Arrêtez la Terre, je veux descendre !
C’est entendu, Pacha-Mama, Gaia, ou, selon Hergé, notre « bonne vieille Terre », nombreux sont ceux qui veulent la protéger.
Cette pensée est louable, mais nous sommes-nous interrogés sur ce qu’en pense l’intéressée : la Terre ?
En effet, si l’on veut prendre un peu de recul, elle existait bien avant notre arrivée, et sera encore là, longtemps après notre disparition. lien
A ses débuts, elle était polluée, entre autres, par du plutonium 239, dont la période (ou demi-vie) est de 24 000 ans, et elle a mis plusieurs millions d’année pour réussir pratiquement à s’en débarrasser, même si on peut encore en trouver dans la lave. (lien)
Or en quelques années, nous en avons reconstitué le stock, (lien) suite à l’exploitation de l’énergie nucléaire, et s’il est vrai que nous n’avons aucune solution pour nous en débarrasser, la Terre a le temps : dans quelques millions d’années, ce sera chose faite.
Mais vraisemblablement nous ne serons plus la, même si aujourd’hui, des chercheurs s’ingénient à prolonger la durée de nos vies.
L’un d’entre eux s’appelle Miroslav Radman, et il s’est mis en tête de percer le secret de l’immortalité.
Il étudie une bactérie (Deinococcus radiodurans) capable de résister à des doses de radiation 10 000 fois supérieures à la dose mortelle chez l’homme, et qui ne meurt jamais, car elle est capable de réparer et de reconstituer toute seule son génome sans la moindre difficulté. lien
Mais, même s’il arrive un jour à nous proposer de vivre, en bonne santé, deux siècles, ou plus, ce n’est rien face à la palourde qui elle dépasse allègrement les 400 ans d’existence. lien
Notre propension à nous prendre pour le « centre du monde » devrait nous inciter à plus de modestie si nous regardions plus attentivement les espèces qui nous entourent.
Le cafard, de si mauvaise réputation, résiste à des doses de radioactivité massive. lien
Nous sommes nombreux, nous les humains, c’est entendu, mais que sommes nous face aux vers de terre ?
Si l’on mettait tous les vers de terre sur le plateau d’une balance imaginaire, tous les autres animaux, hommes y compris, ne suffiraient pas à faire pencher le plateau de la balance, car on en compte jusqu’à 2,5 millions à l’hectare. lien
Notre libido, quant à elle, ne peut que se faire toute petite face à celle de l’abeille, puisque celle-ci, au cours de son vol nuptial, a jusqu’à 20 males comme partenaires. lien
De quoi rendre jaloux certains hommes politiques qui ont défrayé la chronique récemment.
Et puis, lorsque le dernier homme aura quitté cette planète, il restera tous les insectes.
Mais revenons à notre chère vieille Terre.
La croute terrestre s’est formée il y a 4 500 millions d’années, et les premiers organismes terrestres sont apparus il y a 420 millions d’années, les premières mammifères, il y a 190 millions d’années, et nous sommes arrivés sur cette terre, il y a tout juste 4 petits millions d’années.
Il y a 75 000 ans, le volcan Toba, en Indonésie, aujourd’hui provisoirement endormi sous un lac, projeta dans l’atmosphère tant de soufre et de cendres qu’aux dires de plusieurs scientifiques, sur les quelques millions d’être humains à l’époque, il n’en resta qu’environ 2000 . lien
Puis il y a environ 18 000 ans, s’achevait la fin de la glaciation, et l’homme commençait à croitre et se multiplier avec le résultat que nous connaissons. lien
Les efforts généreux et marginaux des défenseurs de l’environnement, et autres chantres éclairés de la décroissance ne changeront peut-être pas grand-chose, ce qui n’est pas une raison pour baisser les bras, mais en fin de compte, c’est toujours la Terre qui l'emportera.
Le chien envahi de puces, lorsqu’il en a trop, n’a qu’à se secouer, ou plonger dans l’eau pour s’en débarrasser.
Métaphore cruelle pour nous si nous comparons ce chien à notre chère Gaia.
Comme l’a écrit Claude Levi Strauss : « le monde a commencé sans l’homme et il s’achèvera sans lui ».
Alors c’est entendu, nous avons couvert la planète de gratte ciels, de routes et d’autoroutes, de lignes TGV, de lignes THT, de centrales nucléaires...
Les nappes de pétrole se vident, les mers se vident de leurs poissons, les citoyens se font vider leurs poches, et l’avenir qu’on leur propose, c’est de : « travailler plus pour gagner plus ».
Nous sommes en train de faire disparaitre les dernières forêts anciennes, (lien) et le nombre d’espèces dont nous sommes responsables de la disparition ne cesse de grandir. lien
Des scientifiques américains de l’Université de Californie à Berkeley ont confirmé au mois de mars dernier dans la revue « Nature » que la 6ème crise d’extinction d’espèce à déjà commencé.
Depuis les premières traces de vie fossiles, il y a 540 millions d’années, les espèces n’ont connu que 5 crises d’extinction massives, au cours desquelles, plus de 75% des espèces ont été rayées de la surface de la terre.
Sauf qu’au contraire d’aujourd’hui, l’homme n’avait aucune part de responsabilité dans ces disparitions.
Comme il est dit dans l’étude qu’ils proposent : Au cours des 500 dernières années au moins 80 des 5570 espèces de mammifères recensées ont disparu, alors que précédemment on dénombrait seulement 2 extinctions par million d’année. lien
Nous avons envahi le ciel d’avions, satellites, fusées, en tout genre, et les 4/4 roulent même dans nos chemins forestiers.
Nous avons pollué durablement le sol, l’eau, et la terre avec des pesticides, des déchets nucléaires, des tensio-actifs, et des déchets en tout genre, au moment ou les banquiers font leur beurre des catastrophes en cours et à venir. lien.
Sommes-nous le cancer de cette planète, comme l’écrit Stephen Jay Gould dans son « Pouce du Panda » ? lien
Comme l’a dit Pierre Kung : « une civilisation qui est capable de laisser des déchets radioactifs à ses descendants, est une civilisation morte ».
C’est pourtant ce qui est envisagé à Onkalo, en Finlande, ou un stockage nucléaire est prévu pour durer 100 000 ans. lien
Comment pourrions-nous vivre en bonne santé sur une planète malade ?
Et pourtant si l’on veut en croire vidéo cette la Terre s’en remettra très bien.
Chris Morin, photographe et réalisateur de courts métrage en fait le sujet de ses films et de ses expos, constatant, après avoir visité le temple d’Angkor que « la nature reprend vite ses droits (…) sans guerre ni cataclysme, elle est là, avec sa force tranquille ».
Dans un album saisissant, il nous propose la Tour Eiffel entourée de jungle, l’Atomium et ses éléphants, un iceberg à Manhattan... lien
La solidarité nous propose malgré tout l’espoir d’en sortir par le haut, car même si un jour nous devrons quitter cette planète, nous devrions nous interroger sur la « théorie du centième singe » :
Sur une ile japonaise, Koshima, un macaque a transmis un beau jour à ses congénères la pratique de laver les patates à l’eau du ruisseau, afin de les débarrasser de la terre qui les recouvrait.
Et une fois dépassé le 100ème singe informé, tous les autres singes, étrangement, se sont mis à appliquer la même recette. lien
Ken Keyes Jr en a fait un livre (le centième singe), et l’on peut découvrir cette théorie sur cette vidéo.
On a vu qu’en Tunisie, il a suffit qu’un homme, Mohamed Bouazizi, petit épicier ambulant, donne l’exemple à toute une nation, faisant le sacrifice de sa vie un 4 janvier 2011 pour chasser la peur dans l’esprit des Tunisiens. lien
Thierry Kruger et Pablo Girault nous proposent de découvrir dans un documentaire passionnant : « sous les pavés, la terre ».
Pierre Rabhi en est l’un des acteurs, et il nous donne l’une des clefs pour vivre en équilibre sur cette planète, malgré les pressions de ceux qui ne sont intéressés que par le pouvoir, et la puissance.
A ceux qui lui demandent « y a-t-il une vie après la mort ? » il répond « mais y a-t-il une vie avant la mort ? ».
Il ajoute « la croissance, c’est le problème » et prône « la sobriété heureuse » en proposant de « perdre sur l’avoir et de gagner sur l’être ». lien
Les auteurs du documentaire évoquent donc la décroissance, faisant l’éloge de la lenteur, dans ce qu’elle a d’opposable à la vitesse suicidaire. lien
Ils proposent de se déplacer autrement, de construire autrement, de se nourrir autrement, de commencer le changement par nous même sans attendre la décision des autres.
Cela va-t-suffire à enrayer la triste fuite en avant d’un progrès aveugle qui ne vise qu’a faire le bonheur financier de quelques uns au dépens de la détresse des autres ?
Les indignés aux 4 coins du monde appellent à une insurrection démocratique. lien
De quoi changer la face du monde, car l’essentiel n’est-il pas de vivre avec les valeurs que nous sommes donnés, quelque soit l’échéance que Pacha Mama nous aura fixé ?
Car comme dit souvent mon vieil ami africain : « Tout a une fin, sauf la banane qui en a deux ».
L’image illustrant l’article provient de « jardinature.net »
Merci aux internautes qui par les infos envoyées ont permis la réalisation de cet article.
127 réactions à cet article
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Claude Levi Strauss : « le monde a commencé sans l’homme et il s’achèvera sans lui ».
AH des postmodermistes nietzschéen prépubère, et nombriliste il n’y a que la terre dans l’univers : petit boite noir pour esprit débile
Le but de la vie n’est pas de se laisser mourrir , ou se faire égorger au final comme un mouton
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kalki
étant donné qu’il n’y pas d’ailleurs qu’ est ce que tu veut qu’une conscience libre aille foutre sur une autre planète ? -
Kalki
j’ai bien peur que changer de planète ne changera pas grand chose,
c’est à nous de changer.
comme dit de temps en temps mon ami africain :
« a quoi bon changer le bocal, si c’est pour y mettre les mêmes cornichons ».
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super article ( comme d’ hab )
l’essentiel n’est en effet pas de savoir quand et comment nous allons mourir mais quelle vie nous voulons avoir en attendant ......
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gaijin,
bien résumé, c’est effectivement de çà qu’il s’agit.
