La peur n’est pas que médiatisée avec ce virus 19 mais avec toutes informations concernant les conflits géopolitiques, les tensions économiques, l’environnement...

Les médias focalisent et répètent en boucle les dépêches bien maîtrisées par les puissants sur Terre mais justement, toujours plus important sont ceux qui se rendent compte de ce fiasco et le problème n’est pas tant les médias que le paroxysme atteint par la civilisation mondialisée et malade peut-on dire. La civilisation est atteinte par le « virus 15 du matérialisme ». On se rend compte en fait que le point de basculement est proche tant nous marchons sur la tête...

Et les médias bien sûr, pour faire le buzz et stimuler la lecture de leurs articles ne pratiquent que l’argumentation manichéenne et passive c’est à dire limitée par l’analyse rationnelle par dichotomie et rarement avec des propositions, intuitions éclairantes dans l’interprétation des faits, pour certains, ce sont les médiateurs de la pensée unique et dominante...

En fait, toutes les idées s’opposent et se neutralisent entre elles pour se compenser dans les erreurs inhérentes et commises par ceux qui osent prendre des risques dans l’action (sa propre sphère d’influence). C’est curieux comment l’asymétrie ou la brisure de symétrie est déterminante dans l’expression matérialisé de l’Univers. Qu’il s’agisse de la matière et de l’antimatière ou de la chiralité (gauche) des protéines à la base des molécules complexes du vivant, la symétrie n’existe que "la boule au ventre sur les bancs de l’école" pour apprendre la géométrie euclidienne car l’univers et le vivant sont basés et manifestés par une brisure de symétrie c’est à dire une prise de décision volontaire dans l’application d’une des fonctions du système global. Et l’application d’une fonction pour le genre humain, c’est tout simplement l’acte et jugé ou pas selon ses actes, l’être humain agit et sa responsabilité est grande sur Terre.

Laissons les puissants et les médias jouaient avec ce qu’ils ne contrôlent plus et changeons le monde sans eux...