude car la au moins c’était le pied.

    cordialement.



  • ddacoudre ddacoudre 6 novembre 2008 00:26

    Bonjour jakback.

    La France fut contre le reste du monde lorsque elle déclara la république. Si nous n’étions pas en surconsommation je pourrais le comprendre. Sauf que nous sommes arrivés à un niveau de capacité de production où nous n’avons pas besoin du travail de tous.
    Entre l’agriculture et l’industrie 30% des actifs représentent la source nourricière des 70% autres qui oeuvrent dans les services.

    L’augmentation de la productivité grâce à la technologie a opéré un transfert d’emploi vers le tertiaire, et le tertiaire n’a pratiquement pas de limite hormis celle de leur financement.

    Notre problème n’est donc pas un manque de capacité de production, mais une compétition avec ceux qui paient le moins leurs salariés. Moins de revenus salariaux veulent dire moins de cotisation sociale qui engendre moins de couverture sociale. Il n’y a donc aucun problème en relation avec la liberté.

    Cordialement.



  • ddacoudre ddacoudre 6 novembre 2008 00:00

    Bonjour napoléon

    Ce que tu dis me fait réagir, à deux titres. Le premier est que j’ai indiqué que le travail nous l’effectuons contraint, parce que nous sommes éduqués dans ce but pour préserver notre capacité de prospérité. Souvent très jeune par mimétisme nous voulons faire le travail de nos parents ou ce qui a pu nous passionner dans le contact avec des tiers ou vu et entendu.

     

    Mais les parents souvent espèrent que le travail offrira à ses enfants une meilleure condition sociale que la leur. Nous effectuons donc le choix d’un travail dans ses conditions que vient bouleverser la scolarité du secondaire où il s’agit de s’orienter suivant ses compétences et les besoins de l’économie et de la société.

    Ensuite son choix et son désir personnel se trouvent restreint du fait de la disponibilité des emplois visés, mais notre nature est ainsi faite que nous parvenons à nous réaliser dans un emploi quel qui soit, sans cela il nous serait impossible de le poursuivre toute une vie.

     

    Naturellement il y a autant de réalisation différente que d’individus en fonction de l’opportunité qu’offre l’emploi occupé.

    Le second aspect est l’approche du travail comme outil de production (au même titre qu’une machine) qui concours au développement de la prospérité. Le poids de ce travail productif est diversement ressenti en fonction de la nature du travail accompli pour un salarié. C’est a dire une personne soumise au fait du prince. De ce fait le travail ne revêt plus le même caractère pour un salarié ou un non salarié.

    Les limitations ne sont que pour les salariés, un employeur, un artisan, une profession libérale peu travailler aussi longtemps que sa santé le lui permet. Pour les salariés si la situation de l’emploi le permet il semble convenable que le travail se répartisse entre eux pour que chacun trouvent à travers lui l’autonomie de subsistance, la reconnaissance sociale et sa participation à l’effort commun.

    Alors qu’il y ait des durées du travail, des âges départ à la retraite, donc des seuils n’est pas inconvenant. Une société organisé n’est pas une société dans laquelle chacun fait se qu’il veut.

    Si un salarié rechigne à quitter un travail qu’il fait avec plaisir pour un départ à la retraite rien ne lui interdit de le poursuivre bénévolement dans le monde associatif.

    Cordialement.

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