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Bonjour Olivier,
Arrêtez la Terre, je veux descendre ! L’enfant aussi ne veut pas rester à l’école, il préfèrerait jouer à longueur de journée mais, en finalité, qu’apprendrait-il ? Descendre de ce monde en folie est bien tentant, surtout pour ceux qui très rare se souviennent, mais qu’apprendrions nous de la vie ? Tout a un sens même si celui-ci nous échappe et c’est bien cela que l’homme accepte le moins. Nous faisons avec notre conscience propre qui nous indique le positif, le négatif et la différence entre eux. Ajoutons à cela, royal cadeau, notre libre arbitre et soyons responsable de la façon dont nous faisons le voyage. Cordialement
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Bonjour Gabriel
le rapprochement avec l’école est discutable.
parfois on apprend mieux en faisant de la vie sa propre école.
en fait, l’école n’est qu’un lieu, et je dirais que tout dépend de celui qui nous enseigne.
s’il le fait avec un esprit ouvert, de partage, et non contraignant, cette école là portera des fruits,
si elle n’est qu’un lieu de formatage, on peut très bien s’en passer,
enfin, ce n’est que mon avis...
merci de ton commentaire.
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La comparaison n’est pas à prendre au pied de la lettre Olivier, sous entendu, l’école au sens large par définition acquisition d’un savoir. Mais ou tu as entièrement raison, tout dépend de l’enseignant car, comme le disait Montaigne en parlant d’apprentissage : « Un enfant, ce n’est pas un seau qu’on remplit mais un feu qu’on allume.... » Cela dit, le chemin on le fait seul, solitaire et solidaire.
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Gabriel
je partage totalement cette opinion.
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on écoute jamais assez les poètes
http://www.dailymotion.com/video/x5o9vv_quas-tu-appris-a-lecole-graeme-allw_music -
Tout comme Dugué et sa logosphère, je me demande si votre récupération de la science pour prôner une vision sociale ne se retourne pas en fait contre l’objectif (science => politique) et finit en dessein intelligent.
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chria,
je ne connais pas bien la « logosphère de Dugué », et j’avoue ne pas avoir totalement compris où vous vouliez en venir ?
si vous pouviez prolonger ?
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Oui c’est plutôt la logoscience (http://www.agoravox.fr/actualites/technologies/article/logoscience-une-nouvelle-maniere-95108#forum2934032)
Votre article prone un certain comportement afin de sauver la terre et surtout l’humanité de nous-même, comportement social très influencé par l’écologie, la décroissance, etc, en vous basant sur certains éléments scientifiques en début d’article (ou de citations), qui viennent donc justifier le changement de comportement vers une téléologie « sans changement ». Or tout comme Dugué qui pour combattre la technoscience et les modes de consommation actuel invente une nouvelle science (qui ressemble plus à du new-age soit dit en passant), basée sur l’être, la connaissance désintéressée, etc, on se demande si au final la détermination éléments scientifiques => vers un nouvel ordre social ne s’apparente pas à de l’intelligent design puisque ni Dugué ni vous ne pouvez savoir ce que l’avenir nous prépare (surtout en regardant le passé) et encore moins comment l’homme va évoluer, s’il a un but, si la vie a un but, bref à quoi ça sert tout ça, surtout connaissant l’émergence au sein des systèmes complexes, rebref, comment savoir si votre ordre social pourra nous sauver, à part en croyant à une prédestination vers la catastrophe et la mort ? C’est de la religion que vous nous vendez, dans l’absolu... Ou de la politique, c’est un peu pareil.
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chria,
perso, je ne vois pas vraiment de rapport entre « politique et religion »
mais bon, la question n’est pas là.
mon intention était, pour cet article, d’évoquer la pérennité de cette planète qui se remettra très vite de nos exactions, et que lorsque nous prétendons vouloir « sauver la planète », il s’agit plutot de notre propre sauvetage dont il est éventuellement question.
la question restante étant : n’est-il pas un peu tard ?
et là, je n’ai pas la réponse.
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Politique et religion, il faut de l’idéologie. Or si la terre s’en sortira toute seule, il reste encore à savoir comment l’humanité s’en sortira... Tout en sachant qu’elle ne fait que survivre. Chaque évolution, changement, amène son lot de destruction, pour mieux recommencer derrière, ou alors s’éteindre. Ce que j’essaye de dire c’est que vous n’en savez rien de l’état de l’humanité et de son évolution. Sauf que dans ce doute, et par précaution, vous préconisez un modèle de développement. Est-ce le bon pour guérir d’une maladie inconnue ? On en sait rien. On doit vous faire confiance. Croire en vous.
Est-il un peu tard ? Personne n’en sait rien. Personne ne sait ce que doit être l’humanité demain, et donc si on est sur un bon chemin. Et les quelques arguments ou plutôt connaissances « scientifiques » qui vous utilisez ne sont là que pour étayer votre constat. Tel l’oeuf et la poule, qui a engendré qui, entre les faits et la croyance, tout en sachant que la complexité régit ce monde ?
Bref, qui m’aime me suive ! -
orion
c’est tout a fait ça
« La bonne question est donc : comment faire sortir l’humanité de l’adolescence et comment la faire entrer de plain-pied dans l’âge enfin adulte ? »
quelques bons vieux coups de pieds aux fesses seraient ils nécessaires ? -
orion
belle approche que je partage totalement,
j’aime bien cette « parabole » avec nos différents « ages »
reste la question : notre prise de conscience est-t-elle fonction de « notre age », d’une question de sagesse ?
je n’en suis pas sur,
je crois surtout qu’il y a un vrai réveil, en espérant qu’il ne soit pas trop tardif ?
mais qu’importe, ça coute rien d’essayer.
merci de ton commentaire.
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Bonjour Olivier,
C’est sûr que la Terre s’en remettra, mais ce ne sera qu’une convalescence. Elle recommencera à évoluer par elle même après notre disparition, mais je pense qu’elle ne reprendra pas le cours de son évolution, telle que cette évolution aurait dû naturellement se faire si nous n’avions jamais existé. Si nous avions eu deux Terres jumelles, l’une habitée par les hommes et l’autre seulement par les plantes et animaux, on aurait pu faire la comparaison (sur le très long terme, en admettant que ce soit possible évidemment) entre l’évolution naturelle de l’une, et l’évolution artificielle de l’autre, l’évolution corrompue si on peut dire. Il y aura peut être sur la future Terre des sortes de plantes, d’animaux, ou que sais-je, qui ne seraient jamais apparus si nous n’avions pas dirigé notre planète sur le mauvais aiguillage. Une invasion de cafards géants par exemple ? Mais ouf, on ne sera plus là pour voir ça de toute façon...-
« telle que cette évolution aurait dû naturellement se faire si nous n’avions jamais existé. »
mais nous sommes une partie de cette évolution justement
toute notre erreur consiste a croire que nous sommes séparés du reste -
Surya
c’est à se demander parfois si nous sommes vraiment adaptés à la vie sur cette planète ?
nous agissons comme si un arbre coupé allait repousser en quelques secondes,
comme si une vie prise était rendue immédiatement.
peut etre ne sommes nous pas de ce monde, et avons nous subi une « erreur de destination » ?
étions nous destinés à une planète qui subirait sans problèmes toutes nos prédations ?
ou alors, si l’on voit de quelles façons les peuples « primaires » dans le sens ancien, comme les indiens d’amazonie par exemple, vivant en harmonie avec la vie qui les entoure (malgré les difficultés que nous leurs faisons subir), on pourrait imaginer que « nous serions un peuple rapporté » ?
je ne sais pas, mais ça m’intrigue.
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Bonjour Gaijin,
C’est exactement ça, mais quand allons nous enfin le comprendre ? Le « progrès » s’accélérant, et cela étant considéré comme une chose formidable, j’ai bien peur que notre façon d’être nous éloigne encore davantage d’un processus normal d’évolution en harmonie avec ce qui nous entoure.
Olivier, quelque soit la planète sur laquelle on aurait attéri, on aurait fait les mêmes idioties de toute façon. Et si on est obligés un jour d’envoyer une partie d’entre nous (la sélection se faisant sur quels critères, ça j’aimerais bien le savoir...) vivre, ou survivre ailleurs, on risque fort de recommencer les mêmes erreurs là où on ira planter notre tente. Il y aura d’abord l’exaltation de recommencer ailleurs, d’organiser une nouvelle vie, et puis... adapter la nouvelle planète à nos besoins... et donc commencer à la saccager. C’est peut être dans notre nature profonde d’êtres humains ?
Mais je sombre dans le pessimisme. Il y a fort heureusement, en effet, des gens sur cette Terre qui n’ont pas cette nature, ou qui ont du moins eu la sagesse de savoir la dominer pour vivre en harmonie avec la Nature. C’est peut être, et même sûrement, chez les peuples qu’on a appelés « primitifs », que l’on trouvera les vraies solutions à nos problèmes de peuples « civilisés ». Mais comme tu le dis, vues les difficultés que le reste du monde leur fait subir, ça me semble plutôt mal parti. -
surya
il y dans l’air actuel a la fois quelque chose de printanier et quelque chose comme la tension qui précède l’orage
de plus en plus de gens se rendent compte que le progrès ne mène nulle part
quoi qu’il en soit de l’avenir les masques tombent et les temps changent ........ -
Cher Olivier,
Dans votre dernier pensum, vous écriviez ceci :
"Petit rappel : pour 271,5 Mtep produits en France, un peu moins de 150 Mtep arrivent chez le consommateur ( lien 1 Wikipédia) car le transport de l’énergie provoque un gros gaspillage de celle-ci,"
Bigre, mais (271,5-150= 121,5), 45% de pertes !! C’est énorme et irresponsable de la part de nos ingénieurs que de laisser fuir autant d’énergie dans la nature.
Mais, 121,5 Mtp de perdus, dîtes moi, c’est plus que ce que produisent les usines nucléaires en France (114 Mtp).
Nous pourrions donc conclure que si on bouchait les fuites, là , maintenant, tout de suite, on pourrait fermer les usines nucléaires sans aucun problème pour les citoyens.
Je suis étonné que vous n’ y ayez pas pensé à cette simple solution de bon sens.
Alors, Olivier, qu’en pensez vous ? Où sont les fuites ?
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vous avez finit de nettoyer le sang a l’avant de la masérati ?
