oui jonas alcharq al-awsat est une feuille de chou séoudienne genre charlie hebdo voulant se faire passer pour la revue Nature en gros, n’empêche que la situation qu’il décrit est vraie : des températures sous zéro, et en mode humide, sous des tentes, avec gosses crevant de froid etc. c’est juste que 9 millions ça me semble un peu beaucoup, même si l’ONU tire la sonnette dalarmes face à la pire crise humanitaire connue.
pendant ce temps après la destruction de villes entières sans parler des sites historiques et religieux (1400 mosquées 400 églises détruites) le régime s’emploie avec joie à appliquer les méthodes de grozny sur alep :
donc barils de métal bourrées de béton et d’explosifs largués par les avions sur les immeubles, insecticides soft quoi, rien ne s’exporte mieux que poutine et ses méthodes...
en conséquence, l’alliance de fait entre le séoudien et le juif n’est pas du mythe, c’est le pire : la plus grosse tirelire au service de la machine de guerre la plus redoutable, et qui ont tous deux de très sérieux comptes à régler...
c’est peut-être moins simple Antenor, déjà on peut reconnaître à plus d’un signe ce cheval en apocalypse 6.1, mais aussi dans zacharie 6.1 etc., sans oublier que le blanc peut ici faire référence au concept de « laver sa tunique dans le sang de l’agneau » évoquée plus haut dans le texte, ou encore retrouver que ce personnage couronné (et plutôt igné surtout) n’est qu’une réapparition de ce qui advient en apocalypse 2 ; plus complexe encore : même si le rédacteur de patmos la joue en grec, sa culture est clairement hébraïque (zacharie, daniel, tout ça), donc quand il dit « mille ans », cela peut constituer une simple référnece à une « temporalité du prince » ou royale, vu que « alef » en hébreu signifie aussi bien « mille » que « prince ».
Antenor, oui le papier semble convaincant, encore faut-il que ce chapitre six de josué soit autre chose qu’une métaphore aussi, car les nombreuses populations citées partout dans le livre de Josué seraient mises à mal par une datation aussi précoce, d’autant plus que le même site parle d’un gap de plusieurs siècles, presque mille ans ! entre sortie d’egypte et conquête, pas bon pour les affaires ça..
M. Mourey, vous faites référence au psaume 110 et tout ce que la tradition en a tiré ; dans les odes de salomon de qumrân, supposément rédigées par ce maitre de justice près de 200 ans avant JC, on voit à quel point les persécutions dont il fut l’objet en font un christ avant l’heure.
pour ce qui est de julia domna, oui je pense que « castra » est le mot correct même si pas employé par longinus, mais l’inscription se situant sous antonin releve donc déjà du deuxième siècle et se fait tardive par rapport à la période des rédacteurs évangéliques.
Antenor, il me sera difficile d’identifier hébreux et hyksos au vu de l’agressivité inégalée de ces derniers sauvages, mais je vais creuser, car les 430 ans d’esclavage se caseraient joliment entre 19e/18e et la date que vous carbonisez..
par contre question archéologie de Jéricho, même si on retrouve des couches très anciennes, et une tour remarquable, la question du rempart a toujours posé problème, constatant justement que les fameux fumeux murs d’enceinte n’avaient vraiment rien de remarquable, pas de quoi stopper un cafard.