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L'enfoiré

L’enfoiré

Mon blog "Réflexions du miroir" (pour voir la suite) se fixent comme objectif d’apporter quelques idées personnelles face aux problèmes de notre temps. Essayer de garder une objectivité journalistique tout en y apportant un peu de liberté critique sans vraiment râler outre mesure ni sans raison. 
Belge, Bruxellois, né le 1/9/1947.
Job : Retraité. Ancien informaticien pendant 8 ans dans une start up en informatique et 32 ans dans un groupe de développement et de maintenance interne à la société d’informatique dont 15 à faire du management sur une 1ère marche.
Hobbies : Informatique. Photo. Lecture, musique classique ou autre.
Sports : jogging, vélo, natation.
Les voyages dans des pays qui me sortent de mes habitudes ont ma préférence pour revenir raconter ce que j'y ai ressenti. A la suite de ce goût des escapades, je suis devenu passionné d’égyptologie.
Jeu d'écriture : scrabble d'idées, d'informations et d'humour. Buvard de l'information. Textes sans aucune prétention. Je ne suis pas là pour réinventer la roue ni, à fortiori, le monde, mais je tenterai de rappeler où il faut en resserrer les boulons si elles ont tendances à se disloquer.
Sujets : Éclectiques. Un article différent de tout horizon toutes les semaines en moyenne.
Stratégie : en Petit Poucet, placer des cailloux blancs sur le chemin de la réflexion.
Convictions : Internet pourrait sauver le monde par les liens entre les générations et les peuples du monde.
Armes : le sourire, la dérision, l'autodérision qui font supporter les pires des contraintes.
Défaut majeur : caractère obstiné qui ne s'assouplit qu'après une démonstration claire, précise et incontestable. Iconoclaste à mes heures. Solitaire mais pas ermite. Engagé, en croisade, mais sans croisés, ni dieu. Sans poing serré mais avec le seul esprit de conservation de l'espèce "homme". Libre de partis politiques. "Électron libre" comme disent d'autres illustres inconnus. Réaliste, pragmatique, plus qu'idéaliste. Libre dans sa tête. Un texte qui me paraissait intéressant.
L’idée de BLOG a commencé débuts en mars 2005. En décembre de la même année, je passe rédacteur et commentateur chez Agoravox.fr. En juillet 2006, j'y passe à la modération des articles d'autres rédacteurs. Je quitterai le bateau, en septembre 2007 pour des raisons d'écarts de points de vue et de transparence de la modération.
Mon ancien avatar représentant "Super Mario" a été remplacé depuiis plusieurs mois par un moustique qui pique. Qu'on se le dise.

Tableau de bord

  • Premier article le 21/12/2005
  • Modérateur depuis le 29/12/2005
Rédaction Depuis Articles publiés Commentaires postés Commentaires reçus
L'inscription 188 19235 4502
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Modération Depuis Articles modérés Positivement Négativement
L'inscription 4612 3630 982
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Ses articles classés par : ordre chronologique













Derniers commentaires



  • L'enfoiré L’enfoiré 16 juin 2007 21:11

    @Prg..., (sorry ton pseudo est trop long)

    « Heidegger n’a pas »résisté" La période nazie en 1937, prend position POUR... l’Allemagne veut précéder la Technique ! Après guerre, il fallait bien se pencher sur la Technique à travers ses avatars guerriers et impersonnellement (sans être), serait-ce pour retomber sur ses pieds ! Cette guerre est menée contre le monde. La Caverne de Platon, étaient soumis au résultat comme on le devient de plus en plus dans le monde actuel."

    >>> Tout est basé sur le résultat dans ces 2 étapes. La notre suit. La démocratie et la république n’ont pas leur place dans un état d’esprit où seul le résultat compte. Le progrès réel pour l’humain est laissé de côté. Les intérêts économiques et ceux de l’humain sont malheureusement contradictoires alors qu’il pourrait en être autrement en dehors d’un système suivit aveuglément par tous les échelons.

    Les chiffres ont probablement été créés avant les lettres. Compté, il suffisait de regarder ses doigts des mains et des pieds. Les Mayas avaient choisi le système vigésimal, nous le décimal. Le dessin pour représenter les choses, l’abstraction des lettres en fin. La monnaie, c’est pour facilité, et pour la dime du pouvoir, mais ce n’était pas totalement obligatoire. Le troc peut s’en passer.