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zorglub,
connaissant vos défaillances en math, s’il faut en croire vos explications vaseuses sur la composition de l’équipe de foot française championne du monde, je ne suis pas surpris que vous ayez des difficultés avec les chiffres,
très franchement, pourquoi ne pas en rester à votre joli château ?
c’est une louable activité, je vous l’assure.
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Il faut prendre la vie pour ce qu’elle est : un épiphénomène dans ce grand bazar qu’est l’univers !
La vie ne fait que passer. Nous ne faisons que passer.
Quand on prend conscience de ça on accepte d’autant moins les règles débiles imposées par les affameurs qui nous pourrissent le séjour !
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PhilVite,
j’aime bien, et je partage avec plaisir.
je crois que la densité de ce nous mettons dans notre vie vaut plus que la durée qui nous est proposée.
carpe diem.
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graeme allwrigt : de passage
http://www.dailymotion.com/video/xcface_graeme-allwright-de-passage_music -
Pfff petit bras hein Cabanel.
Curieux comment ces prédicateurs de l’Armaguedon ont toujours un public ?Tous ont démontré avec une étonnante régularité qu’ils se sont toujours trompés,mais chaque fois cela repart de plus belle.AAAh ce bon temps où une épidémie faisait 5/6 millions de morts,sur une population incomparablement moins grande que maintenant.Où une sécheresse persistante faisait quelques milliers de morts.Où des millions de gens souffraient ,enduraient un véritable esclavage pour survivre,et pas très longtemps.pas de problèmes de pensions en ces temps heureux.Je ne comprends pas les Africains, qui n’ont pas à endurer tous ces terribles maux qui nous accablent, et qui dès qu’une occasion se présente, se précipitent chez nous.Et ces scientifiques,tous des fous dangereux,qui n’ont de cesse de nous éliminer.Et ces prédateurs, qui pillent la planète.A part des extra terrestres, je ne vois pas qui peut piller notre planète.Du minerai de fer, quand il devient rail de chemin de fer, il n’a pas quitter Gaia, que je sache,et dans x milliers d’années il redeviendra un minerai, il aura juste été déplacé.Il en est de même pour tout ce que nous transformons.Et comme le dit Eisenbach,concernant l’extinction des espèces:montrez-moi les corps.Je ne vois aucun inconvénient que quelqu’un décide de vivre dans un tepee,qu’un autre refuse la vaccination, quoique, mais que ces gens foutent la paix aux autres qui comme des imbéciles roulent en 4X4, et vont s’em... sur une plage.-
jo,
vous mélangez tout,
ou avez vous lu que je « prophétise » quoi que ce soit ?
vous avez un réel handicap de compréhension,
non que je doute que vous ne saviez lire, mais je me demande si vous comprenez ce qui est écrit ?
donc, j’en reviens à votre posture :
comme il n’y a pas de preuve qu’il y a extinction d’espèces (puisqu’on ne montre pas les corps) selon vous... la connerie n’existe pas. (puisqu’on ne peut pas montrer son corps)
j’ai tout bon ?
allez donc me finir ce sacré château plutôt que de perdre votre temps a écrire des conn...euh...des bêtises.
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lavabo 6 juin 2011 12:35La fiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiinnnnnnnnnnnnnnnnnn du moooooooooooooooooonnnnnnnnnnnnnnnnnde
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lavabo
en tout cas ce n’est ni la fin des lavabos,ni celle des bidets.
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Bravo !!!! Cela fait déjà un petit bout de temps que je réagis à chaque déclaration à la radio d’un candidat ou militant écologiste, qui met en avant« l’urgence à sauver la planète », en souhaitant qu’il/elle parle plutôt de l’urgence à sauver l’humanité ! Je suis totalement d’accord avec vous, et suis ravie que vous ayez levé le lièvre « en public » ! (De toutes façons , je suis fan de vos articles ).De plus , je pense que va se poser le problème du choix , concernant l’option de l’alimentation dans les décennies à venir , entre l’Homme et les animaux d’élevage,car ceux-ci absorbent à ce jour 670 millions de tonnes de céréales, c-à-d 60% de la production mondiale de céréales, et que celles-ci pouraient nourrir 850 millions de personnes malnutries ! Et sans parler des 25000 litres d’eau nécessaires à la production de ....100 gr de boeuf ...La prochaine guerre ne sera- t’ elle pas celle de l’eau potable ?
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Equibella
je partage et remercie.
à bientôt ! -
Dis-donc, la Terre ! Qu’est-ce qui ne tourne pas rond chez toi ?
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jluc 6 juin 2011 17:00Elle tourne en rond, çà va lui jouer un mauvais tour.
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La vraie écolo qui nous sauvera, c’est Cécile Duflot qui en tant que porte parole nationale d’Europe Ecologie-Les Verts, signe avec Besancenot un appel « Cessons la guerre aux porteuses de foulard ! » dans Le Monde du 2 Juin 2011.
Europe Ecologie-Les Verts, donc, en la personne de Duflot mais aussi d’ Alima Boumedienne-Thiéry, sénatrice d’Europe Ecologie-Les Verts), et d’autres individus sinistres s’insurge :
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contre l’initiative de Luc Chatel d’exclure les mères voilées d’accompagner les sortie scolaires ou de participer avec un voile aux réunions d’école.
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mais aussi, contre le projet UMP 2012 proposant de légaliser le refus à l’embauche des femmes portant le foulard, y compris dans le secteur privé.
Les Verts lèvent bien haut l’étendard vert de l’Islam, défendent le port du voile, défendent l’oppression des femmes et accessoirement l’arrêt du nucléaire.
Moi, je donne 3% aux verts en 2012. C’est déjà trop tant ces gens sont abjects.
http://www.lemonde.fr/idees/article...
(lire les réaction des abonnés du Monde)
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Il n’y a plus aucune doute, notre ami Zorglub a été fortement irradié des neurones......
Olivier, peux-tu lui redonner la recette pour s’en sortir ?
Cette pauvre âme en peine me fait pitié........ -
Et en plus, il va falloir supporter cette palourde sur tes forums pendant au moins 400 ans......
À noter toutefois qu’une palourde sur une tour de château de sable est du plus bel effet !! .....
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zorglub
vous devriez essayer la fleur d’oranger et le tilleul, il parait que ça a des effets calmants,
quoique votre cas me semble désespéré.
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Salut Olivier,
Vite un petit mot.
Quelques questions qui me viennent et qui relancent le débat par une voie détournée.
1. Pour quelles raisons, l’évolution nous a-t-elle créer ?
2. Si l’évolution ne nous avait pas engendré, qu’y aurait-il à notre place ?
3. Quel est le rôle de l’homme ? Pourquoi s’est-il posé des questions sur son environnement alors que les autres êtres vivants l’utilisent sans s’en rendre compte et meurent en cas de pénurie de potentiels de vie ?
4. Qu’y aura-t-il comme espèce vivante après l’homme ? Sera-ce encore plus d’intelligence ?
5. Pourquoi l’homme n’est pas endémique comme la majorité des êtres vivants ?
6. Pourquoi sommes-nous les seuls à chercher à nous évader sur une autre planète et espérons pour cela d’atteindre des vitesses bien plus considérables ?
7. Pourquoi sommes-nous venus si tard, alors que la Terre vivait depuis des milliards d’années et qu’à l’échelle d’une année de vie de la Terre, nous ne sommes là que depuis quelques minutes.
8. Pourquoi avons-nous une vie si courte alors que les arbres atteignent des milliers d’années ? Un article sur le sujet.
9. Pourquoi avons-nous besoin de toujours plus d’énergie ?
10. La formule E=MC2, serait-elle exact dans d’autres systèmes solaires ?
11. Pourquoi il n’y a que 92 éléments naturels et que les suivants sont artificiels ?Tu vois, Olivier, sans beaucoup chercher, je peux en trouver des questions.
Bon amusement...
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Juste une remarque : je n’ai fait intervenir aucun parti politique dans mes questions.
Je suis anti-parti. Solitaire. Anti-grégarisme. -
J’ai oublié de répondre à la question de l’article.
Non, je ne veux pas que la Terre s’arrête et je ne veux pas en descendre avant d’avoir terminé mon stage.
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Toupie or not toupie, that is the question.
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1) Nous sommes la prise de conscience de l’univers
2) D’autres consciences ou d’autres formes de conscience
3) Il n’a aucun rôle, il est comme les animaux. Il fait parti de l’environnement, sa pollution aussi.
4) L’évolution logique semble être les machines douées de conscience (donc plus intelligentes, plus conscientes, et donc mieux outillées pour répondre à la problématique universelle : qui suis-je ?
5) ?
6) Il y a aussi les cochons volants
7) Parce qu’il n’y a qu’une ligne de temps, tout s’accélère, se complexifie.
8) Sûrement une question d’énergie ou d’entropie.
9) Ah, on croît, cher monsieur, on croît, car il faut répondre à la question (ça finit par ressembler à H2G2 tout ça) et qu’il faut beaucoup, beaucoup d’informations
10) Je vois pas le rapport entre le système solaire et cette formule.
11) L’un dans l’autre, tout n’est que naturel... Et on ne connais pas tout.Bon je retourne fumer la moquette, car comme je dis, la seule chose à comprendre, c’est qu’il n’y a rien à comprendre©
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guy
une question pose problème :
la question n°4
parce que tu poses comme point de départ que l’homme serait intelligent.
en voyant de quelle manière il agit sur cette jolie terre, j’en viendrais a en douter.
les autres questions lançent un vrai débat.
merci de les avoir posées.
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Bonsoir,
Bons essais de réponses @chria
En fait, mes questions touchaient la philosophie, la chimie, la physique, la paléontologie, la futurologie.... et peut-être bien d’autres pensées et sciences.
Je vais essayé de répondre
1. l’évolution nous a créé comme toutes les évolutions animales. Prise de conscience de l’Univers ? J’ignore. Mais le fait est que nous avons une place dans le buisson de la vie.
La différence essentielle avec les autres être vivants et que nous partageons partiellement avec les singes, c’est que nous avons un langage de communication. Langage qui est pourtant bien plus complexe et varié.2....l’évolution ... engendré... à notre place.
Une autre conscience ? Pas sûr. Mais elle a fait un bon essais dans ce sens. Comme nous n’avons aucune arme naturelle pour nous défendre, il fallait quelque chose de plus « musclé » du côté neurones. Pour nous permettre de ne pas disparaitre très vite.3. le rôle de l’homme ?
Prédateur, évidemment. Omnivore. Donc, il peut toucher à tout.
