@Ouam
Salut Ouam,
de retour,, je reprends le fil de notre échange.
C’est lorsque tu descide de changer et d’épouser (car cela est TON
idéal) le mode de vie dans lequel tu veut aller, dans ce cas il n’y à
pas brimade de l’idividu car c’est le choix délibéré du mode de vie
choisi, mais dans ce cas les mots Inégration/assimilation n’onts plus de
sens, enfin du point de vue habituel, cad le coercitif.
je crois que nous avons une différence générationnelle sur la façon de se comporter de l’immigré .
les immigrés d’autrefois ne sentaient aune pression ni coercition, ils cherchaient à s’intégrer complètement dans le pays qu’ils avaient choisi, ils adoptaient le roman de la France, son histoire,sa culture.
leur ambition devenir des français à part entière.
j’avais écrit un texte que je n’ai pas publié et qui explique comment les l’immigré d’il y a plusieurs décennies et dont surtout leurs enfants percevaient le pays d’accueil.
je t’en transmets une partie, j’espère que tu comprendras le comportement des immigrés de cette période.
Où
sont ils ces immigrés d’autrefois qui venaient en France pour des
raisons économiques et parfois politiques certes, mais aussi
choisissaient ce pays parce qu’il l’admiraient, le respectaient ?
Ils
voyaient en la France le phare de monde, le pays des lumières , de
la culture et des droits de l ’homme .
Leur
ambition à ces immigrés, Espagnols , Portugais, italiens, Arabes,
des pays de l’est ou autres, était de réussir dans ce pays
d’acccueil ,mais surtout de devenir Français.
Les
premiers arrivants parlaient mal le français , mais s’efforçaient
de le parler à leurs enfants pour leur inculquer le désir
d’intégration. Ils essayaient de se fondre dans la population.
Leurs
enfants éduqués dans le respect et l’amour de la France,étaient
fiers de partager l’histoire de ce pays, sa culture et de maîtriser
la langue de Molière.
Quand
à l’école le maître disait
’’Nos ancêtres
les gaulois ’’, ils ne jouaient pas les singes savants, ils en
étaient honorés, même si au fond d’eux même ils savaient bien que
leurs ancêtres venaient d’ailleurs.
Heureux
d’être considérés comme des Français à part entière.
Ils
étaient fiers de ce pays, La France dont le génie et la culture
avaient rayonné sur tous les continents. La France souvent phare du
monde.
Ils
se sentaient aussi Français que les Français, que les ’’souchiens’’
et rêvaient en français.
Bien
sur ils gardaient des pans de la culture et des traditions du pays de
leurs parents ou grands parents, qu’ils partageaient avec les
français et enrichissaient la culture du pays d’acceuil. Mais ils
prenaient soin que rien n’aille contre la culture du pays qui les
avait reçus, rien qui puisse gêner ou fâcher ceux qui les avaient
accueillis. Respect et amour pour le pays d’accueil
« La
France, la patrie dont je ne saurais déraciner mon cœur. J’y suis
née, j’ai bu aux sources de sa culture. J’ai fait mien son
passé, je ne respire bien que sous son ciel, et je me suis efforcé,
à mon tour, de la défendre de mon mieux ».
Malika
Sorel
Voilà comment j’ai vécu cette période Ouam, les temps ont changé. maintenant c’est aux français qui passent leur temps à battre leur couple à s’adapter à la culture de l’immigré .
puisque notre président le dit, La culture française n’existe pas.
Anecdotique,
mais tellement parlant et marqueur de cette époque. Quand dans un
match de football, Le Réal de Madrid par exemple affrontait Reims,
les immigrés Espagnols chantaient la marseillaise, agitaient le
drapeau Français et soutenaient Reims.
Aujourd’hui
certains sifflent la Marseillaise quand la France joue contre le pays
d’origine des nouveaux arrivants, (Chirac s’en souvient encore).