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chapoutier

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  • Premier article le 23/09/2011
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Derniers commentaires



  • chapoutier 6 août 2011 19:24

    Par Kxyz

    un titre prémonitoire sur Agora vox vendredi soir

    « Avis de tempête sur les marchés financiers, krach en vue « 

    http://www.agoravox.fr/actualites/economie/article/avis-de-tempete-sur-les-marches-98567?debut_forums=0#forum3008685



  • chapoutier 6 août 2011 19:20

    @Kxyz

    Votre titre était prémonitoire « Avis de tempête sur les marchés financiers, krach en vue ? »
    Perso, je parie sur une chute de la bourse de Paris de au moins 12% lundi.



  • chapoutier 6 août 2011 18:47

    @Peachy Carnehan.

    je viens de lire l’article cité, je vous rejoins ; cela va saigner !

    « L’agence de notation a expliqué que cette dégradation « reflète notre opinion que le plan de consolidation fiscale, que le Congrès et l’exécutif ont récemment adopté, était insuffisant par rapport à ce qui serait nécessaire, à nos yeux, pour stabiliser à moyen terme la dynamique de la dette ».

    L’expression même de la suffisance des banquiers, l’affirmation de leur mépris de la démocratie, ils dictent leur lois aux états-nations sans aucune retenue.

    « Elle ( l’agence) reproche aussi aux responsables politiques américains « la faible efficacité, stabilité et prévisibilité » de la politique américaine dans une période de dangers. Les risques politiques, selon elle, vont grandissant. »

    Des menaces qui n’ont plus besoin d’être déguisées.

    « Et l’agence a averti qu’elle maintenait les Etats-Unis sous surveillance « négative », tant qu’elle n’aurait pas le sentiment que la classe politique s’attaque sérieusement au problème de l’endettement américain. « 


    C’est à dire tant que le gouvernement étatsuniens ne s’engage pas dans une attaque encore plus féroce contre son propre peuple.

    « Depuis quelques jours, les credit default swaps – cette fameuse assurance sur les dettes – de la France connaissent une activité anormale. En peu de temps, ils ont bondi de plus de cinquante points. « 

    Preuve on ne peut plus tangible que la finance internationale avec l’aide du FMI utilise la dette des états souverains comme champ de spéculation et à remplacé la bulle spéculative d’internet par celle des dettes des états-nations.

    Ce qui produit avec la bulle internet n’est qu’une plaisanterie à coté de ce qui vient.

    Il est temps, grand temps que nous prenions notre destinée en main !



  • chapoutier 6 août 2011 18:18

    La planete coule, heu pardon, le Titanic, et pendant ce temps notre sauveur providentiel, l’ineffable tzar talonnette 1er se fait dorer la pilule à Cap Nègre



  • chapoutier 6 août 2011 18:09

    On arrive à la fin d’un système

    De la dictature des marchés à la nouvelle phase de la crise

    Même si ce sujet est traité sur un ton léger par Ariane, tout est résumé là :« Leur décision historique de la semaine dernière est un bide biblique ».

    Il n’en reste pas moins qu’il annonce encore plus de souffrance et de misère pour les peuples.

    La dictature des marchés financiers trouve là tout son sens : les banquiers dictent leur lois aux états-nations.

    Les montant astronomique des dettes publiques démontrent que les financiers ont jouer avec cette nouvelle bulle spéculative.

    Qu’exigent les détenteurs de capitaux ? Un plan d’austérité plus sévère encore. L’agence Moody’s avait annoncé l’année dernière : « A moins que d’autres mesures ne soient prises pour réduire le déficit budgétaire davantage… »

    Les élus politiques, laquais serviles des banquiers se sont empressés de répondre présent et ont déjà annoncé la couleur : accélération des plans de rigueurs, destructions de pans entier de l’économie.

    Le capital financier international est dans une impasse.

    Seule l’action conjuguée, dans le système actuel, du capital et du travail est créatrice de valeur, mais en même temps le capital détruit le travail (licenciements, fermetures d’usines, bas salaires, précarité…) pour accroître ou préserver la rentabilité des capitaux investis.

    Ce faisant, est générée une situation d’insolvabilité grandissante des ménages, des Etats et des entreprises.

    Et devant l’énormité de la dette chaque jour plus grande, l’exigence des marchés éclate : qui va nous payer nos intérêts, qui va honorer ses dettes ? Le système est au bord de l’implosion.

    Leurs dettes n’est pas notre dette

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