« son environnement » ce n’est qu’assez récemment, qu’il l’a découvert. L’ère industrielle l’a obligé à le faire.4.« après l’homme ....plus d’intelligence »
Très probablement. Parce que l’homme travaille par à coup, d’expérience en expérience, en corrigeant ses erreurs et en inventant d’autres. Le processus est toujours en marche. Il n’y a pas que la bêtise qui se transmet de génération en génération. Plus il y a de l’instruction, plus on découvre, plus il faudra de la mémoire et de potentiels pour inventer.5 et 6. « pas endémique »
L’homme est un « gaz parfait », il est partout même s’il n’a pas été prévu de le faire, sous l’eau, dans les airs, le froid et le chaud. L’atmosphère le permet. Bientôt dans l’espace bien plus lointain si, on arrivera à aller bien plus vite qu’aujourd’hui.7. Pourquoi sommes-nous venus si tard
Je prendrai la réponse de « chria »8. une vie si courte
entropie ? Peut-être. Un arbre n’a pas trop de soucis à se faire si ce n’est par la pollution.9 et 10.toujours plus d’énergie ?
En fait elle est disponible, justement à cause de la formule E=MC2
On en capte très peu en définitive. Beaucoup de pertes, due à son transport.10. La formule E=MC2, serait-elle exact dans d’autres systèmes solaires ?
Très probablement. La matière, l’antimatière, les trous que l’on appelle noirs. La carré de la vitesse n’est pas une erreur. L’espace temps n’est pas le même à grande vitesse proche de la lumière. Quelqu’un qui l’atteindrait, ne vieillirait pas à la même vitesse que s’il était resté sur Terre.11. que 92 éléments naturels
Question de valence chimique. Le nombres de couches autour des éléments lourds deviennent trop nombreuses et ils deviennent très instable dans le temps.
L’élément 112 est le plus lourd dans l’instantané -
comme il n’y a pas de preuve qu’il y a extinction d’espèces (puisqu’on ne montre pas les corps) selon vous... la connerie n’existe pas. (puisqu’on ne peut pas montrer son corps)
confirmé par un article dans NatureOn a pas besoin effectivement de voir le corps pour trouver une connerie.Et la parole d’un paléontologueMais ce sont sans doute des vendus aux lobbys.Mais vous n’êtes pas isolé dans votre « croisade »Je me demande qui a copié qui pour le titre ?Faudrait que vous tiriez cela au clairComme quoi, vous avez de la concurrence,y compris dans la connerie-
jo,
oui, pour la fin, c’était démontré depuis longtemps.
et ce qui précède votre dernière phrase le prouve bien évidemment.
et alors, le château ? toujours en rade ?
ah la la !!!
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Très bel article Olivier,
Même si la chronologie officielle donnée de l’histoire du monde me semble quelque peu surréaliste et ne reposant que sur quelques découvertes qui ne prouvent pas grand-chose, la vie sur terre remonte bien plus loin dans les mystères insondables du passé....
450 millions d’années me semble très court ( enfin pour l’histoire ...)
On parle plutôt de 3.5 milliards d’années pour les premières formes de vie.....
Mais peu importe, l’histoire qui nous concerne personnellement en tant qu’être humain, reste encore plus énygmatique en l’absence de « chainon manquant »....
Pourquoi un bonobo, notre cousin le plus proche ayant je crois 97.5 % de nos génes s’est -il par enchantement transformé soudainement en homos érectus créateur de centrales nucléaires prêtes à rayer de la planète tout ce processus complexe d’évolution lentement confectionné durant des milliards d’années à seul fin de faire fonctionner sa brosse à dent électrique ???.....
D’où cette interrogation subodorante ;
Cette mutation de bonobo ne serait-il pas une erreur de la nature à l’image de notre cher Zorglub ?? ......-
Oui je sais, je suis médisant parce que j’ai oublié que le bonobo avait aussi inventé le génial dentifrice à rayure.......autant pour moi ...
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Un écolo, par définition, sait gérer les priorités.
Ce week end, Monsieur Claude Guéant, ministre de l’intérieur, était à Sevran.
Son excellence, son maire, le vert Gatignon, était lui à la Rochelle pour cause de congrès.
Il y a mangé beaucoup de crustacés.
L’évaluation du nombre de casques bleus nécessaires au nettoyage de la cité a été remis à plus tard.
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Zorglub ne mange jamais de palourdes, il n’est pas cannibal !!......
c’est Paul le poulpe qui me l’a dit..... -
zorglub
seriez vous donc aussi un adepte du karcher ?
çà ne me surprend pas.
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l’enfoiré
1. Pour quelles raisons, l’évolution nous a-t-elle créer ?
pas de raison la raison n’est qu’un outil produit par cerveau limité a un univers a 4 dimensions
2. Si l’évolution ne nous avait pas engendré, qu’y aurait-il à notre place ?
et si ma tante en avait ?
3. Quel est le rôle de l’homme ? Pourquoi s’est-il posé des questions sur son environnement alors que les autres êtres vivants l’utilisent sans s’en rendre compte et meurent en cas de pénurie de potentiels de vie ?
pas de raison = pas de rôle prédéterminé. pourquoi ne peut faire référence qu’à un espace de causalité linéaire
4. Qu’y aura-t-il comme espèce vivante après l’homme ? Sera-ce encore plus d’intelligence ?non l’homme est a la frontière entre la conscience physique et la conscience énergétique l’étape suivante est une conscience dématérialisée
5. Pourquoi l’homme n’est pas endémique comme la majorité des êtres vivants ?la mauvaise graine se répand ? nos capacité d’adaptation nous permettent de coloniser la plupart des habitats
6. Pourquoi sommes-nous les seuls à chercher à nous évader sur une autre planète et espérons pour cela d’atteindre des vitesses bien plus considérables ?parce que a un stade moins avancé de la complexité ce besoin n’est pas perçu a un stade plus avancé la question ne se pose pas
7. Pourquoi sommes-nous venus si tard, alors que la Terre vivait depuis des milliards d’années et qu’à l’échelle d’une année de vie de la Terre, nous ne sommes là que depuis quelques minutes.
la réponse est dans la question notre notion du temps n’a de sens que pour nous
8. Pourquoi avons-nous une vie si courte alors que les arbres atteignent des milliers d’années ?
pourquoi avons nous une vie si longue ? la vie c’est comme les jambes la bonne longueur c’est quand les deux pieds touchent bien par terre
9. Pourquoi avons-nous besoin de toujours plus d’énergie ?
a part zorglub qui prétend ça ?
10. La formule E=MC2, serait-elle exact dans d’autres systèmes solaires ?
je vais voir et je revient
11. Pourquoi il n’y a que 92 éléments naturels et que les suivants sont artificiels ?
parce qu’on a pas découvert les autres
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vous êtes orion
vous venez de quelque part par là
et ou que vous alliez attachez votre ceinture
merci de l’occasion il y a longtemps que je voulais la placer celle là -
Salut Olivier : Elle est bien ta maison sur la photo, peut être pas étanche, mais sympa.....
A part ça, le problème de fond est que l’être humain ne se connait pas, et ne sais pas grand chose sur le domaine de l’esprit et du spirituel. Un bon nombre de nos concitoyens sont convaincus dur comme fer que l’on ne vit qu’une fois. Cela m’amuse souvent de leur demander, à ceux qui me parlent de ça, pourquoi sont-ils convaincus de ne vivre qu’une fois. Aucunes réponses cohérentes, la plus fréquente est : Parce que c’est comme ça, et qu’on me le dit depuis que je suis gamin. La société nous rappelle aussi que l’on ne vit qu’une fois, qu’il n’y a qu’un seul culte, celui du corps, quand aux religions monthéistes, la devise est : Tu n’es que poussière et tu retourneras poussière.
Avec ce genres d’arguments assénés depuis la tendre enfance, cela cultive à l’extrême le concept de : Après moi le déluge, donc je pollue, je tue, j’emmerde le voisin, etc.... j’en ai rien à foutre et j’engrange du pognon et encore plus. C’est vrai quoi, on ne vit qu’une fois après tout.
Mais voilà, si la notion de spiritualité était plus développé, si au lieu de bourrer le mou à tout un chacun sur les sempiternels poncifs du concept « après moi le déluge », et bien on vivrait mieux. En effet, que sait l’être humain de la spiritualité, de l’immortalité de l’âme. En effet, si les gens savaient qu’il sont loin de vivre qu’une fois, et bien ils feraient beaucoup plus attention aux autres et à l’environnement. En effet, c’est pas le pied de revenir dans un cloaque radioactif ou hyper pollué.
De plus, il n’est pas plus stupide de croire que l’on a qu’une vie, que de croire que l’on en a plusieurs. Par contre le concept de prendre soin de l’environnement prend une toute autre tournure.
Enfin, il est prouvé que les vies passées existes, donc les vies futures aussi. C’est juste une question de point de vue et d’ouverture d’esprit, mais au moins cela pourrait ouvrir la porte à moins de conneries sur cette planète.-
Clojea,
oui, je suis bien conscient que cet article amène plus de question qu’il ne propose de réponse, et la piste des « plusieurs vies » en est bien la preuve.
redoutable question.
merci de ton commentaire. -
Un peu court la réponse Olivier.....
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Bonjour,
dans la même veine, ce court et bien beau texte d’Albert Jacquard
Ce n’est pas la planète qu’il faut sauver, mais l’humanité - Libération
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Patrick
merci de nous avoir proposé ce joli texte d’Albert Jacquard, qui est effectivement dans la même logique que l’article, et merci de me l’avoir fait découvrir.
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« Par leur effectif (multiplié par quatre en un siècle) et surtout par l’étendue de leurs pouvoirs (notamment par l’accès à la puissance nucléaire), les humains se sont imposés comme des artisans importants de l’histoire de la Terre. Or ils ne sont nullement prêts à gérer cette responsabilité nouvelle. »
Le titre me paraît bon mais je vois mal comment nous pouvons nous considérer comme sauveur de l’humanité si nous pensons que nous sommes trop nombreux. Qui devons nous laisser tomber ?Sur quel critère ? Et combien ?
Comment devons nous interprêter la dernière phrase ? Qui est apte à gérer dans ce cas alors ? -
Arrêtez la terre je veux descendre..
Ah non, dit le répondeur automatique, prochaine station : L’Enfer-sur-terre
Et c’est un TGV en plus..
