Paul,

 Je serai plus long cette fois. Article qui mérite plus d’analyse.
 Je commencerai par la constatation suivante.
 « Ne faites pas ce que je fais, mais faites ce que je dis »,
voilà, un peu ce que je retirerais de votre article en première instance.
 La pub, vous en user plus qu’à satiété pour vos lecteurs. Publicité pour vos bouquins, vos articles, Facebook, télé quand la première occasion se présente et autres que je ne veux pas connaitre.
 Si vous aviez Miss Drucker qui parlerait de vos écrits, de vous, oseriez-vous encore écrire un tel article ?

 Le pourquoi de cette pub ?
 Agoravox, et vous devriez le ressentir même si la transparence n’est pas évidente, ne vit pas d’eau fraiche, ni de vos dons généreux.
 Il fait partie d’un système global. 
 Je vous sens un peu obsédé par Bea et toutes les autres présentatrices. Personnellement, j’en ai rien à cirer, je n’y vois aucune différence dans la manière de présenter l’information télévisuelle. Homme ou femme, idem. L’important, c’est que l’information soit complète, précise.

Leurres ?
Si vous n’avez pas encore compris qu’il existe des contraintes, des leurres à tous niveaux, même à l’intérieur de l’antenne où vous écrivez, avec des lobbies qui s’expriment, c’est désolant. Ce que vous appelez censure, leurres, existe partout. Au boulot, dans les médias, dans la rue, sur Agoravox je crois que vous ne lisez pas assez les autres articles et les commentaires ici-bas). Ce n’est pas toujours une censure mais un garde-fous dans une volonté de ne pas faire exploser la machine pour les âmes sensibles qui réagirait au quart de tour.

 J’ai vu l’émission ré-actualisation de l’expérience de Milgram dont vous parlez. Cela prouve quoi ? Que l’homme est faible, qu’il n’a pas de raisonnement au moment opportun ? Absolument.
Cela ne se retrouve pas dans les gènes ce machin-là mais dans l’éducation bien appuyée de multiples fois et par l’analyse de savoir jusqu’où aller trop loin dans la connerie.

 J’ai essayé de suivre le fil de votre article et j’espère que je ne vous ai pas brouillé les pistes avec des leurres.
 Je signerai, cette fois,
 
L’enfoiré