Sincèrement philouie,
Je salue en vous l’effort de
remise en question, mais, et pardonnez-moi pour me montrer sévère dans mes
propos, vous arrive-t-il de vous relire ?
À quoi jouez-vous pour porter un
tel jugement lorsque vous posez la question : « Pourquoi trépignez-vous » ?
Est-ce à dire que vous
m’imaginez trépigner parce que vous ne faîtes pas attention à ce que vous lisez
et que vous omettez de vérifier vos allégations vous précipitant ainsi dans
l’erreur d’interprétation que je n’ai de cesse de dénoncer chez certains de mes
contradicteurs plus prompts à la polémique qu’aux débats ?
La meilleure
réponse à toutes vos questions se trouve dans le texte et les commentaires que
vous ne lisez que de votre seul cadre de référence. La phrase que vous citez et
incluse dans un paragraphe qui lui-même est annoté et c’est cet ensemble qui
fait sens dans son CONTEXTE.
Par ailleurs, ceci n’est qu’un exemple et le fond
de l’article est tout autre. Déporter le débat sur ce point de détail est
purement rédhibitoire et tout à fait improductif. Je vous cite : « …je vous accorde un quart de point… » et
plus loin : « …pour que je vous
accorde 100% du point… »
Vous vous attribuez le rôle de juge et d’arbitre
dans un jeu dont vous fixez les règles ?
C’est cela ?
C’est ainsi que vous agissez dans
la vraie vie avec vos proches ?
Personnellement, j’en ai rien à
foutre de perdre ou de gagner dans ce genre d’échanges stériles.
Strike
avez-vous dît ?
Et vous vous en réjouissez en plus. Doublement même si je m’en réfère à nos précédents échanges.
Dans le cas d’un dialogue de sourds, dîtes-vous bien qu’il
n’y a pas un gagnant et un perdant, mais seulement deux perdants et la somme de
toutes ses petites « défaites » créent une société qui s’enlise dans
la crise. Telle est la réalité de l’histoire.
Et de cela, je suis loin, très loin de m’en réjouir, bien au
contraire.