Merci de ce regard conscient et responsable Monsieur Cabanel.-
Merci Aafrit
c’est sympa.
dans le même ordre d’idée, c’est un voyageur qui est dans un tgv qui va de plus en plus vite,
il s’en étonne auprès des autres voyageurs, car le train est sur le point de dérailler !
et son voisin lui répond :
« vous n’avez pas vu le nom du train ? il s’appelle »Progrès« ...et vous savez, on n’arrête pas le progrès »
-
On s’est trompé tous (car même les autres aussi -dits primitifs- sont appelés à le prendre) du train, en effet, comme ce Monsieur.
Ce train se distingue par une capacité d’attirer, comme pas possible. Un piège actif, malheureusement un train anthropovore.L’homme feigne de ne pas voir sa perte dans ce dernier, et happééééééééé, le crétin !
La nature a décidé ainsi pour continuer sa course ? Je crois que oui, et le dernier train pour l’homme risque d’être ce dont on parle, c’est à dire : le Progrès...
La nature a raison, cet intrus ne la mérite pas.. -
slipenL’air 6 juin 2011 17:10Il pleut. ! et les escargots font du jogging,il faut faire attention
de pas marcher dessus,merci. !
Si l’idéologie actuel n’est pas remise en cause très sérieusement
il est inutile de tirer des plans sur la comète c’est l’autodestruction
programmé.
Observer l’état de la planète PDF du cnrs
Le naufrage de la civilisation
L’état de la planète
Comment va la terre (voir dernières nouvelles)
moi je reste pour voir la suite
-
Slipenl’air
merci de ces liens somptueux, et que je regrette de n’avoir pas eu avant,
ils auraient été parfaits dans l’article
-
slipenL’air 6 juin 2011 17:11OUpss
bonjours olivier et les ausstres terriens
-
je connaissais pas
tu as la suite ? ou un lien ? -
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orion
non, je découvre
c’est très intéressant
dans un article plus ancien, j’avais évoqué la forme des chiffre pour expliquer leur sens
l’origine en était je crois me souvenir phénicienne
le un, parce qu’il n’avait qu’une barre
le 2 parce qu’il avait deux angles
le 3 trois angles etc
mais je trouve cette approche passionnante.
s’il y a un lien, je suis preneur ;
-
Bonjour Olivier,
imagine que le créateur ait prévu que toutes les races puissent se reproduire entre elles, à l’heure qu’il est , il n’y en aurait plus qu’une, la dominante. Pourtant, n’est ce pas ce que sont en train d’espérer ce eugénistes d’humain ? Nous sommes , je généralise, les petits soldats de ces abrutis, ils ont besoin de nous. posons nous la question si nous ne serions pas une expérience genre souris, ou loft souris que les dominants visionnent avec délectation sur l’écran plat de leur yacht dans leurs îles vierges...
-
lisa,
çà pourrait donner des idées à un réalisateur de films de fiction,
un très bon scénario.
-
slipenL’air 6 juin 2011 17:57Pour les ceuzes qui connaissent pas (vraiment bien)
L’Arbre des Possibles est un projet initié par Bernard Werber pour rechercher ou imaginer
les futurs possibles de l’humanité. Futurs pessimistes, neutres ou optimistes,
à court-terme ou à plus long-terme...Participez vous aussi à cette exploration du futur !
Lisez les scénarios déjà nombreux proposés par les internautes, créez les vôtres, répondez
aux scénarios existants et créez ainsi les branches de l’Arbre des Possibles.La carte des futures (cliker c’est zoomer)
-
Salut Olivier et salut à tous,
Pour rebondir sur ton raisonnement à propos de la question 4 de l’enfoiré !
Est-ce que vous vous considérez comme mauvais par nature ?
L’intelligence est-elle bonne, mauvaise ou autre consciemment ? N’est-ce pas plutôt derrière les intentions qu’il faut regarder !
Je suppose que vous ne savez pas tout sur tout et pourtant vous ne dîtes pas que des bêtises. Est-ce du hasard ?
Amicalement-
"e suppose que vous ne savez pas tout sur tout et pourtant vous ne dîtes pas que des bêtises. Est-ce du hasard ?
incontestablement,c’est du hasard.perso, je n’ai pas encore pu profiter de cette occurrence, mais ne désespérons pas ;-
jo,
ce n’est pas très gentil.
je m’ingénie a vous trouver une occupation a votre portée,
créative, ludique, et vous qu’en faites vous ?
vous délaissez les châteaux de sable sous je ne sais quel prétexte.
si je m’écoutais, je vous proposerais d’essayer le cerf volant, mais vous êtes capable de lancer une biche en l’air, en attendant qu’elle retombe.
c’est ballot. -
Vous parlez, Olivier, de « chantres éclairés de la décroissance ». Je ne vois pas ce qu’il y aurait d’éclairé à se faire le chantre d’une telle absurdité !
Cela vous paraît illogique que l’on puisse avoir l’ambition de progresser indéfiniment dans les limites d’un monde fini. Pourtant n’est-ce pas ce que la vie a toujours fait depuis des milliards d’années qu’elle existe sur Terre ? La vie a su se renouveler pour progresser sans que limites physiques et énergétiques de notre petite planète ne viennent jamais contrarier son essor. La vie s’est-elle jamais fixé pour but de décroître pour mieux assurer sa persistance ? NON au contraire, elle n’a jamais rien su faire d’autre que de s’étendre, croître et conquérir. Et chaque fois que la vie fut contrainte à la décroissance, ce ne fut jamais que pour mieux repartir en avant.
Alors en quoi serait-il judicieux pour nous de nous prendre à rêver d’un monde statique où nous pourrions nous affranchir de suivre ce grand mouvement vers la complexité qui, de l’aube de la vie jusqu’à aujourd’hui a toujours été le lot de cette planète ? QUI SOMMES-NOUS du reste, pour prétendre remettre en question la logique d’un mouvement qui nous a fait naître ?
Il n’y a rien de déraisonnable à croire que l’on peut faire progresser notre économie à l’infini dans les limites de ce monde fini. La décroissance est une dangereuse absurdité. Le temps ne s’écoule que dans un seul sens et le monde n’évolue QUE vers la complexité. Cette fuite en avant vers la complexité, c’est la stratégie que la vie à mise au point pour vaincre l’inévitable dégradation de l’énergie. Nous n’avons pas la possibilité de nous soustraire à cette obligation. Il faut apprendre à nous renouveler, il faut constamment réinventer notre croissance, mais nous n’avons pas le choix, il faut qu’elle dure.
-
Tiberius
une décroissance que nous pouvons souhaiter est celle de la finance folle ! -
tiberius
et pourtant, comment voulez vous que notre humanité s’en sorte par le haut, si nous ne considérons pas que la fuite en avant que nous pratiquons, ou que l’on nous donne comme modèle de société, n’est pas une grossière erreur de logique.
croitre sans arret sur une planète qui n’est pas extensible à l’infini, ça ne tient pas debout.
secouez vos neurones.
mettez les yeux en face des trous, et on en reparle.
-
Olivier
A qui devons nous confier la gestion de sortie du nucléaire ? Et quel modèle de gestion(privé, public, semi) en attendant la sortie définitive ? Devons nous suivre les scientifiques russes au sujet de la création d’un réseau satellitaire pour la prévision des catastrophes naturelles afin d’éviter de nouveaux Fukushima ? -
tibérius
en premier lieu nous ne sommes pas la vie nous ne sommes qu’une espèce parmi toutes les autres
en second lieu les autres espèces progressent en s’adaptant a leur environnement nous somme la seule qui adapte son environnement. Vous trouvez normal que l’on utilise notre intelligence a cette fin pourquoi ne serait il pas normal de l’utiliser pour ne pas le détruire ?
n’ ais je pas le droit de ne pas vouloir vivre dans une mégalopole et de préférer mes sabots et mes lézards a votre costume trois pièces et vos pots d’échappements ?
regardez ou nous mène le « progrès » actuel ça vous tente ? jamais (en françe ) nous n’avons autant possédé de choses et jamais les gens n’ont autant fait la gueule (même ceux qui ont du gros pognon ) ça vous paraît normal ?
troisièmement : des espèces disparaissent et un jour la notre disparaitra
quatrièmement :des espèces régressent (quantitativement ) pour survivre : ex dinosaures
cinquièmement : toutes les formes de progrès de progrès et d’évolution ne sont pas quantitatives
le progrès technique avait un sens celui d’apporter a tous les moyens passer de la survie a la vie c’est fait ( c’est a dire que nous en avons les moyens ) si des gens meurent de faim aujourd’hui c’est par manque de progrès humain et pas technique
sixièmement : vous dites il faut apprendre a nous renouveler et sur ce point on est d’accord mais non de dieu en quoi faire toujours plus de la même chose est il un renouvellement et un progrès ?
septièmement : pour beaucoup de gens la décroissance a commencé ( et pas par choix ) on a réinventé les travailleurs pauvres en france .
demandez aux alpinistes quand en avançant en direction du sommet vous commencez a descendre c’est que vous l’avez dépassé
huitièmement : une croissance matérielle infinie suppose une croissance exponentielle de l’énergie ( en langage normal : plus tu veut avancer plus vite plus il faut pédaler de plus en plus fort ) on en est loin. vous a t’ il échappé que les projets pour l’an 2000 sont passés a l’an 2100 ? demain on rase gratis
comme disait mon vieil ami chinois : le problème avec l’horizon c’est que plus tu avance plus il recule -
1) Vous dites que nous ne sommes pas la vie. C’est faux ! Nous ne sommes peut-être pas TOUTE la vie à nous seuls mais nous sommes bien la vie. L’ordinateur devant lequel vous vous trouvez n’est pas le seul fruit du génie humain, il est la somme du travail de toutes les espèces qui nous ont précédées et ont évoluées jusqu’à nous. Oui, nous sommes la vie comme un champignon marin ou une étoile de mer est la vie.
2) Encore une fois vous vous trompez. La vie adapte également son environnement pour créer et entretenir les conditions de sa survie : phénomène d’auto-régulation. La vie est le thermorégulateur de cette planète. Détruisez-la et la Terre deviendra rapidement un astre aride comme Mars.
3) Le devenir logique de toutes les espèces n’est pas la disparition comme vous dites, mais l’évolution. Les espèces qui disparaissent sont celles qui se sont avéré incapables d’évoluer.
