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Je suis ingénieur, libertarien, de l'école autrichienne d'économie.

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  • Premier article le 25/01/2008
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Derniers commentaires



  • gdm gdm 26 janvier 2008 14:26

    Votre remarque soulève le vieux débat sur la définition de la valeur. Au 19eme siècle, la question de la définition de la valeur a été au centre de nombreux débat d’économistes et de philosophes. Peut-on considérer que la valeur et la richesse seraient identiques ? C’est la thèse de Jean-Baptiste Say qui semble aujourd’hui avoir prévalue. La valeur et la richesse seraient de même nature. C’est aussi ma conviction. Avantage=valeur=richesse=plus-value, surplus de l’acheteur, surplus du vendeur. Il est communément admis aujourdhui que la valeur est, par nature, subjective.

    Votre autre remarque concerne la définition de l’échange. La définition du mot "échange" dans wikipedia me semble indigente. Elle mériterait d’être modifiée et complétée. Cette question de l’échange est essentielle. Où plus précisément, nous nous intéressons à l’échange volontaire. Jusqu’où va la liberté, la volonté individuelle ? la décision que nous prenons vient-elle de notre libre arbitre ? La contrainte de la logique se substitue-t-elle à notre volonté ? La contrainte proviendrait-elle du vendeur ? en l’absence de contrainte du vendeur, l’échange est-il libre ? voila un petit échantillon de questions utiles à se poser sur l’échange.



  • gdm gdm 26 janvier 2008 02:19

    Vous évoquez la question du travail des traders. La question de savoir comment gérer ces traders concerne les banques, leurs employeurs. Comment leur employeur peut leur donner une motivation financiere suffisante ? Le trader prend des risques au nom de son employeur car c’est son métier. La banque prend des risques afin que ses clients n’en prennent pas. La banque vend ainsi des produits financiers permettant à ses clients de se protéger d’une trop grande fluctuation de la valeur de certains titres ou monnaies. C’est le travail de la banque de trouver des procédures de maitrise des risques pris par ses traders.

    Vous dites que l’ampleur de la dette serait un risque. Je ne partage pas cet avis. L’ampleur de la dette signifie l’ampleur du crédit, donc du stimulant de la croissance économique. A mon avis, la question n’est pas le volume du crédit, mais plutot que les créances sur les emprunteurs soient suffisament bien garanties.

     



  • gdm gdm 26 janvier 2008 00:13

    En exergue de votre article, vous citez ma phrase. Elle se rapportait uniquement à l’acte commercial. Elle ne s’applique évidement pas hors de ce contexte. Je suis bien d’accord avec vous que le travail peut créer de la valeur, de la richesse. La valeur n’existe que dans l’esprit d’un individu. Elle varie selon le jugement de tel individu. Ce jugement est, par nature, arbitraire. C’est le libre arbitre de chacun qui est la cause de l’existence d’une valeur. Un beau coucher de soleil a de la valeur pour ceux qui peuvent et savent en profiter. Il n’existe aucune valeur qui serait absolue pour tous les individus de la planète.



  • gdm gdm 25 janvier 2008 22:55

    Vous ecrivez, en substance, que le bon sens paysan aurait suffit pour éviter la crise des subprimes. Il me me semble pas digne de villipender des entrepreneurs qui avaient mal évalué leur risque. La question est de savoir quelle fut la méthode technique pour évaluer ce risque. En effet, avec le recul des faits, ce risque semblait important. Les méthodes techniques d’évaluation des risques ne sont pas une affaire de "bon sens paysan". La réalité économique exige une longue reflexion d’une équipe pour évaluer un risque. De plus, ce risque était évaluer de la meme maniere dans des banques différentes.

    Mais je partage votre interrogation sur les raisons de cette erreur d’appéciation des risques par un aussi grand nombre de banques.



  • gdm gdm 25 janvier 2008 22:30

    Vous avez raison de remarquer qu’un tel échange est avantageux pour le vendeur et pour l’acheteur.

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