    « Entre l’oeil attentif et l’adresse manuelle, il y a surtout le travail ... on peut bien faire quelque chose à priori, pourvu que les dévoiements de la représentation ne nous entraînent pas à faire faire, »manager« , ou bien casser, brûler, détruire, tellement on aime la technique »

    >>> D’accord. Le travail aidé par la technique donne le passe temps favori. On pourrait quand la nature est généreuse, se nourrir de ce qu’elle donne. Rien ne pousse à forcer le bouchon. Le nomadisme était une façon de s’en sortir en suivant les animaux dans leur migration. La sédentarisation a stoppé cette manière de vivre.

    « Depuis, la technique fume au-delà des gadgets de la science. Des usines à charbon, en Chine, comme jamais. On est dans l’économie mondialisée »

    >>> D’une technique à l’autre plus sophistiquée ça va sans dire. smiley



  • L'enfoiré L’enfoiré 16 juin 2007 19:37

    JL,

    Les PME ont une infrastructure beaucoup plus souple. C’est une certitude. Le « mammouthland » envahi l’esprit de toute entreprise qui atteint une certaine taille. Et on le sait bien d’ailleurs. On s’en protège en externalisant certaines fabrications de pièces chez les petites PME. Après on met son étiquette sur le « package ». Le prestige s’est acquis par la pub qu’une PME ne peut imaginer lancer. Le changement qui souvent, apporte une volonté d’amélioration de la production s’effectue très vite dans les PME. Les grandes entreprises doivent passer par une série de contrôles avant d’engager la voie du changement. Elles y passent parfois sans en éprouver le besoin majeur avec une idée de changement pour le changement. On change de slogan, de couleurs de représentation sur internet... Rien qui ne fasse progresser le schmilblick. Le marketing doit se justifier et a dit de passer par ce subterfuge. La grandeur d’une entreprise donne un accroissement de son potentiel personnel. Elles peuvent se permettre plus d’emplois. Est-ce que le profit par tête suit le potentiel ? Cela dépend probablement du secteur.

    L’économie allemande plus efficace ? J’ignore. Il y a de clichés qui ne s’effacent pas facilement.

    « Le manque de compétitivité...vulnérable à la concurrence étrangère, et pour parer aux dangers de délocalisation les PME sont forcées de se plier à la loi des donneurs d’ordres, ce qui les asphyxie financièrement. »

    >>> Quels donneurs d’ordres ? Les délocalisations asphyxie le « know how » local, ça c’est sûr. En plus, on donne son âme sans protection de retour au bercail. On donne les clés que l’on ne penserait même pas donner aux internes en autres temps. Cela indifféremment PME ou grosses entreprises.

    « Cette asphyxie conduit le gouvernement à leur faire des perfusions (cadeaux fiscaux) dont profitent doublement les donneurs d’ordre, pas besoin d’en dire plus. »

    >>> Cela est fait en prédilection pour les entreprises les plus pourvoyeuses d’emplois (les grosses).

    « Ce cercle vicieux encourage évidemment les grandes entreprises, le plus souvent multinationales, à externaliser au maximum »

    « Parier sur une économie de luxe : En faisant une politique fiscale en faveur des plus riches, il entend booster la demande interne de produits de qualité, et donc favoriser le développement de cette industrie spécifique qui manque à la France et pas à l’Allemagne. »

    >>> Plausible.

    « Il faut penser grand et agir petit » ? Ou bien penser universel et agir localement ?

    >>> Bonne déduction.



  • L'enfoiré L’enfoiré 16 juin 2007 15:57

    Cher Prgokrouk,

    Tout d’abord, merci pour creuser l’« affaire ». Elle en vaut la peine. C’est de la philosophie. (Caramico, accroche toi smiley ) . C’est de notre vie, 8 heures par jours dont on parle. J’espère cerner ta pensée.

    "La première carrière de Heidegger intéressait l’être. Le lien entre l’oeuvre de la main, l’ouïe fine, la vie simple, décrit une perspective de travail et un profil de compétence artisan, dans lequel Heidegger reconnaissait son propre travail et son existence."

    >>> Heidegger, j’ai appris à en connaître un peu plus avec le livre de philosophie « Le monde de Sophie » de Jostein Garder que je conseille vivement. Il dit ceci (mais il est beaucoup plus étudié) :

    Heidegger, fondateur de la déconstruction, prouvait que les idées sont menées par des intérêts inavouables et que le capitalisme, sous des atouts indéniables de volonté de donner la richesse et le bien être pour tous, ne manque pas de détruire en même temps la pensée et l’homme lui-même. Du « monde de la technique » il entrevoie dans un univers libéral et un réel désacralisé qui entraîne l’homme vers des non-sens que les alter mondialistes dénoncent avec force. Accroître les inégalités tout en réduisant la diversité biologique n’est pas un fondamental du matérialisme.