4) Les espèces ne régressent pas non plus. Quand elles ne savent plus évoluer, elles meurent. Évoluer est la condition de leur survie.
5) Pour quantifier qualitativement le progrès technique, ceci de façon absolue, il faudrait pouvoir donner un sens commun à la vie humaine. Or si la vie à un sens, vous admettrez que personne ne le connaît ou alors que chacun à le sien. Or ce n’est pas parce que le progrès technique ne suit pas un cours qui correspond à l’idée que vous vous faites du sens de la vie et du progrès, que ce progrès technique n’en est pas réellement un.
6) Nous ne faisons pas toujours la même chose. Pour vendre et générer de la croissance économique nous sommes constamment contraints d’innover. Certes, nous faisons toujours des voitures mais un peu différentes d’année en année. N’est-ce pas ce qu’à fait la vie en recréant sans arrêt de nouvelles espèces alors que logiquement, une fois conquis tous les espaces à conquérir sur cette planète, le vivant aurait très bien pu cesser d’évoluer. Mais non, comme nous, la vie n’a pu s’empêcher d’innover et de se renouveler sans qu’il nous soit possible d’en déterminer le BUT !!!
7) S’il y a un sommet c’est qu’il y a un but. Or je le répète, personne ne connait le but de la vie et ne peut dire où se trouve le sommet. Rien ne dit par conséquent que nous ne soyons pas condamnés à constamment monter sans jamais espérer descende.
8) Si ce que vous dites était vrai, la vie n’aurait pas pu évoluer jusqu’à nous.
9) « Le problème avec l’horizon c’est que plus tu avances plus il recule ». C’est exact ! C’est là toute l’histoire de la vie sur Terre qui évolue sans arrêt vers un horizon de complexité qui recule indéfiniment.
-
kessonfait
surtout pas confier le domaine énergétique a des groupes privés,
trop tentés pour tirer sur les prix, ils sont prets à nous faire prendre des risques.
(le japon en est l’exemple parfait)
à mon avis, çà ne peut etre qu’un groupe public qui gère çà...
quant à la sortie du nucléaire, elle peut commencer bien plus vite que la plupart des partis proposent...
un simple grand chantier concernant l’isolation des batiments, publics et privés, permettrait de réduire du 1/5eme notre consommation énergétique, et donc de fermer très rapidement des réacteurs.( de plus il y aurait immédiatement création de beaucoup d’emplois, avec un double effet, puisqu’il faudra beaucoup de main d’oeuvre pour le démantelement des centrales nucléaires)
de plus une gestion différente, moins centralisée de l’énergie produite aurait aussi de très importants effets.
si on y ajoute un vrai développement des énergies propres et renouvelables (méthane, solaire, éolien, géothermique, hydraulique, etc) la sortie du nucléaire serait possible assez rapidement. -
et concernant la création d’un réseau satellite ( comme DEMETER) pour la prévision des catastrophes naturelles ?
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kessonfait
il semble qu’un chercheur ait trouvé le moyen de prévenir les séismes 20 jours avant !
http://www.nextearthquake.com/earthquakes_long_term_forecasts.htm#earthquakes_top
faut voir... -
désolé je ne comprends pas l’anglais. Par quelle méthode y arrive-t-il ? Qu’est ce que tu peux dire de plus sur lui ?
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kessonfait
il faut mettre l’adresse http de l’article dans une barre de traduction « voila », et tout le texte apparait en français... -
tiberius
1 ce qui signifie que vous imaginez que nous sommes un aboutissement ce n’est pas le cas nous sommes une partie
2 ok pour l’autorégulation mais il n’y a là rien qui nous oblige a détruire notre environnement
3 je parle pas en terme de devenir logique ce qui commence finit
4 demandez aux oiseaux
5 je ne parlais pas de quantifier qualitativement le progrès je parlais d’un progrès qualitatif de l’humain en tant que tel
et ce n’est pas parce que c’est une vue de l’esprit que ce n’est pas aussi une réalité
6 pour moi ça revient a faire toujours la même chose
7 on sait qu’il a eut un sommet parce qu’on est en train de redescendre désolé ce n’est pas une hypothèse
8 je ne comprend pas votre logique n’importe qui peut sauter 10 cm certains peuvent sauter 2m ça ne prouve pas qu’un saut de 50 mêtres soit possible
9 ce n’est pas le même point de vue le progrès technique fonctionne comme la religion :vivez une vie de merde aujourd’hui ça ira mieux en l’an 2000 ou 2100 ou au paradis (au choix selon votre croyance )
( je vous déconseille les 70 vierges ça doit être épuisant )
-
merci olivier pour la traducteur, il est bien mieux que ceux que j’avais.
En ce qui concerne le site je n’ai rien pour vérifier si ses résultats sont fondés sur la réalité. Il me semble que tu avais donné en lien une adresse qui permettait de voir les séismes ayant eu lieu récemment. Si c’est le cas te serait-il possible de le remettre ? En tout c’est intéressant.
Néanmoins il ne donne aucune méthodologie (en temps voulue seulement) ce qui me laisse perplexe. (« LES PRÉDICTIONS DE TREMBLEMENT DE TERRE ont ici une forte base physique scientifique et sont tirées par le biais du modelage mathématique unique qui a pris environ quatre ans pour se développer et est la propriété intellectuelle de Dr Reg Roberts. En temps voulu l’auteur publiera la méthodologie. Cependant, pas plus tard que l’octobre de 2009 une des percées les plus importantes dans la recherche de l’auteur eu un impact positivement sur les prédictions a annoncé ici, surtout avec les améliorations significatives de l’exactitude de la plupart des Pronostics À long terme. ») A partir de quoi fait il ses prévisions ?
Il nomme une nouvelle région à surveiller : « Il y a maintenant 41 régions du monde inclus dans les Pronostics À long terme, le dernier à être ajouté étant la Nouvelle région de Madrid des Etats-Unis Centraux. »
Or un autre site évoque cette région et en donne des détails à travers une petite vidéo.
Ceci est une affaire à suivre ! Comment as tu trouvé le site de RJ Roberts ?
Tu as évoqué lors d’une de nos précedentes conversations l’effet possible des satellites et fusées sur la reconnexion magnétique. Aurais-tu des infos à ce propos ? -
Kessonfait
désolé, mais s’il est évident que je vais m’y replonger, pour l’instant je suis sur une autre piste,
(il est question de violence !)
sans abandonner pour autant ces seismes, d’autant qu’il semble bien qu’eux ne nous ont pas oublié !
à+ donc, mais pas tout de suite. -
ok Olivier nous aurons l’occasion d’en reparler.
-
Salut Tibérius et Gaijin
Votre échange et intéressant à suivre voilà pourquoi j’espère que vous accepterez ma contribution.
Nous sommes, il me semble une espèce parmi d’autres certes, mais avec des capacités qu’aucunes n’ont. Gaijin tu l’évoques lorsque tu parles d’une espèce qui adapte son environnement et Tibérius évoque celui de la vie. Le fait de la destruction de notre nature me paraît être le fait d’une société humaine qui est tenue par des acteurs qui se moquent de la vie humaine et qui le transmettent par le biais d’une culture dévoyée allant dans le sens d’une oligarchie. Le pouvoir entre les mains d’une minorité qui souhaite l’ignorance (pour le controle de la population = esclavage mental par exemple) et un nombre réduit d’individu ( pour peu de demande et de coûts financiers).
Le devenir d’une espèce est à mon sens sa survie, une fois acquise la vie de tous pour tous et par tous (inscrite dans la constitution française et bafouée) et la maintenir ce qui entraine une augmentation de la population. Vouloir diminuer en nombre nos concitoyens de n’importe quel pays me paraît criminel (si des gens meurent de faim c’est qu’un programme de soumission alimentaire à été instauré dans les années 70 par H Kissinger nommé NSSM 200).
L’humanité fait partie du processus créateur de l’univers qui engendra des espèces de plus en plus denses et qui sont soit non vivantes soit vivantes soit pensantes ( voir Vladimir Vernadski) intégrés dans une dynamique universelle (comprendre les effets de notre environnement proche comme le système solaire et notre galaxie pour nos générations). Notre rôle est, à mon sens, d’adapter la nature aux besoins des êtres humains dans le respect de notre environnement pour ainsi devenir les ingénieurs de la biosphère. Si celà se fait notre avenir commun est tracé : jardinier de l’univers ( grâce à l’effet anti-entropique de la chlorophylle = merci les plantes et les arbres qui ont créer les infrastructures de notre apparition). -
kessonfait
avec le plus grand plaisir
-
1) Je vous dis que nous sommes la vie autant qu’un champignon marin ou une étoile de mer, vous me répondez que j’en déduis que nous sommes un aboutissement.
2) Dès lors que l’on modifie quelque chose, l’on est forcé de détruire et si comme je vous l’ai montré nous sommes en droit de modifier, alors nous sommes en droit de détruire. Le problème qui se pose est de savoir préserver les équilibres, ceci à l’instar de ce qu’à su faire la vie des milliards d’années durant.
3) Songez un peu que si nous existons aujourd’hui, c’est parce qu’une forme de vie cellulaire a pu se reproduire et évoluer jusqu’à donner l’homme et ceci depuis 3,5 milliards d’années SANS JAMAIS DISPARAÎTRE ! Or si nous avons pu survivre en évoluant tout ce temps, qu’est-ce qui vous permet d’être aussi affirmatif sur la fatalité de notre mort ? Toute l’histoire de la vie sur Terre est une lutte VICTORIEUSE contre la fatalité de la mort.
4) Les oiseaux ne sont pas une régressions des dinosaures. Ils sont plus évolués que leurs ancêtres et dominent encore largement en diversité les mammifères.
5) Vous avez tenté d’évaluer le progrès qualitatif de l’humain, ce qui signifie en d’autres termes le quantifier qualitativement. Je vous réponds que pour juger la qualité du progrès humain, il faudrait pouvoir déterminer un but commun. Ce dont nous ne sommes pas capables.
6) Eh bien vous vous trompez : Un téléphone filaire des années 60 et un téléphone cellulaire de l’an 2000 sont peut-être tous deux des téléphones, mais ils sont bien différents dans leur usage.
7) La seule façon de prouver que nous sommes bien en train de redescendre et que ce n’est pas une illusion, c’est de nous dire ce qui constitue le fameux sommet. C’est-à-dire de nous révéler le but de la vie (que nous aurions selon vous atteint et... dépassé.)
