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ThierryCH

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  • ThierryCH 5 juin 2010 12:27


    @ Olivier Cabanel

    Je poursuis ma réflexion commencée plus haut.

    Il est certain que la radioactivité à des effets nocifs, en revanche, l’effet des faibles doses est mal connu.
    Il existe probablement des effets négatifs, même à faible doser ; Par ailleurs, d’après certaines observations, qui ne datent pas de Tchernobyl, il semble quue le vivant possède une capacité à développer des défenses face à une radioactivité modérée.

    Tchernobyl présente un champ d’investigation pour observer et mieux comprendre ces phénomènes, quels qu’ils soient.

    Il ne s’agit pas de se réjouir de cette catastrophe, ni d’en souhaiter de nouvelles qui permettraient d’élargir ce type de recherches, bien entendu ! Mais Tchernobyl a eu lieu, pourquoi ne pas mener les recherches que cette situation autorise, malgré nous. De même, les atrocités commises pendant les guerres ont aussi permis à la médecine et à la chirurgie de progresser ...

    C’est, me semble-t-il, ce que montre le reportage d’Arte.

    En revanche, je ne comprends pas bien votre propos.
    Dans votre article, vous faites état de ce reportage, et vous ne contestez pas les observations qui y sont rapportée. Au contraire, vous avez l’air de les trouver intéressantes ... Par contre, dans vos commentaires, vous citez comme référence SDN et en particulier la réponse de SDN à l’article de J. Foos, qui, dans ses premières lignes du moins, n’est pas très différent du vôtre puisque lui aussi fait état des expériences rapportées par Arte ...

    Bref, quel est finalement votre point de vue ?
    Pensez vous, comme SDN, que la théorie de l’Hormesis, selon laquelle à des faibles doses le vivant pourrait développer des défences face à la radioactivité et d’autres « poisons’, ne soit qu’une »fumisterie«  ?
    Dans ce cas, pourquoi n’avez vous pas dénoncé le reportage de Arte plutôt que d’en faire ce compte-rendu ?
    Ou bien pensez vous qu’il soit intéressant de mener des recherches sur ce phénomène (mais aussi sur les effets délétères des faibles doses), en »profitant" du champ d’observation offert par la zone contaminée de Tchernobyl ?



  • ThierryCH 4 juin 2010 11:48

    @ Olivier Cabanel

    Je réponds à votre post du 3 juin 19h00...

    L’article de SDN conteste les éléments issus du reportage d’Arte et mentionnés par J. Foos dans son article, en rappelant l’existence d’études qui ne sont pas mentionnées dans ce reportage sur les effets nocifs des rayonnements ...

    Qu’il y ait eu, et qu’il y ait toujours, des effets délétères sur des individus, animaux ou végétaux, occupant la zone, je ne le conteste pas.

    Mais cela ne me paraît pas contradictoire avec ce qui constitue le sujet central de ce reportage, à savoir ce fameux effet Hormésis, phénomène qui serait illustré par les observations faites par certains scientifiques sur la zone.

    Le rayonnement solaire déclenche des cancers de la peau lorsqu’on en abuse, mais il est également bénéfique à dose modérée (synthèse de la vitamine D, effet anti-dépresseur, soin de certaines affections cutanées comme le psiorasis ...). Pourquoi le même type d’ambivalence n’existerait-elle pas pour les rayonnements ionisants ?

    En complément du reportage, J. Foos rappelle dans son article l’existence d’observations de la même nature sur des groupes humains.

    Dans son article, SDN ne parle pas des ces observations sur l’homme et se contente de qualifier de « fumeuse » cette théorie.

    Je trouve que c’est un peu court comme contre-argumentation, d’autant qu’il existe des références scientifiques et documentées sur le sujet (comme celle que vous a indiquée Krolik, émanant de l’université de médecine de Clermont-Ferrand, que j’avais également trouvée de mon côté, et que je vous invite à consulter).

    D’ailleurs, SDN prétend que cette théorie reviendrait à expliquer que des faibles doses permettraient de se « vacciner » contre des doses plus importantes. Or J. Foos dit explicitement dans son article : « il ne s’agit pas de dire que l’irradiation à faible dose pourrait s’assimiler à un vaccin contre le cancer » 

    SDN a dû lire l’article de J. Foos en diagonale

    Bref, je trouve que l’article de SDN n’apporte rien de probant pour infirmer cette théorie.



  • ThierryCH 3 juin 2010 17:13

    @ Olivier Cabanel

    Vous m’indiquez un lien qui explique que les animaux sont moins nombreux sur la zone de Tchernobyl, ce que je ne conteste pas ... Mais je ne vois pas bien le rapport avec ma question.

    Concernant Foos : à défaut d’être compétent pour répondre à ce qu’il dit, ce qui n’est pas une tare (nous ne sommes pas tous des graines de prix Nobel et il n’y a pas de honte à ça), vous pouvez en revanche indiquer les références qui vous permettent d’affirmer que les éléments qu’il rapporte sont contestés par de nombreux scientifiques.



  • ThierryCH 3 juin 2010 13:58

    @ Olivier Cabanel

    J’ai certainement interprété votre propos.


    Je reformule donc mon commentaire.


    Vous émettez l’hypothèse que les espèces sauvages sont plus adaptées à la pollution radioactive que les autres (avec un point d’interrogation, il est vrai), et vous reliez cela à leurs chromosomes, et plus particulièrement au nombre de leurs chromosomes (avec des points d’interrogation toujours) .


    Je vous cite : « 
    Contre toute attente, les chevaux de Przewalskii ont résisté sans problème et se sont même multipliés. Comment expliquer cela ? Les chromosomes en seraient-ils la cause ? En effet, le cheval de Przewlaskii a 66 chromosomes, c’est-à-dire deux de plus que notre cheval domestique. Cela aurait-il un rapport ? »


    Ma question est alors : comment intégrez vous dans votre exposé les éléments rapportés dans l’article du Professeur Jacques Foos, en l’occurrence les observations faites sur des groupes humains exposés à une radioactivité artificielle d’un faible niveau ?



  • ThierryCH 3 juin 2010 12:08

    @ Olivier Cabanel

    Si je comprends bien vos propos, vous dites que les observations faites sur la faune qui occupe la zone de Tchernobyl (ce fameux effet « Hormésis »), ne sont pas transposable à l’homme, car celui-ci n’est pas, ou n’est plus, ou est moins, « sauvage », que la faune en question.

    J’aimerais avoir votre réaction sur plusieurs points :

    1) Je ne comprends pas quelle définition scientifique vous donnez au qualificatif « sauvage » : quel est votre critère pour qualifier de plus ou moins « sauvage » telle ou telle espèce animale

    2) Quelles seraient les particularités biologiques d’une espèce « sauvage » par rapport à une autre qui le serait moins ou qui ne le serait pas ?

    3) En  supposant que le qualificatif « sauvage » soit bien défini, comment intégrez vous alors dans votre raisonnement les observations, rapportées dans l’article du Professeur Jacques Foos, publié sur L’Expansion.com (cf. lien proposé par Krolik), montrant que l’effet Hormésis existe sur l’homme moderne également ?

    4) Vous noterez d’ailleurs que  le Professeur Jacques Foos parle, en évoquant les animaux observées à Tchernobyl, d’espèces « proches de l’Homme biologiquement parlant », ce qui me semble être en contradiction avec les hypothèses qui étayent votre raisonnement ; qu’en pensez vous ?

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