@ETIENNE
Je suis d’une époque ou il n’y avait pas la double nationalité, et où si on était fils d"étranger, on attendait que vous choisissiez à votre majorité soit devenir français en faisant votre service militaire dans le pays d’accueuil , soit garder votre nationalité . On vous laissait le choix, on ne vous imposait pas une nationalité.
on devenait Français par désir personnel d’intégration à la nation française.
je vous assure que cela fonctionnait beaucoup mieux.
Ëtre
Français n’est pas recevoir sans l’avoir demandé ni désiré
recevoir un bout de paiper ou une carte d’identité que la plupart
des djihadistes ont brulé par haine de la france. Cest le fruit d’un
désir d’intégration aux valeurs du pays d’accueil.
Où
sont ils ces immigrés qui venaient en France pour des raisons
économiques et parfois politiques certes, mais aussi choisissaient
ce pays parce qu’il l’admiraient, le respectaient ?
Ils
voyaient en la France le phare de monde, le pays des lumières , de
la culture et des droits de l’homme.
Leur
ambition à ces immigrés, Espagnols , Portugais, italiens, Arabes,
des pays de l’est ou autres, était de réussir dans ce pays
d’acccueil, mais surtout de devenir Français, de partager un projet
avec ce pays.
« La
France, la patrie dont je ne saurais déraciner mon cœur. J’y suis
née, j’ai bu aux sources de sa culture. J’ai fait mien son
passé, je ne respire bien que sous son ciel, et je me suis efforcé,
à mon tour, de la défendre de mon mieux ».
Malika
Sorel
Nous
sommes pour la plupart en France issus de l’immigration donc ne
faites pas de procès en xénophobie, vous êtes à côté de la
plaque
on
n’est pas français en fonction de sa couleur ou de son nom, ou de
son origine ou de sa religion.
On
est Français sur une adhésion, une volonté : celle de partager des
valeurs, une envie de construire un destin ensemble".
Vous voyez Etienne, nous avons une conceptionscopmlétement différente de ce que c’est d’être Français
Pour vous c’est une formule administrative
moi c’est le choix du coeur et de la raison.