8) la croissance économique est fondée sur le renouvellement et l’innovation incessante de nos marchandises à l’instar de la vie et de l’évolution incessantes des espèces. D’ailleurs Darwin a repris les lois des théoriciens du libéralisme pour écrire celles de l’évolution des espèces, c’est vous dire combien la logique de ces deux processus est semblable. Or en 3,5 milliard d’années, la vie a eu le temps de nous a prouver plus sûrement qu’aucune de vos spéculations que la croissance infinie était possible. Bref, si cette idée de croissance infinie ne colle pas avec vos théories, ce n’est pas le résultat de l’expérience du vivant qu’il faut remettre en question mais vos théories.
9) Vous n’êtes pas le premier à souffrir en ce monde de l’absence d’absolu.
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@ Kessonfait
Je vous ai lu avec intérêt et j’admets que votre idéal du progrès humain où l’homme se veut simple ingénieur de la biosphère dans le respect de la nature est très noble. Mais ce n’est malheureusement que votre conception personnelle du sens de la vie. Le problème c’est qu’il n’est écrit nulle part que c’est à cela que doit se limiter notre existence. D’aucuns verraient sans doute plus volontiers l’humanité comme un vecteur probable de la vie terrestre dans et au-delà du système solaire, plutôt que comme le simple ingénieur de la biosphère dont la Terre s’était très bien passée jusqu’ici. Alors, que pour ce qui est de s’arracher du sol terrestre, la vie jusqu’à présent n’avait pas pu l’envisager aussi sérieusement que nous.
Tout le problème voyez-vous, c’est finalement de donner à la vie et au progrès humain un sens qui vaille pour tous. Or des vérités universelles, il n’y en a pas des masses. La seule chose qui paraisse constante dans l’histoire de la vie et même dans l’histoire de l’Univers, c’est cet étrange mouvement de fuite vers la complexité qui anime toute chose. De la naissance de la matière à l’apparition des étoiles, puis des planètes, de la vie et finalement de nous, on ne peut distinguer en cet univers qu’une seule constante, c’est ce que l’on nomme le progrès ou la fuite vers la complexité. C’est en se complexifiant à l’infini que la matière (pas seulement vivante) semble être parvenu à contenir l’inexorable dégradation de l’énergie qui constamment semble vouloir ramener tout ordre au chaos.
Si nous cherchons donc un sens à la vie et que nous observons l’Univers, nous verrons une flèche qui semble nous dire : Avancez vers la complexité ! Mais pour allez où précisément, ça nulle ne le sait et c’est bien évidemment frustrant. C’est bien d’ailleurs ce qui nous dérange en économie : Nous avançons sans savoir où nous allons. Mais la vie savait-elle mieux que nous vers quoi elle avançait durant ces milliards d’années d’évolution ? Sommes-nous un aboutissement, une étape ou une erreur ? Personne ne le sait, mais il est plus plaisant d’imaginer que nous ne sommes qu’une étape et que si but il y a, il nous apparaîtra quand nous l’aurons touché.
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Tiberius
Je pars d’un constat simple à faire. Il nous est dit qu’une société mondiale existe or elle ne subvient pas au besoin de tous. Une chose qui pourrait être universel ( peut être que cette expression prête à confusion) ou rassembleur, pour éradiquer un système qui mise sur la division de l’humanité pour privilégier une minorité, serait d’avoir un objectif de développement mutuel afin d’enrayer les maux de notre espèce.
Aujourd’hui le système économique mondial par à la dérive. Cela peut se savoir notamment lorsque l’on constate qu’un peuple, qui à contracté une dette publique auprés d’établissements financiers spéculatifs privés en échange d’une privatisation à marche forcée le privant de ses moyens de rembourser, ne peut pas honorer cette dette. Sachant que ces financiers, dépendants de ces remboursements, échangent des titres virtuels contre de l’argent qui retourne dans le virtuel ou dans la spéculation de bien réel comme la nourriture (déclenchant une grêve de masse comme en Tunisie et Egypte), détruisent nos moyens de vivre. Il me semble que rayer de la surface de la Terre ces pratiques semble relever du sens du bien commun de l’humanité.
Empêcher cet effondrement prévisible (se renseigner sur le rapport Angelides = mise en lumière des responsables de la crise) permettrai un dialogue des cultures afin d’entamer le développement mutuel (pays qui s’y joindraient). Ainsi libre à tout un chacun de vivre pleinement ses capacités créatrices propres à une espèce pensante. Tu pourrais trés bien être dans les têtes pensantes de la structure nécessaire à ce développement de la vie comme te retrouver chez toi, tranquilement dans un coin perdu, à t’adonner à des activités plus locales.
Quant à la question de la complexité de l’univers, il nous serait possible d’aller chercher des réponses en envoyant un contingeant de scientifique de l’espace afin d’étudier moultes problématiques.
Pour voir cet « idéal » il ne nous reste plus qu’à profiter de cette fin du système pour dire stop, maintenant c’est du crédit productif publique pour réaliser le socle porteur d’une économie dirigée et appliquant les conclusions des débats engendrés par la création de ce nouveau système. -
@ Kessonfait ?
Je disais dans un commentaire à l’intention de Gaijin ci-dessus que la vie qui est en nous n’est pas apparue il y a de cela 100.000 ans avec l’humanité, elle est née en réalité il y a de cela plus de 3,5 milliards d’années dans l’océan. Et si nous existons aujourd’hui, c’est parce que cette vie qui est passée par de multiples formes au cours de ces milliards d’années d’évolution ne s’est JAMAIS éteinte. Cela veut dire qu’elle a traversé TOUS les drames qui ont touchés cette planète depuis le commencement de la vie et a toujours survécu jusqu’au jour où elle a pris la forme des humains que nous sommes. Rendez-vous compte que nos ancêtres ont connu la catastrophe qui a causé l’extinction des dinosaures et qu’ils l’ont traversé. Combien de nos ancêtres sont morts dans la chute de cet astéroïde ? Quel apparence avaient-ils d’ailleurs et combien de femelles et de jeunes sont mort dans le feu, les hivers et les famines qui ont dû résulter de la chute de l’astéroïde ? Et pourtant, nos ancêtres ont survécu, ils ont continué d’évoluer et nous voilà aujourd’hui ici en cet instant. NOUS SOMMES DES SURVIVANTS !
La question qui se pose dès lors à nous est : Comment allons nous faire pour que la vie dont nous avons hérité, cette vie qui a su traverser victorieusement tant de tragédies, se perpétue encore 3,5 autres milliards d’années. Cela paraît inimaginable, mais c’est possible puisque nos ancêtres l’ont fait ! Toute la question est de savoir ce que nous devons faire pour y parvenir.
Et vous me parlez donc d’un idéal de développement humain où chacun pourrait subvenir à ses besoins et où ce système économique libéral qui nous inspire division et compétition à outrance serait éradiqué. Le problème voyez-vous, c’est que le jour où Darwin s’est mis en tête de décrire les lois qui régissaient l’évolution des espèces, il s’est rendu compte que d’autres scientifiques les avaient déjà parfaitement décrites avant lui. Ces scientifiques étaient les théoriciens du libéralisme et curieusement, ces gens n’avaient pas pris pour sujet d’étude les espèces animales en compétition pour leur survie, mais des acteurs économiques humains en compétition eux aussi pour leur survie. Cela signifiait que les humains, sans même le savoir, avaient repris exactement les mêmes lois pour fonder leurs relations économiques que celles qu’avait choisies la nature depuis l’aube de la vie sur Terre.
Pourtant, vous estimez que le respect des règles du libéralisme économique qui ne sont finalement que l’adaptation à la société humaine de la loi de la jungle, c’est-à-dire la loi de la nature qui nous a enfantés, sont bonnes à jeter au panier parce qu’elles ne respectent pas votre idéal où chacun vivrait heureux dans un monde de prospérité mutuelle. Mais qui sommes nous dites-moi pour nous croire, du haut de nos 100.000 petites années d’existence, en droit de remettre en question les règles d’un jeu vieux de 3,8 milliards d’années ? Vous êtes vous demandé pourquoi la nature une fois qu’elle a eût colonisé tous les espaces terrestres colonisables à continué d’évoluer et de créer sans arrêt de nouvelles espèces entrant en compétition avec les anciennes et forçant celles-ci à évoluer ou à disparaître ? Pourquoi la nature n’a pas arrêté son évolution pour permettre à toutes les créatures de la Terre de vivre enfin en bonne harmonie sans que constamment, une nouvelle espèce née de l’évolution ne vienne chasser une autre de sa niche écologique ? C’eût été pour la nature un idéal aussi noble que le vôtre, néanmoins la nature n’en a pas voulu. Elle a préféré un monde fait de violence et de compétition à outrance ou le plus faible était inexorablement forcé d’évoluer ou de disparaître. Des observateurs aussi mal inspirés que vous auraient pu penser que la vie courrait à sa perte en poursuivant cette compétition inutile et dispendieuse en énergie. Mais 3 milliards 800 millions d’années plus tard, nous sommes toujours là. Aucune crise si grande soit-elle n’est venu à bout de nous !...
Aussi étrange que cela paraisse, suivre la loi de la jungle est par conséquent la meilleure assurance que l’humanité puisse se donner de survivre.
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Très bel article, Olivier.
celui-ci fait rêver.
Que de mystères. D’étrangetés. C’est une création fabuleuse. Elle a simplement le défaut de laisser aux plus forts le pouvoir sur les plus faibles.
A moins que ce soient les plus faibles qui soient aussi les plus bêtes !
Qunad on a le nombre n’a-t-on pas la force ?Bonne soirée !!
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Ariane,
le nombre n’est pas la force.
c’est la conviction d’un seul individu qui est la force.
le nombre vote souvent avec un esprit moutonnier,
le nombre n’hésite pas parfois a partir, le fusil sur l’épaule pour démolir l’autre, celui du camp d’en face.
nous sommes prisonniers de nos frontières, de nos barbelés, de nos hymnes nationaux,
ceux la même qui veulent faire couler « un sang impur » dans des sillons improbables.
nous sommes fragiles parce que nous sommes manipulables.
parce que, peut être, nous manquons de recul, de réflexion, et pourquoi pas de culture.
tentés de suivre le plus grand nombre.
nous votons pour « le beau gosse », pour celui (ou celle) qui sait séduire.
donc, le nombre n’est pas la force.
la force est solitaire.
mais ce n’est qu’un avis.