    « J’en tire ceci : lorsque le cloisonnement entre le travail conceptuel et manuel est inopérant, il n’est pas pratique d’interchanger ni les produits (peu jetables), ni les »ouvriers« . »

    >>> C’est pourtant ce qui se passe dans les équipes de HR qui pour un travail donné doivent cherche le matériel donné et la « main d’oeuvre » donnée en fonction de skills. Pas de sentiment, on ne connaît pas les gens qui feraient le travail, on ne connaît que les potentiels.

    « Lorsque la classe sociale portant les valeurs du travail disparaît par »délocalisation« , seul les métiers où art et technique conservent une unité, peuvent durer s’ils adressent un produit avec forte valeur ajoutée à un nombre réduit d’utilisateurs. Cela comporte un certain degré de changement de méthodes et d’intellectualisation du métier... manuel. »

    >>> D’accord. Pas oublié, il n’y aurait pas de délocalisation si pour une tâche donnée, on devrait payer le même tarif.

    « Le médecin surtout généraliste est .. un »art« appliqué à une personne particulière. L’époque actuelle tend à le remplacer par MOINS BIEN ET PLUS CHER »

    >>> 100% d’accord. Et il n’y a pas que dans cette discipline. Les produits aussi se taillent une place dans le changement avec le même but.

    « La Technique dont parle tellement Heidegger, a été portée par la science. Mais la Technique dont il parle, est administrative : elle s’étend par tous les aspects dérivés, les domine jusqu’à les annihiler SANS DETRUIRE LA SCIENCE. Ce moment Négatif n’est jamais capable de conduire Positivement à quoi que ce soit : il est une fin en soi. »

    >>> Produire plus et plus sophistiqué est la règle à laquelle il faut se plier sous peine de sombrer dans l’anonymat et la précarité. La compétition mondialisée en est le prolongement obligatoire.

    Serons-nous plus heureux en bout de course avec cette technologie toujours plus puissante, but de toute philosophie ?

    Voilà la question à cent sous, pardon à un euro. smiley



  • L'enfoiré L’enfoiré 16 juin 2007 15:24

    @Caramico,

    Cela a toujours été mon soucis, sois-en sûr, Carmico. Mes articles ne nécessitent que très rarement un dictionnaire, à part pour un souci d’orthographe. J’y veille. Il n’en reste pas moins qu’exprimer des idées complexes n’est pas nécessairement écrit à l’aide de mots comme « café, cuillère, tasse » et les phrases telles que « je prends mon café en tournant la cuillère dans la tasse ». smiley smiley

    Je suis prêt ici, à t’expliquer tout ce qui n’es pas clair. Les commentaires ajoutent parfois une complexité accrue et des idées que l’on extrapole à loisir. J’y réponds toujours quand je peux en affinant ou confirmant mes idées à partager ou non.

    A toi la balle. Pas de fausses ou de mauvaises compréhensions entre nous.



  • L'enfoiré L’enfoiré 16 juin 2007 14:05

    JL,

    Pour conclure de manière complète, il faut bien remarquer que nous sommes plus imbriqués qu’il n’y parait, en haut et au bas de l’échelle. Il y a des différences de potentiels c’est sûr, mais chacun a son propre chef. Le travail, son manager, échelon par échelon jusqu’au dernier du GM qui, lui, fournir des résultats de préférence à 2 chiffres aux actionnaires et qui, dans ce but, doit montrer au client qu’il est le meilleur.

    L’actionnaire, qui est-il ? Vous, moi en épargnant pour notre pension. Les plans de pension sont de grands consommateurs d’actions qui n’aiment pas les petits rendements et rejettent très vite les actions les moins bonnes.

    La boucle est donc bouclée.

    En plus, nous sommes dans le même bateau en ce qui concerne les méfaits à l’encontre de la nature que l’on « organise », jusqu’il y a peu, sans voir, en autruche avec la tête dans le sable.

    Personne n’est fou, en définitive.

    Ce qu’il faut, sachant cela, c’est organiser notre monde pour le bienfait de tous en motivant au mieux chaque niveau du pouvoir ou de l’exécution. Cela permettrait de mieux se comprendre.

    Un article tout simple... smiley

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