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Commentaire de Hervé Hum

sur La monnaie du XXIème siècle... La révolution des citoyens responsables


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Hervé Hum Hervé Hum 9 juin 2016 00:28

bon, j’ai vraiment du mal à ordonner mon propos. Alors tant pis, ce sera tel quel. L’idée est que je développerai et donnerai les réponses autant en répondant à vos questions, qu’en écrivant seul. Enfin, si vous restez intéressé !

Le but est de montrer que la conscience est, à minima, à tous les niveaux de la réalité physiques, car le postulat est que c’est précisément la conscience qui seule permet et surtout, motive la réalité physique.

Mais quelle est la définition de la conscience qui permet de la voir à tous les niveaux de la réalité physique ?

Celle définissant la conscience comme le sens de l’action en conséquence de la connaissance.

Cette définition peut s’appliquer au « connais-toi, toi-même », qui consiste bien à s’observer soi même.

Ce qui contredit quelque peu la fin de l’introduction de Wikipedia sur la conscience où est posé la question de la faisabilité de s’observer soi même en prenant comme exemple un adage bouddhiste, comme quoi un couteau ne peut se couper lui même, sauf que c’est absurde pour un objet, mais pas pour tout sujet qui peut se couper lui même.

mais en fait, cela n’a pas d’importance, car l’essentiel n’est pas dit, soit, le sens de l’action. La conscience est lié au sens, car le simple fait de s’observer soi même, pour soi même, est dénué de sens, c’est à dire, qu’il n’y a pas de sens à s’observer pour s’observer, mais uniquement pour chercher une différence d’état, y compris le non changement d’état, dès lors où ce non changement d’état est relatif à un changement d’état, donc, servant de repère au non changement d’état.

Cela veut dire, que ce qui importe à la conscience, c’est le sens qui seul permet de rendre compte de changement d’état. Vous pouvez même prendre le fou, si celui-ci donne un sens à son action, alors, il est doué d’un état de conscience d’être, mais s’il ne donne aucun sens à son action, alors, c’est qu’il est dépourvu de conscience d’être.

la conscience permet donc de s’observer soi-même, mais à la condition de disposer d’un repère lui permettant de définir un sens.

Or, le nombre ’entier , Dieu ou l’atome en tant qu’entité unique, monadique, ne permet pas la conscience telle que définit ici, cela, parce qu’il(s) est par définition un et indivisible. C’est, comme je l’écris plus haut, s’observer soi-même, pour soi-même. C’est une récurrence vide, absurde, aberrante. On ne peut s’observer soi-même, pour soi-même, que par rapport à autrui.

autrement dit, si la relation réflective (ce qu’est s’observer soi-même) de l’entier naturel est de forme 1=1 ne veut rien dire, par contre, la forme 1 = 0,5 + 0,5 ; veut dire quelque chose, car elle pose la question de la valeur de la fraction de 1. Mais, encore une fois, cette fraction, ne veut rien dire en disant que c’est la moitié de la valeur entière, elle ne signifiera quelque chose qu’en disant que cette fraction vaut tant d’une autre valeur. Même s’il y a parité, il faut nécessairement deux entiers relatifs l’un à l’autre, car c’est leur combinaison seule qui permet la fraction ou division.

C’est notamment ce que montre l’article sur la genèse des nombres premiers diviseurs, seule capable de fractionner un nombre entier sur lui même.

en effet, dans l’article, le processus montre une évolution logique où on passe d’une droite matricielle formée de 1, puis additionnelle, pour enfin permettre la division. Mais on voit bien qu’il y a un sens logique strict entre les entiers relpatifs, mais je ne crois pas que c’est cette logique là qui est retenue !

Lorsqu’on raisonne en cherchant toujours le sens de la relation entre la cause et la conséquence ou le sujet et l’objet, certains postulats mathématiques relèvent de la faute logique et sont des aberrations du cerveau humain ne respectant pas le principe de relation de causalité ;

Ainsi, ce n’est pas la même chose d’écrire -1 x 10 et 10 x -1, car dans la première multiplication, le résultat est -10, alors qu’il est de 10 dans la seconde, ceci, car l’ordre logique met le premier terme de l’égalité comme sujet et le second comme objet.

On peut choisir l’ordre inverse, mais dire qu’il n’y a pas d’ordre est une faute logique.

Le principe de relation de causalité, tout comme la conscience, exige toujours de connaître l’ordre logique d’une relation. C’est le principe de non commutativité. En fait, on confond la commutativité avec la récurrence, qui fait que contrairement à ce qu’écrit Guillemant, il n’y a pas de rétrocausalité, mais récurrence où il s’agit donc de faire une boucle complète en revenant à son point de départ, mais augmenté d’un cycle. Ce dernier prenant la valeur du sens qui lui est affecté.

Bon, je m’arrête là pour ce soir. J’ai bien conscience que ce n’est pas ordonné, mais je ne sais pas comment faire, ceci, car aller pas à pas nécessiterai d’écrire un gros livre.
 
mais on en est qu’a l’introduction...


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