Bien qu’il ait été dûment prévenu par mes soins, Michel Rocard n’a toujours pas ouvert les yeux.
Philippe Rai nous signale ceci :
Fin de citation.
Dobb ajoute :
Par comparaison avec ses 40% de CO2, voici un
échantillon de ce qu’il déclarait sur France-Info en 2009, lorsqu’il
avait 79 ans :
"
Le principe, c’est que la terre est protégée de radiations excessives
du soleil par l’effet de serre, c’est à dire une espèce de protection
nuageuse, enfin protection gazeuse qui dans l’atmosphère est
relativement opaque aux rayons du soleil. Et quand nous émettons
du gaz carbonique ou du méthane ou du protoxyde d’azote, un truc
qu’il y a dans les engrais agricoles, on attaque ces gaz, on diminue
la protection de l’effet de serre et la planète se transforme lentement
en poële à frire. Le résultat serait que les arrière-petits-enfants de
nos arrière-petits-enfants pourront plus vivre. La vie s’éteindra à
sept huit générations, c’est complètement terrifiant. Alors pour
faire ça, il faut diminuer ce qu’on émet comme oxyde de carbone
et on a commencé par attaquer les grandes sources de ça qui sont
la production d’électricité et des productions comme le ciment, le
béton, l’acier, l’aluminium ou les matières plastiques qui
consomment énormément d’énergie en les fabriquant. Et pour
ça, on a inventé les quotas...
"
Bon, je vous épargne ses « expertises » des années précédentes
Dobb
Un vrai expert du climat se reconnaît à son équation
de base : O3 = CO2.
Pour postuler au GIEC, c’est l’essentiel.
Dobb