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Ariane,
ta découverte sur la bactérie qui fait des vagues est énorme, je t’ai envoyé un message sur FB
au revoir concombres et soja,
il s’agirait de bien plus grave.
j’avoue ma perplexité.
çà va faire un buzz à l’évidence. -
Salut Olivier,
Sympa, l’article.
J’ai pu me rendre aux Glieres cette annee. Dans les differentes discussions off, on se rend compte que la decroissance y est tres presente.
Deux remarques :
Il y a 6 mois de cela, Pierre Rabhi etait l’invite de « CO2 mon amour ». Visiblement, decroissance est un mot interdit d’antenne sous peine d’exlusion definitive des medias. Cheissoux et JM.Pelt savaient-ils d’ailleurs qu’ils invitaient ce jour-la un defenseur de la decroissance ? Je ne le crois pas, sinon cet homme n’aurait a mon avis jamais ete invite.
Frederic Taddei a eu lui, les coucougnes d’inviter Paul Aries a la tv ainsi que dans son emission sur Europe1. Hommage lui soit ainsi rendu.
A propos des singes, il est interessant de suivre les travaux faits par Penny Patterson, une scientifique qui a enseigne le langage des signes a un gorille qui a son tour etait capable d’inventer de nouveaux mots et de les « enseigner ».
A+-
raoul
merci de ce commentaire,
je m’aperçois que j’ai oublié de citer Aries, et il est pourtant dans la droite ligne de la réflexion que j’ai tenté de porter avec cet article.
le problème de la décroissance, c’est que le mot est porteur d’un refus, est négatif.
mais je ne vois pas quel autre mot pourrait etre choisi.
en cherchant, on le trouvera un jour.
tout comme le mot « lenteur » est jugé négativement, alors qu’il ne devrait pas l’être.
et pour faire avancer les idées, il faut qu’elles soient perçues positivement.
ou faire appel à l’intelligence.
et là c’est pas sur que ce soit toujours gagné.
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@ Raoul et olivier cabanel
La croissance étant liée au travail on peut se poser la question avec Paul Ariès, Sommes nous fait pour travailler ? ? ?
http://www.youtube.com/watch?v=sJkYcyMAw3Y&feature=related
Et certains préfèrent vivre sur l’amour plutôt que sur le travail comme Zachary Richard
http://www.youtube.com/watch?v=cC8la1zztYY
D’autres ont le blues du tuf comme l’1consolable
http://www.youtube.com/watch?v=dZEazHYW_-o&NR=1
L’1consolable est pour la décroissance comme il le dit dans sa chanson « consommer moins »
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frabri
la chanson de zacharie, nous avons été les premiers à la reprendre en france avec mon groupe padygros, puis un certain julien clerc l’a mis a son programme...
par contre, je propose sur le même theme « arriver le premier » sur ce lien :
http://olivier-cabanel.fr/Disq/Rever/Re%CC%82ver%206/ -
Avant de descendre assurez vous que vous n’oubliez pas vos bagages, et en espérant que vous avez fait un beau voyage. Il y en a qui descendent d’autres qui montent, ainsi va le voyage.
Ce serait mieux si on connaissait le but du voyage, car comme le dit la chanson « on sait pas ou on va mais on y va »
http://www.dailymotion.com/video/xp0n_dj-jacob-on-sait-pas-ou-on-va_music
Il y en a un qui connait le but du voyage, c’est Dieu. J’ose pas lui demander, il m’intimide. Il n’y a pas quelqu’un ou quelqu’une qui pourrait lui demander ? ? ?
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Merci pour le compte-rendu mais la prochaine fois, tu nous invites afin que l’on puisse egalement emettre un avis sur le pinard des charentes ! (- :
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orion
j’avais reçu le lien pour écouter le tout, mais j’avoue ne pas avoir eu la patience, alors merci de nous en avoir fait le compte rendu,
il ne fait que confirmer mon choix et tant pis pour Hulot...ce sera Joly.
même si ce Stoll m’a l’air d’un bon candidat.
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@ l’auteur
Merci pour cet article passionnant qui ouvre bien des pistes de réflexion.-
salut Olivier
le nucléaire est mort, vive Jeremy Rifkinhttp://www.youtube.com/watch?v=4m3Mis9vIX0&feature=player_embedded#at=116
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cathy
oui, vive lui,
il est très convaincant.
mais notre nain périal président a les portugaises ensablées.
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alchimie
charmant commentaire qui mélange critique et affirmations.
ceci dit, je suis étonné que vous ayez trouvé dans l’article « auto-flagellation, pleurs, dénigrement, incantations »
c’est à mille lieues de ce qu’ai voulu faire.
de la à affirmer que l’humain soit parfait ? je ne le crois pas,
il faudrait au moins qu’il ait envie de « cette perfection »
quant à la réussite de l’être humain qui vous semble une évidence, elle ne l’est pas pour moi.
ou en tout cas, elle reste à prouver.
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orion
il me semble qu’il y a déjà plusieurs jours que nous savons que les réacteurs sont percés comme des passoires,
je l’avais évoqué dans un article déjà ancien (18 mai)
http://www.agoravox.fr/actualites/environnement/article/fukushima-le-mensonge-organise-94206
ci dessous le lien en japonais qui confirme « la passoire »
http://ex-skf.blogspot.com/2011/05/asahi-shinbun-core-meltdown-in-reactors.html -
olivier
ce qui est nouveau c’est que ça commence a percer au niveau des médias « officiels »
a france info tout a l’heure il commençait a être question de la façon « curieuse » de tepco et du japon de gérer la communication
ainsi que des mensonges du gouvernement japonnais a sa population a propos de la radioactivité
si l’info circule un peu c’est plutôt une bonne nouvelle -
ça c’est a cause d’olivier
c’est a force de dire qu’il veut descendre
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@ tous
du nouveau sur Fukushima
http://www.cartoradiations.fr/-
@ tous
http://www.mediapart.fr/journal/fil-dactualites/060611/le-volcan-chilien-puyehue-se-reveille-apres-51-ans-de-sommeil
les volcans, ça continue...-
Quel est selon vous la conduite à tenir envers la Russie, l’Inde et la Chine qui préconise encore plus de nucléaire et notamment la IVe génération ainsi que la fusion ? Que pourrais faire un président français face à ces monstres asiatiques ?
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kessonfait
pour la Russie çà me parait surprenant après avoir vécu tchernobyl
pour l’Inde, je sais qu’en meme temps, ils sont en pointe sur les énergies renouvelables, et on ne peut qu’espèrer qu’a la lumière de Fukushima, dont les effets ne font que commencer, ils vont changer d’optique
quant à la Chine, j’ai commencé à creuser le sujet, il semble qu’ils s’orientent vers des centrales au Thorium, qui d’apres eux, seraient moins dangereuses...
ce qui est loin d’être prouvé.
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@ tous
le soleil fait de nouveau des siennes !
une éruption solaire de taille phénomènale vient d’avoir lieu :
http://lesmoutonsenrages.wordpress.com/2011/06/07/nouvelle-eruption-solaire-de-taille-phenomenale-photosvideo/
sortez couverts
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@ tous
l’agence sur la sureté nucléaire japonaise vient de reveler qu’il est nécessaire de doubler le chiffre concernant la quantité de radioactivité rejetée dans l’air pendant les premiers jours de la catastrophe :
http://www.next-up.org/pdf/Importante_reevaluation_officielle_du_desastre_environnemen tal_nucleaire_de_Fukushima_Daiichi_07_06_2011.pdf-
@ tous
de forts niveaux de contamination radioactive trouvé à Koto Ward, Tokyo
http://lesmoutonsenrages.wordpress.com/2011/06/08/fukushima-le-7-et-le-8-juin/-
@ tous
un peu plus de précision sur cette contamination pres de Tokyo :
5,77 mS par heure
http://enenews.com/5-77-microsieverts-per-hour-of-radiation-measured-near-tokyo-at-ground-level-govt-is-desperately-trying-to-keep-it-quiet-video-
@ tous
d’autres mauvaises nouvelles en provenance de Fukukshima
http://ex-skf.blogspot.com/2011/06/fukushima-i-nuke-accident-tellurium-132.html-
tiberius
cherchez vous le dialogue ou la contradiction pour le fun je me demande ?
parlons nous de la même chose ? pas sur
du point de vue d’un brontosaure un moineau représenterait certainement une décroissance ( au moins sur un point de vue quantitatif )
comment conciliez vous une croissance infinie ( je parle d’une production de toujours plus de matériel destiné a l’obsolescence ) avec la nécessité de préserver les équilibres ( un point sur lequel on est d’accord ) ? si vous m’expliquez ça j’aurais découvert quelque chosesur la quantification qualitative je n’ai pas besoin de déterminer ou je vais pour savoir quel est le chemin que j’ai déjà parcouru
pour ce qui est de la descente la question est en effet de savoir quel est l’objectif du progrès matériel ( au plan global ) pour moi je le définit comme la satisfaction des besoins de l’individu quand j’observe les mouvements de la société je constate que la satisfaction des besoins décroit alors que par ailleurs la technologie progresse c’est pourquoi je dit que l’on a dépassé le sommet
c’est le même point de vue pour les téléphones même un nouveau téléphone est un objet pour moi c’est dans le cadre du progrès matériel 1 ancien téléphone + 1 nouveau = 2 objets
( si on recyclait l’ancien ça ne me génerait pas )
a vous lire j’ai l’impression que vous assimilez la notion de décroissance a celle de régression est ce le cas ? si oui on ne parle pas de la même chose et il est inutile de débattre tant que l’on n’a explicité nos définitions réciproques .....-
kessonfait
adapter la nature a nos besoins dans le respect de l’environnement
on est bien d’accord
pour moi ça passe par sortir d’attitudes comme l’obsolescence programmée
ensuite quels sont nos besoins ? voilà qui serait un sujet de débat intéressant .......
de combien d’écrans plat avons nous besoin par personne ?
quand on parle de décroissance parle t’ on de tuer des gens ? ce n’est pas l’impression que j’en ait .
limiter les naissances est une autre question
la limitation des naissances dans les pays européens a été un facteur d’accroissement de la qualité de vie la chine ne s’y est pas trompée
a moins que vous ne suiviez la bible ( croissez et multipliez vous ) auquel cas c’est une question de croyance ( voire de foi ) et il est inutile d’en débattre
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